Le Matérialisme Historique

multiples contradictions du pouvoir d’Etat et, notamment, de l’appareil répressif qui le sert, c’est-à-dire l’armée et l’administration. Sa démarche subjective est précisée dès la préface du livre : il réfute ainsi tout objectivisme historique à des fins d’interprétation des faits politiques. Il ne prétend par ailleurs à aucune authenticité scientifique, l’ouvrage se situe donc entre l’analyse sociologique et politique. Marx fait de nombreuses références au passé, parfois lointain, et

qui est une "chose étendue" (Descartes). La matière est souvent assimilée au mal (à ce qui abaisse l’esprit). Quel primat ? Le primat, c’est ce qui est premier, ce qui est le plus déterminant. 1. Le primat de la matière est affirmé par le matérialisme, « la doctrine qui explique le supérieur par l’inférieur » (Auguste Comte). Il réduit le supérieur (l’esprit) à l’inférieur (la matière), mais il montre aussi comment l’inférieur (la matière) produit le supérieur (l’esprit) comme une propriété

religere », relier. Toute communauté humaine a besoin d'Unité, de se rassembler derrière un drapeau. C'est à cela que servent les mythes, les croyances, les idéologies, les systèmes de pensée… De Gaulle, comme Lénine ou autres grands personnages historiques ont pu jouer ce rôle de rassembleurs. Souvent le besoin de croyance va avec le besoin de mettre de l'ordre dans le monde, de lui donner un sens. Les Évangiles pourraient être lus comme une parole politique, la voie du religieux et du politique se

moralistes dans l'Histoire[modifier | modifier le code] La critique du XIXe siècle et ses continuateurs ont considéré que le courant moraliste était le caractère le plus distinctif de l'esprit français du XVIIe siècle, d'abord par réaction contre le matérialisme ou l'indifférence morale et religieuse que les scandales des guerres et anarchies civiles et religieuses avaient amenés, ensuite par le développement de la société polie contre la grossièreté du siècle précédent2. Néanmoins, une telle approche

traditionnelles de la morale catholique. Alas aurait donc eu une première intention: dénoncer ouvertement cette «fausse poésie» en montrant les ravages qu'elle provoque sur la société de son pays et de son temps. Et voici la deuxième circonstance, celle-ci historique, qui aurait poussé l'écrivain espagnol à produire un roman qui soit à la fois une critique et une alternative à Madame Bovary. Car cette invasion idéologique subversive apparaît à un moment très particulier de l'Histoire d'Espagne. Nous allons commencer

socialiste, socialisante, voir communiste -PROUDHON un plan d’organisation de la classe ouvrière -LES PROTECTIONNISTES la plus imp. réaction vient de MARX pour lui le socialisme à une base scientifique on parle de socialisme scientifique -L’ECOLE HISTORIQUE ALLEMEANDE de 1860 pour eux les économistes doivent: -partir des faits -les classer -les analyser - pas utiliser de lois générales abstraites 7/Les progrès de l’analyse économique au 20eme siècle - Les moteurs de ces progrès

siècle puis tout au long du XIXe siècle qui sont constitutives de l’émergence puis du renforcement d’une pensée du social. -Le courant conservateur Ce premier courant se développe très rapidement critiquant la Révolution industrielle et le matérialisme qu’elle a introduit dans la société. On peut distinguer les auteurs qui tout en critiquant la société industrielle -d’un côté se montrent favorables à un retour à la société pré-révolutionnaire comme Edmund Burke (1729-1797), Joseph de Maistre

qui domine la première partie du XIXe siècle et dont les origines sont européennes et historiques. La révolution française donne l’occasion aux nobles émigrés en Allemagne et en Angleterre de découvrir, puis de faire connaître, à leur retour en France, une littérature dans laquelle la sensibilité et l’expression du « moi » joue un rôle essentiel. L’émergence du romantisme est également liée aux événement historiques qui suivent la Révolution. Par exemple les espoirs de changement, les rêves de gloire

sensualité, des extrêmes, de l’ornementation, du langage à effets.  IV/Le libertinage A/Le libertinage de pensée est un courant de pensée qui est apparu au XVIIème siècle qui a pris son essor en Italie.  Il est caractérisé par la prépondérance du matérialisme selon lequel tout dans l’univers répond de la matière et non d’un quelconque créateur.  Les libertins sont pour la plupart athées et considèrent que la raison est primordiale par rapport à la religion. B/Le libertinage de mœurs naît peu après le

lui permet des comportements plus complexes : par son activité de transformation de la nature et de production de ses moyens d’existence, c’est-à-dire le travail, l’être humain humanise la nature, se développe lui-même et se socialise. Le matérialisme historique et dialectique de Marx démontre que l’être humain est à la fois soumis aux lois du déterminisme socio-économique et en même temps un agent de ce déterminisme par son activité de production, le travail. Or au 19e siècle en Europe, selon Marx