Le Législateur Et Le Principe De Non Rétroactivité De La Loi

contrat de bail d’habitation non écrit le 3 janv. 2005 pour faire louer son appartement meublé sur un loyer de 600 euros. A maintes reprises, son locataire n’a pas payé le loyer puisque, selon ce dernier, le contrat était nul, puisque non écrit, en invoquant qu’une loi du 20 juin 1989 imposait un écrit, son absence entraînant la nullité du contrat. Cette loi a été modifié par une loi du 8 juillet 2008 qui plafonne les loyers, dans ce cas, à 450 euros. Mme Lapoisse invoque une loi du 9 mai 2002 qui autorise

connaissance et à la pratique juridique Le droit est présent partout ; contrat, encadrement juridique. Le droit civil est une branche du droit. Il est donc impossible de le maitriser dans son ensemble, le raisonnement juridique se fait à partir de principes qui vont traverser différentes branches du droit. → Identifier le droit (droit objectif) : Le droit c'est l'ensemble des règles posées par une société pour son bon fonctionnement, bien sur il existe des règles qui ne font pas parties du droit

I. Le principe : l’article 2 du Code civil Il résulte de l’article 2 du Code civil que la loi nouvelle s’applique de manière immédiate et non-rétroactive. Il en découle trois conséquences concernant une situation juridique (extracontractuelle) : - Les situations juridiques nées et éteintes antérieurement à la promulgation de la loi nouvelle restent soumises à la loi ancienne. - Les situations juridiques en cours sont régies par la loi ancienne concernant la naissance de la situation et les

Droit 2 principales doctrines A/ doctrine du droit naturel La notion de droit naturel consiste à un principe supérieur de justice universelle (applicable partout, tout le temps). Ce qui signifie que la notion de juste et injuste n’est pas variable, on retrouve l’idée chez Sophocle et Aristote ou St Thomas d’Aquin. Pour ces auteurs c’est le droit naturel qui inspire la règle juridique(principe de liberté, respect d’autrui …) et qui fonde les droits pratiques. B/Droit positif La règle de droit

ainsi établie entre les sociétés de fait et les sociétés créées défait s’est cristallisée au fil du temps en étant largement admise aussi bien par la jurisprudence que par la doctrine8. Les principes qui s’en dégageaient ont du reste été recueillis par le législateur français. Dans ce sens, il y a d’abord eu la loi sur les sociétés commerciales du 24 juillet 1966. Celle-ci, au-delà de la drastique limitation des cas de nullité des sociétés qu’elle a instaurée, va entériner la thèse de la nullité-dissolution9

droit de Rabat en mai 1982. 4 Pour ce qui concerne la constitutionnalité des lois, on signalera que la Chambre constitutionnelle de la Cour suprême, instituée avec la Constitution du 14 décembre 1962, était bien là mais elle ne connaissait d’aucune loi organique du fait que toutes les lois organiques des deux périodes 1965 à 1970 et de 1972 à 1977 avaient été prises par le Roi et entraient immédiatement en application. 5 M. Zaoui, La Chambre constitutionnelle de la Cour suprême, Mémoire de cycle supérieur

Droit. Cette théorie n’était pas validée par la politique. Et voyons la nature humaine, elle semble doutable que chaque personne produit selon ses moyens et consomme selon ses besoins. Est-ce que le Droit ne supporte pas le non-droit ou est-ce qu’il y a des hypothèses de non droit ? Jean Carbonnier a posé des hypothèses où le Droit est en recul par rapport à d’autres systèmes. II. La généralité ou l’abstraction de la règle de Droit : Un des éléments caractéristiques de la règle de Droit qu’elle

OMMA RE I. LE PRINCIPE : L’ARTICLE 2 DU CODE CIVIL .................................... 2   Civ.1ère, 23 janvier 2001..................................................................................................... 2   II. LES EXCEPTIONS ...................................................................................... 3   A. LES EXCEPTIONS A L’APPLICATION IMMEDIATE DE LA LOI NOUVELLE ___________3   B. LES EXCEPTIONS A L’APPLICATION NON-RETROACTIVE DE LA LOI NOUVELLE _____3

public par principe nous savons que les délégations domaniales ont un caractère précaire et qu’elles sont révocable autrement dit le bénéficiaire de l’utilisation n’a aucune garantie sur la durée de sa concession. Concernant les contrat de délégations de service public la concession est parfois relativement longue comme c’est le cas en espèce cette durée est justifiée par le fait qu’il faut amortir les investissement réalisés. Le problème est que deux lois sont intervenues dont une loi de 1993 qui

sanction caractérise l’infraction. Définition – L’infraction est toute action ou comportement contraire à la loi et passible de sanction pénale. Cette sanction ne peut être décidée qu’à l’issue d’un procès. La sanction pénale n’intervient qu’à l’issue du procès, c’est pourquoi la sanction pénale est indissociable du droit pénal. Dans le processus pénal il y a d’abord une loi, qui prévoit ce qui est interdit. Ensuite une action de celui qui commet l’interdit. Ensuite il y a le procès de