Le Mot Progrès N Aura Aucun

du cours sera donc l’approche problématisée des sociétés politiques à toutes les échelles au 19e siècle, mais… B/ Quand commence et quand finit le 19e siècle ? On doit a l’historien Marc Bloch deux remarques, dont la première est celle-ci : aucune loi de l’histoire n’impose que les années dans le millésime se termine par le chiffre 1 coïncident avec les points critiques de l’évolution humaine, soit le siècle arithmétique n’est pas le siècle historique. (quand se termine le 20e siècle , le 11

des satisfactions que ne renierait pas un bon vivant. Ainsi le Mondain est hymne à la vie et aux plaisirs.  C) Axes de lecture :   1° L'apologie de l'âge de fer      a) la critique de l'âge d'or      b) l'éloge du luxe, des plaisirs et du progrès   2° Une nouvelle idée du bonheur PARTIE 1 : L'APOLOGIE DE L'AGE DE FER :  A) La critique de l'âge d'or    Voltaire commence par une évocation apparemment élogieuse de l'âge d'or. Des vers 1 à 4 il emploi des expressions positives sur cet

satisfactions que ne renierait pas un bon vivant. Ainsi Le Mondain est un hymne à la vie et aux plaisirs. Lecture du texte Axes de lecture : 1° L'apologie de l'âge de fer a) la critique de l'âge d'or b) l'éloge du luxe, des plaisirs et du progrès 2° Une nouvelle idée du bonheur PARTIE 1 : L'APOLOGIE DE L'AGE DE FER : A) La critique de l'âge d'or Voltaire commence par une évocation apparemment élogieuse de l'âge d'or. Des vers 1 à 4 il emploi des expressions positives sur cet

XVIIIe siècle qui prône l'usage de la "raison éclairée", fondée sur la connaissance rationnelle et l'idée de liberté. Il rejette l’autorité arbitraire, l’absolutisme monarchique ainsi que les oppressions religieuses ou morales. Il met en avant le progrès des arts et des sciences ainsi que la recherche du bonheur sur Terre. On appelle "siècle des Lumières" la période qui va de la mort de Louis XIV (1715) au début la Révolution française (1789). Relayé par les élites aristocratiques et bourgeoises,

• Le régime monarchique L’El Dorado est gouverné par un roi proche de ses sujets comme le montre l’usage de l’embrassade (l92). Il apparaît aimable et spirituel. Il reçoit les voyageurs « avec toute la grâce imaginable » (l93-94). Il n’exerce aucune tyrannie sur ses sujets car il n’y a ni palais de justice ni prison (l101-103). Cela suppose une absence totale de conflits sociaux. La société vit harmonieusement sous un régime de type libéral selon le modèle anglais qui impressionnait tant

plaire à l'homme. Sans contraintes, il peut alors jouir d'objets, de nourriture toujours meilleurs. En effet, si la machine permet d'accélérer la vitesse du travail, elle est aussi et surtout le vecteur du progrès. Et ce progrès vise normalement à donner à l'homme une vie meilleure, en un mot à le rendre plus heureux. Les machines deviennent alors les alliées de l'homme dans sa quête vers un bonheur, peut-être imparfait, mais essentiel. Les redouter, ne pas vouloir les utiliser serait refuser la

notre savoir, loin d’être la vérité, peut toujours être perfectionné, amélioré, remise en question pour découvrir encore plus de nouvelles explications. Bachelard emploie le terme d’ « expérience commune » qui traduit cet aspect du savoir, en effet le mot expérience fait tout de suite appel à l’acquis, la connaissance actuelle est la construction et la combinaison de toutes les connaissances passées. « Commune » veut simplement retranscrire le fait que nos sociétés le considèrent comme la vérité. Or

propres paroles « écrit en peintre ce qui n'est pas encore peint et le rend peinture absolument ». Merleau Ponty, ici encore, compare l'art et la parole. Nous avons beau dire le mot correspondant à l'objet, le mot ne va pas imiter l'objet, projeter sa réalité, le mot va simplement évoquer l'objet en le nommant par le mot qui l'identifie. Tout comme la parole, l'art ne peut pas imiter, bien qu'on représente fidèlement un objet, celui-ci ne sera pas rendu réel par la peinture, l'objet ne se trouvera

s’oppose selon la pensée des Lumières au progrès et à leur projet : le bonheur des hommes. Un autre des grands combats de l’encyclopédie fut celui mené contre les préjugés. Il est particulièrement présent dans l’article « Salamandre ». En effet, de Jaucourt y traite des « propriétés attribuées faussement à la salamandre, et de celle qu’elle possède réellement » Il dénonce de ce fait les idées préconçues appliquées à la Salamandre et montre comment, grâce aux progrès de la science, ces préjugés ont pu

pour revenir à une vie complètement naturelle, mais de savoir si la nature peut à nouveau servir de référence pour l'Homme civilisé. Premièrement, nous verrons qu'il est possible pour de nombreuses raisons que l'Homme souhaite annuler tout forme de progrès, puis que, deuxièmement, ce projet est quasiment impossible à mettre en place puisque l'Homme n'a jamais vécu dans de telles conditions. Enfin, nous nous demanderons si l'Homme est capable de vivre dans une société alliant nature et culture. Tout