Le Monologue Tragique

(dont de grands classiques tragiques, comiques et du théâtre de l’absurde). Pièce  : Ecrite à Berlin en 90, JLL se sait malade depuis deux ans. Pièce essentielle qu’il intègrera à sa dernière : Le pays lointain (95). Refusée par tous les comités de lecture de son vivant. Maintenant l’une de ses plus connues, entrée à la Cie Française en 2008 et adaptée au cinéma par Xavier Dolan en 2016. Le titre renvoie au tragique avec « fin du monde » mais

- Acte I: Le drame commence par un acte entièrement consacré à l'exposition. Contrairement à la tragédie classique, la scène 1 n'a aucune tonalité tragique. C'est un scène de comédie (v21-22). D'autre part Don Carlos prend en charge une partie de l'intrigue scène 1 (v5 à 11): Doña Sol fiancée à un vieux seigneur aime un jeune cavalier. Par ailleurs l'enchaînement des répliques (stychomyties) dévoile Doña Josefa comme un personnage sot, voire insolent, face à Don Carlos capable de menacer de

philosophique sur le destin de l’Homme parmis les hommes se perçoit. Pb : comment en découvrant dans se monologue tragique toute l’absurdité de la condition humaine , le personnage parvient il a la paix et l’acceptation de soi ? Pb2 : en quoi ce monologue tragique est il révélateur de l’absurdité de la condition humaine ? 1) Un monologue tragique a) Une construction rigoureuse Ce dénouement tragique peut être lu comme explicit le texte est construit en deux parties, bien distincte, de la ligne 1 a

Objectif : Etudier une scène de conflit intérieur rendue visible et audible par le système du monologue théâtral. Comprendre que la parole au théâtre est action au théâtre Support : Jean acine, Bérénice, monologue de Titus, 1670. IntroductionContexte de la pièce et enjeux de l’écriture : Racine (1639-1699) : tragédien ( Phèdre , Andromaque , Iphigénie ), rival de Corneille

force morale des héros tragiques : le conflit entre Antigone et Créon dans l’Antigone d’Anouilh ; le monologue délibératif (celui de Rodrigue dans Le Cid) remplit ce rôle : le conflit est intérieur. Le conflit est l’essence même du théâtre. Le conflit fait progresser l’action. Le théâtre (drama = mouvement) est action. Le conflit est l’essence même du dialogue : le dialogue suppose deux personnes (di) ; si elles sont d’accord, elles ne font que donner deux voix à un monologue. Le conflit est au cœur

Sujet 1 : Monologue et solitude dans le théâtre Commentaire de « Oh les beaux jours » Introduction : « Sos d'un terrien en détresse », titre d'une célèbre chanson du chanteur-compositeur Daniel Balavoine, présenterait bien la pièce moderne que nous étudions et qui correspond au renouveau de la tragédie contemporaine du milieu du 20ème siècle, soit le théâtre de l'absurde. En effet Oh les beaux jours, récompensée du prix Nobel de littérature six ans après sa parution, est écrite en 1963 par

Amplification des traits de caractère => modalités ! et ? chez Molière : ponctuation expressive à la folie. Monologue => 2ème personne pour désigner le personnage imaginé => soi-même ( la dégustation du monologue tragique ) geste et situation : ligne 6 : « Il se prend lui-même le bras » ligne 34 . • réécriture par changement de type de texte : dialogue => monologue |Plaute |Molière

Racine, Bérénice, acte IV, scène 4. Introduction : 1/ ouverture : partir de la tradition du monologue délibératif dans la tragédie au XVIIème siècle, dans les tragédies politiques notamment. 2/ problématique (ou fil directeur du commentaire) : en dépit des apparences, Racine développe-t-il ici un monologue délibératif à proprement parler ? N’y a-t-il pas un infléchissement de la rhétorique délibérative attendue dans la tragédie de l’époque ? 3/ annonce du plan du commentaire.

Cinna de Corneille est l’une des œuvres majeures de l’Antiquité. Il s’agit d’une tragédie mettant en scène les décisions de chacun des personnages. Dans l’acte 1, scène 1, la scène d’exposition, on voit Emilie, par le biais d’un monologue se demander ce qu’elle doit faire. D’une part, elle se sent obligé de venger l’assassinat de son père, établie par Auguste mais d’autre part, elle entraîne dans son complot l’homme qu’elle aime, Cinna, auquel elle tient énormément. Prise de doute, elle se demande

(Monsieur de Montoron). Plan I : Une héroïne tragique : un personnage inventé et une muse tragique. A : Un dilemme, un monologue délibératif B: Une fureur tragique : l'allégorie et l'obsession des images C : Un héroïsme de la générosité : la volonté héroïque d'une Emilie romaine. II : Un art de l'exposition mise en images A: La mémoire : un passé et une obsession au service de la scène d'exposition : B : Allégories et personnages créent un monologue qui devient une scène de théâtre. C : Servitudes