Le Non Cumul Des Peines

jeu la plus haute liberté. 3 ) Le droit pénal spécial, (= l'étude des infractions pénale qui sont comprises dans le code pénal) ex : crime contre l'humanité, vol, abus de confiance, meurtre .. 4 ) Le droit des peines, (= étudie le régime, la définition, les règles qui concerne les peines, les sanctions pénales ..) ex : dans quel cas est ce que le juge peut prononcer une injonction de soins. Principe fondamental qui est l'individualisation de la peine, le juge choisit quel est la peine adapté pour

SUJETS PLANS IDEES MAITRESSES CHAPEAU ---- OUVERTURE Exposez les principes de légalité des incriminations et des peines, et de non-rétroactivite de la loi pénale dans le temps. Les instances judiciaires ne peuvent connaître que des faits définis par la loi comme étant une infraction et les juridictions de ju­gement ne peuvent prononcer que les peines qu'elle édicte pour sanctionner les infractions. Les textes normatifs qui légi­fèrent sur le fond ne sont pas rétroactifs lorsqu'ils sont créateurs

(France), juge les contraventions > peine principale max = 3000€ Classification des contraventions + amende Max | Gravité de l'infraction (exemples de contraventions contre des personnes) | 1re classe 38€ | Diffamation et injure non publiques | 2e classe 150€ | Atteinte involontaire à l'intégrité physique n'ayant entraîné aucune ITT | 3e classe 450€ | Menaces de violences | 4e classe 750€ | Violences légères ou lourdes sur l'animal ou l'homme

judiciaires elles reflètent l’activité des juridictions répressives ou en d’autres termes révèlent les statistiques condamnées (ex : les classements sans suite, non lieux…). Cette criminalité est alors plus restrictive car il n’y a que la criminalité condamnée. Révèlent les statistiques condamnées (ex : les classements sans suite, non lieux…). Chiffre plutôt réduit en ce sens on parle de chiffre gris. Au début des années 2000 60% des infractions sur le territoire national étaient relatives aux

SUJETS Exposez les principes de légalité des incriminations et des peines, et de non-rétroactivite de la loi pénale dans le temps. PLANS IDEES MAITRESSES Les instances judiciaires ne peuvent connaître que des faits définis par la loi comme étant une infraction et les juridictions de jugement ne peuvent prononcer que les peines qu'elle édicte pour sanctionner les infractions. Les textes normatifs qui légifèrent sur le fond ne sont pas rétroactifs lorsqu'ils sont créateurs d'une incrimination

1: L'élément légal Le principe de base, c'est la légalité des incriminations et des peines. La loi c'est aussi bien les conventions internationales, la loi pénale (crimes et délits), et les règlements pour les contraventions. Section I LE PRINCIPE DE LEGALITE Il existe trois conséquences : • Ni infraction ni peine sans texte légal • L'interprètation stricte de la loi pénale • La non-rétroactivité de la loi pénale I- IL N'Y A NI INFRACTI0N NI PEINE SANS TEXTE LEGAL

s’attache à réprimer des actes moins graves mais tout autant antisociaux : délits, contraventions, selon la classification tripartite des infractions. La dénomination « droit pénal » n’est pas non plus exempte de reproche puisqu’elle peut laisser croire selon l’étymologie latine « poena » (= peine) que seules les peines seront étudiées alors que l’étude des infractions, c’est à dire les faits, sanctionnées par le législateur et que l’on appelle les incriminations, représentent en réalité une part majeure

infractions. Le contentieux douanier est régi par le droit douanier qui est une branche du droit fiscal. C’est un régime particulier qui est dit étroit c.à.d. il doit être interprété de manière stricte sans possibilité d’user par analogie pour régler des cas non prévus. Cela entraine 2 conséquences ; En cas de conflit entre la loi douanière et le droit commun : c’est la loi douanière qui s’applique ; En cas de silence de la loi douanière on a recourt aux dispositions du droit commun. Cependant le contentieux

Chapitre 5 – Les atteintes éventuelles à la vie ou l’intégrité physique de la personne 24 Section 1 – Le risque causé à autrui 24 I – Les éléments constitutifs du risque causé à autrui 24 II – Les modalités de la répression 26 Section 2 – La non-assistance à personne en péril 26 I – L’existence d’un péril condition préalable de l’infraction 26 II – Les éléments constitutifs du délit 26 Section 3 – La provocation au suicide 27 Chapitre 6 – Euthanasie et droit pénal 28 Chapitre 7

consistant à exécuter une personne ayant été reconnue coupable d'une faute qualifiée de « crime capital ». On peut alors se demander si la peine de mort devrait être utilisée comme moyen d’enrayer la criminalité dans une société. Je suis d’avis que non, la peine de mort n’est pas un moyen acceptable, éthique ou efficace pour enrayer la criminalité. Pour explorer cette question je vais vous faire part de mon point de vue en vous démontrant que la peine de mort viole les droits de l’homme, est injuste