Le Misanthrope Registre

écrivains des Lumières(Condorcet, Diderot), et le colonialisme prolongement de l’esclavagisme(Césaire) toujours présent au XX ° siècle càd un siècle après l’abolition de l’esclavage. 1/Des ressemblances dans le contenu de la dénonciation et le registre utilisé Le registre polémique les locuteurs cherchent à la fois à convaincre et à persuader Des arguments qui critiquent la barbarie des pratiques dénoncées+ pathétique L’injustice de ces pratiques, le racisme sous-tendu par ces pratiques 2/des différences

Misanthrope acte 2 scène 4 Introduction       L’arrivée de Clitandre, préparée par le portrait fait par Alceste, tout comme celle d’Acaste dont le portrait est fait par Célimène, annonce la scène mondaine qui va suivre, d’autant plus que Philinte et Eliante arrivent peu après. Cette scène témoigne de l’engouement des mondains pour le jeu des portraits qui met en valeur la maîtresse des lieux. I) Un jeu mondain qui met en valeur Célimène 1) Le rôle des marquis • Rôle des marquis : relancer

d’enseigner, d’émouvoir et de plaire d’après la citation « docere, movere et placere » d’Aristote dans la Poétique, cependant il décrit péjorativement dans ce même ouvrage la comédie comme « l’imitation du ridicule des Hommes ». Souvent associé au registre bas et à la farce, ce genre s’édifie au XVIIe siècle grâce au dramaturge Molière. C’est avec des œuvres audacieuses, qui plaisent et qui dénoncent que Molière et sa troupe obtiennent le mécénat de Louis XIV aux côtés du compositeur baroque Jean Baptiste

va illustrer chacune des qualités qu’on lui prête. Acte 1 : avant tout rimeur et bretteur. Personnage bouillant et querelleur : vs Montfleury, un fâcheux, Valvert… Acte I, scène 4 : la tirade du nez, vers 311 - 365 Caractérisation : une tirade. Registre comique. Deux parties : variations sur le nez ; apostrophe à Valvert : un « morceau de bravoure ». Pourquoi un tel « morceau de bravoure » ? Ce texte semble-t-il susciter le rire ou l’émotion ? I Une tirade comique a) une tirade bien structurée

« comme à un adepte digne d’elle », « j’ai avalé […] les larmes les plus vertueuses », etc. ). Champs lexicaux de la violence, de la haine, de la pourriture : « m’assommer », « bûche pourrie », « rage », « cadavres », « charogne », etc. Le registre pathétique : on remarque une ponctuation expressive (interrogations, points d’exclamation (point pathétique)), champ lexical de la religion. a Selon J.-M. Thomasseau, dans Alfred de Musset, Lorenzaccio, cette scène est le « centre de gravité du

. Il existe plusieurs types de comédie :- comédie de caractère, vise à dénoncer le travers de la société. Elle met en scène les personnages ayant des défauts particulier et les dénonces comme dans de nombreuses comédies de Molière. (ex : Le Misanthrope)- comédie de mœurs,vise à dénoncer, avec plus ou moins de virulence, les travers d'une époque, d'un groupe ou d'une classe sociale, ou les institutions et les valeurs.- comédie d’intrigue, a pour but d'intéresser et d'amuser par l'abondance et

portée critique du comique ne s’arrête pas uniquement sur une critique des mœurs de la société comme la fait La Fontaine mais elle peut-être aussi un moyen de mettre en abyme les défauts de l’être humain. En effet, dans la comédie intitulée Le Misanthrope de Molière qui est une pièce de théâtre avec de nombreux comiques comme le comique de caractère, de situation ou encore de ridicule permet de d’amuser les spectateurs et de rire d’un défaut qu’il semblé vouloir corriger chez ses semblables en l’exagérant

signifie la caractèristique indispensable de la comédie. Pourquoi les comédies nous amusent-elles? Ou autrement dit, quels procédés provoquent le rire chez les spectateurs? Les comédies s´inscrivent avant tout, comme leur titre nous suggère, dans le registre comique. Ce dernier joue sur nombreux procédés pour nous faire rire. D´abord, sur le caractère de la situation elle-même. Pourtant est-ce que le pesronnages de Harpagon dans L´Avare de Molière nous semblerait si ridicule sans la scène avec quiproquo

il reste encore une importante part de liberté au metteur en scène et par conséquent au comédien. Pour répondre à cette questions, nous nous appuierons sur la lecture et la représentation de plusieurs extraits de pièces de théâtre notamment Le misanthrope de Molière, Les acteurs de bonne foi de Marivaux, Le fils naturel de Diderot ainsi Ruy Blas de Hugo. Le texte théâtral contient donc, au premier abord, tout ce qui permet de le représenter, de la mise en scène au jeu des comédiens et des procédés

S’opposant à la tragédie, la comédie cherche à divertir, à faire rire (→ comique) par la légèreté de l’intrigue ou la peinture des personnages qui y est faite. Quelques pièces comiques de Molière (1622-1673) : Les Précieuses ridicules (1664) Le Misanthrope (1666) L’Avare (1668) Le Bourgeois Gentilhomme (1670) Les Femmes savantes (1672) Le Malade imaginaire (1673) La comédie a pour but de « corriger les mœurs par le rire » (castigat ridendo mores, dit l’adage latin). Pour Molière