Le Mystère des dieux

mère, la déesse Aphrodite, venue le secourir. Les Dieux s'impliquent dans la bataille : Apollon sauve Énée et exhorte son frère Arès à s'engager aux côtés des Troyens. Ces derniers se ressaisissent et Hector, enflammé par les paroles de Sarpédon, mène ses troupes au combat. Inquiètes de ce retournement de situation, Héra et Athéna s'arment et apportent leur concours aux Achéens défaits par Arès, qui est à son tour blessé par Diomède. Enfin, dieux et déesses remontent à l'Olympe porter leur discorde

profane devient dépositaire du sacré. Résumé T1 p 279 (s) p 288 (es) . Au fond de toute émotion religieuse profonde (=/= foi au salut, confiance ou amour) se trouve le « sentiment du mystère qui fait frissonner ». .Ses formes sont diverses : du profond recueillement à la convulsion, en passant par l’ivresse, le frisson d’horreur ou l’humble tremblement devant ce qui est radicalement autre et supérieur. 2- La conception du Divin

lourd trésor de science./Nous savons en effet tout ce qu’en la plaine de Troie/les Grecs et les Troyens ont souffert par ordre des dieux,/ tout ce qui advient sur la terre féconde » (XII, v. 188-191). Ulysse brûle d’écouter, mais comme ses compagnons rament plus fort, le navire dépasse les Sirènes et il n’entend pas la totalité du chant. Celui-ci garde donc son mystère. Si la vérité du monde se trouve dans un plaisir mortifère, il semble que la leçon d’Homère soit qu’il vaut mieux s’en passer… Dans

cette phrase. Écoute le mystère « Eurydice reviendra » serait quelconque - mais Madame Eurydice! Madame Eurydice reviendra-ce reviendra! ce futur! et la chute: des enfers. Tu devrais être contente que je parle de toi. EURYDICE Ce n'est pas toi qui en parles... (Montrant le cheval.) C'est lui. ORPHÉE Ni lui, ni moi, ni personne. Que savons-nous? Qui parle? Nous nous cognons dans le noir; nous sommes dans le surnaturel jusqu'au cou. Nous jouons à cache-cache avec les dieux. Nous ne savons rien

de leur créa° « immortalité » un des + vieux désir de l’Ô -> qui est chose faite pr les poètes gr à leurs œuvres qui leur survivent. « peuple non commune » : insinue qu’ils st superieurs aux mortels rapport privilégié av dieux et le ft qu’il ne partage pas leur passion pcq art poétique leur est réservé. « honnête flamme » : métaphore de la passion créatrice qui a aussi son degré de fragilité // situa°de la flamme qui s’éteint. A partir du 2e quatrain

bourgeoisie, Dieux… * Femmes Jeanne Duval : incarne la sensualité, l’amour intense, orageux (en dent de scie) « La Vénus Noire » Madame Sabatier : incarne l’amour « confidence », elle est « sa grande oreille » Marie Daubrun : synthèse de ces deux précédentes maîtresse puisqu’elle est un mélange d’amitié et de sensualité. « La femme aux yeux verts » * Beauté Qu’il défini comme étant l’équilibre des proportions. Il y a d’abord la beauté de la femme (emprunt de mystère et de mélancolie)

religion, qui ne sont pas croyants. Tous ceux qui n’ont pas la foi ou qui l’ont perdu. Tous ceux qui n’ont pas réussi à rencontrer Dieu. Tous ceux qui, comme l’étaient les grecs, croient plutôt au paganisme, au polythéisme, à l’existence de plusieurs dieux, tous ceux qui sont déistes ou encore tous ceux qui se savent profondément athées. Dans la vision religieuse basée sur la croyance, au fond pour qu’une chose existe, il suffit d’y croire ! Cependant tout ce qui est du domaine de la croyance échappe

l’aède remplacé par un rhapsode qui maîtrise l’art de la diction La poésie épique = poésie orale > le plaisir et l’émotion du langage Homère : goût de l’épithète, de la formule et du cliché - le passage de la scène sacrée (toutes les références aux dieux dans les formules) aux objets de la vie courante = passage d’un langage qui va de l’incantation (celui des cérémonies religieuses) au récit - la nécessité de conserver les formules, les épithètes, les répétitions si ce n’est en vers - la suppression

condition d’homme. Nous avons souhaité vous faire redécouvrir de grands poètes, au travers de textes d’hommes amoureux et passionnés, mettant en exergue leurs sentiments au travers de la poésie. Que chacun puisse, dans sa lecture, retrouver par le mystère de l’auteur, ses propres sentiments car «il est inutile de parler d’amour à qui n’a pas aimé. L’amour, c’est un paysage qui ne se raconte pas. On aime lorsqu’on est soi-même les champs, les arbres, la terre.» Il n'y a pas d'amour heureux

la maternité Hathor, élue des dieux et protège du mauvais œil. Appelé également "anil" l’indigo a donné son nom au Nil, "le fleuve bleu" d’Egypte. Pour les Perses le monde repose sur un saphir qui donne au ciel son éclat. L’Arizona et le Nouveau Mexique fouillent les collines à la recherche des pierres bleues "qui soudent la terre, le ciel et la mer". Les saphirs et les turquoises sont associées à l’éternité, elles apportent aux hommes le sceau protecteur des dieux. En Chine le bleu est paré des