Le Negre De Surinam

participe à la recherche de la vérité .Une fois celle-ci trouvée ,il peut éprouver une certaine fierté . On peut également noter que le lecteur est invité à formuler lui même la vérité puis que celle-ci peut être implicite comme dans « Le nègre de Surinam » de Candide qui permet à l’auteur avec beaucoup d’ironie de dénoncer l’esclavage .Le conte invite le lecteur à réfléchir , à formuler la morale. Candide ne propose de morale claire .L’œuvre se termine sur ces paroles du héros : »Il faut cultiver

jésuite, mangeons du jésuite ! » ( chap 16, ligne 59-64). Il connait aussi l’esclavage, lorsqu’il se rend Surinam, il rencontre un noir victime de l'esclavage, il lui manquait la jambe gauche et la main droite. Son maitre est très dur avec lui et se comporte avec cruauté et tout ça pour que les autres puissent manger du sucre en Europe. « En approchant de la ville, ils rencontrent un nègre étendu par terre […] C’est à ce prix là que vous mangez du sucre en Europe » (chap19,ligne19-31) A travers

sont en fait démasqués comme les véritables « barbares » qui maltraite les homme pour des profits superflus. 1) Ouverture : Le thème de l’esclavage est un thème phare des Lumières car c’est l’exemple le plus flagrant de l’injustice cf Le nègre de Surinam dans Candide ou l’article « la traite des nègres », dans l’Encyclopédie. Ces idées porteront leurs fruits puisque l’esclavage sera aboli une première fois après la révolution française. Napoléon le rétablira dans certaines colonies et il sera

utilisée dans la littérature engagée, notamment grâce à l'emploi de l'ironie. En effet, dans la plupart de ses textes engagés, Voltaire dénonce des choses qui lui paraissent inconcevables, comme la traite des noirs (Chapitre XIX, Candide, « le Nègre de Surinam »), l'Inquisition (Aventure Indienne). L'ironie est principalement utilisée grâce aux figures de styles de l'antiphrase, l'antithèse, et l'hyperbole, et permet ainsi une critique subjective 4) Pour s'impliquer directement dans ses textes

n’étant pas un acte humaniste mais un délinquant. Cette réquisitoire contre la traite des noirs se rapproche du conte de voltaire « candide ou l’optimisme » (1759) ou Voltaire dénonce l’esclavage à travers le portait du nègre de Surinam

vie) aux sergents recruteurs du chapitre 2. « Nous vous défrayerons, mais nous ne souffrirons jamais qu’un homme comme vous manque d’argent ». Argent = piège pour le naïf Candide. • Chapitre 19 : l’argent transforme les hommes en victimes : le nègre de Surinam a été vendu par sa mère (naïve ?) à des esclavagistes. Il fait d’abord la fortune de ses parents près de M. vanderdendur qui le fait travailler pour un salaire de misère : amère déception de l’esclave : « les chiens, les singes et les perroquets

œuvre. Dans Candide, au chapitre III, il dénonce les atrocités de la guerre à travers différents registre : du pathétique à l’ironique. Ainsi, il insiste sur les dégâts matériels et les pertes humaines qu’elle cause. De même, dans l’épisode du nègre de Surinam, à travers un raisonnement fondé et d’apparence objectif, il remet en cause l’esclavage et fait une satire virulente de la cruauté des colonisateurs. Pour conclure, à travers l’œuvre de sa vie, Voltaire a cherché à proposer des solutions

toujours proche des puissants, qu’ils soient aristocrates ou commerçants, comme en témoigne la présence du jeune baron chez les jésuites du Paraguay ou la secrète entente entre les esclavagistes et les « fétiches » hollandais qui ont converti le nègre de Surinam (XIX). Puis, manipulant les foules ignorantes, l’Eglise se dissimule derrière l’image de la vertu renvoyée au peuple, mais ses membres n’hésitent pas à se laisser aller à leurs désirs : le grand Inquisiteur partage en secret Cunégonde. Quant

capables de réfléchir aux sujets graves exposés dans Candide : la mort, l’esclavage, la religion. 7) Dans quel chapitre un personnage finit-il par répondre : « c’est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe » ? C’est au chapitre 19 que le nègre du Surinam finit par répondre « c’est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe », dénonçant par là le commerce triangulaire et l’esclavage. 8) Que se passe-t-il dans le chapitre « comment on fit un bel autodafé » ? Tandis que l’on fait un auto-da-fé

accueillants, tolérants, ouverts et pacifiques. La région et le souverain y sont facteurs de paix, mais les deux voyageurs préfèrent repartir, chargés de fortune pour éblouir le monde. Après une longue errance, ils parviennent à Surinam où ils rencontrent un nègre mutilé par son maître. La vision de cet esclave ébranle l’optimisme de Candide. Les deux compagnons se séparent : Cacambo va racheter Cunégonde au gouverneur de Buenos Aires, tandis que Candide va l’attendre à Venise. Candide est obligé