Le Mondain Ironie

légèreté: « votre bonne mine est un Pérou ». Cette référence exotique qui renvoie à l’Eldorado est comique car haute en couleur. Elle montre aussi que pour Dubois, la beauté de Dorante est un atout décisif, alors qu'à l'époque la principale qualité mondaine est l’esprit. Le valet invite d’ailleurs Dorante à lui faire admirer sa beauté : « Tournez-vous un peu » et “allons, Monsieur”. Les impératifs peuvent surprendre de la part d’un valet et soulignent l’ascendant de Dubois sur Dorante qui le rend maître

contribue, de ce fait, à l’enrichissement de chacun puisqu’il « passe de condition en condition, depuis les artisans jusques aux grands » (l. 9-10). Dès la ligne 4, Usbek recourt à un exemple concret afin d’illustrer sa pensée. La mise en scène de la mondaine nous plonge dans un contexte de luxe et de mondanités. Le champ lexical de la haute société, de l’apparence et de l’autorité, se développe alors  : «  paraître  », « assemblée » (l. 4), « parure » (l. 5), « commande », « obéie » (l. 6), « monarque »

rhétorique. Elles promeuvent une nouvelle forme de culture centrée sur la poésie et le roman. Selon elles, on peut prendre part à la culture en lisant des ouvrages en français ou en conversant avec des gens de lettres. La conversation mondaine supplante la conversation masculine entre érudits, le salon remplace l'Académie. La conversation devient un jeu qui exclut la grande éloquence. Elle doit être ludique et désintéressée. Elle consiste en un échange libre dont le ton doit répondre à

Rochefoucauld démasque le stoïcisme de Sénèque dans ses Maximes. Une des sources qui évolue la littérature de la France, surtout la fable, était Métamorphoses d'Ovide, un manuel de la fable antique. Son Art d'aimer et Amours bien montrent le goût mondain. Les Héroïdes deviennent un modèle incomparable de lettres amoureuses. Parmi les poètes ovidiennes, Tristes et les Pontiques passionnent Racine. Molière inspire de Plaute et Térence à fin d'écrire ses chefs-d'œuvre comiques. Pour lui, ces deux

qui ne peut être atteint) | |Inversion des qualités : le don de la parole | |d'abord : esprit de finesse, de repartie du mondain, de l'homme de salon : réponse directe | |ensuite ajout d'une compétence, savoir linguistique : le latin | |double valeur :

cette puissance, ils n'ont jamais réussi à faire vendre les Contes drolatiques. » (Voir René Guise, « Balzac et Le Charivari », A.B. 1984). Jules Janin dans La Revue de Paris, « Manifeste de la jeune littérature » (janvier 1834) n'est pas sans ironie à l'égard de Balzac, tout en répondant au manifeste de Nisard contre « la littérature facile » : « comment trouvez-vous surtout les bons contes de Balzac ? Ceux-là sont vifs, animés, bien commencés, bien intrigués. Trouvez-vous (...) un conte plus

atmosphère lourde et austère. Les protagonistes principaux et assistants semblent vouloir masquer ce mariage du fait du lieu de cérémonie retiré et minimisé, il s’agit de la « petite chapelle de la rue Madame ». Le nom de la rue apporte une certaine ironie dans cet ensemble peu réjouissant puisqu’il recèle l’idée que Mademoiselle Laura Vedel-Azaïs est entrée dans la rue pour en ressortir Madame Douviers donc une forte notion de mariage dans le nom de cette rue. Le fait que l’on ait affaire à une chapelle

passionnant : "anguille en nageant" = symétrie lourde = lourdeur du texte. - Côté vivant et plaisant du style direct et des vers courts.   III/ Une moralité complexeA. Les reproches de l'orateur- Un humour se dégage venant de l'antithèse avec le public. - Ironie : Veut montrer par cette fable la débilité du peuple. Met les citoyens au bord du suspens par l'utilisation de "vous". - Style indirect libre : "Quoi..." : L'orateur fait parler la déesse à travers lui, ceci donnant un poids et une certaine force

extraordinaire qui fait penser à un conte de fée. On peut desseller une forme de rupture et de critique dans l’incipit : en effet, on peut mesurer une part d’ironie très subtile dans le texte. Le mot manquant est la vertu : cela colore la cour de cette ironie subtile. En revanche un mot est répété : plaisir On ne parle que du corps du roi lors de sa description. Même si celle-ci est très élogieuse, elle ne concerne que l’apparence physique (sport, femmes). Fin du 3ème paragraphe, dernière phrase : parallèle

l’histoire d’une jeune fille, Emma Rouault, née dans une riche famille paysanne. Son père la fait élever dans un couvent où elle va lire beaucoup de romans sentimentaux et romanesques. A travers ces romans, où les personnages évoluent dans un univers mondain et vivent des aventures chevaleresques, elle va se forger une idée fausse car trop romanesque de la vie. Elle va se marier à Charles Bovary, officier de santé assez médiocre auprès de qui elle sent vite qu’elle ne sera pas heureuse et qu’elle ne