Le Paradoxe Des Libertés Publiques

La diffusion des idées révolutionnaires américaines (1776) et francaise (1789) a d'abord rendu possible, pendant près d'un siècle, l'instauration d'un rapport optimiste du médias papier. En France la loi du 29 juillet 1881 sur « La liberté d'opinion et la liberté de la presse » a crée de nombreuses utopies faisant de la Poste, de l'éléctricité et du télégraphe les outils de la création d'une véritable civilisation universelle.Cette confiance s'est, vers la fin du XIXe, siècle petit à petit éffondrée

des droits féodaux, un des textes fondamentaux votés par l’Assemblée nationale constituante formée à la suite de la réunion des États généraux. Adoptée définitivement le 26 août 1789[1], c'est l'un des textes fondateurs de la démocratie et de la liberté en France. Citée dans le préambule de la Constitution du 4 octobre 1958, elle a valeur constitutionnelle dans la Ve République depuis les décisions des 16 juillet 1971 et 27 décembre 1973 du Conseil constitutionnel: elle fait partie du bloc de constitutionnalité

L’art. 16 de la DDHC disait « Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution ». De nouvelles libertés comme la liberté d’expression, de presse, d’opinion ainsi que des droits, comme la nécessité d’une contribution publique (impôts), sont intégrés dans la constitution. Les simples sujets du Roi deviennent alors des citoyens de la Nation. Malgré les progrès qu’apportent les textes, cette première constitution

l’aliénation de la liberté dont l’homme jouissait à l’état de nature. Alors, comment résoudre ce paradoxe ? Comment concevoir une société qui serait garante de la liberté alors qu’elle tend naturellement à nier le propre de l’homme ? La réponse n’est pas moins paradoxale mais elle pose les bases de la démocratie : il est nécessaire de former une société où chaque associé s’unit et se livre à tous les autres tout en n’obéissant qu’à lui-même. L’homme abandonne ainsi sa liberté naturelle c’est-à-dire

histoire commune, des règles, des normes instituées ou coutumières. Naissance d'un sentiment d'appartenance : identité sociale, travail de socialisation.  Est-il dans la nature de l'homme de vivre en société ? La société nous prive-t-elle de notre liberté "naturelle" ? La vie sociale est-elle en soi source d'aliénation ? Est-ce l'individu qui fonde la société ou l'inverse ? Travail à partir d'une séquence du film de Jean-Luc Godard, Pierrot le fou : Il s'agit de la séquence d'ouverture jusqu’au cocktail

décideurs doivent avoir, en cas d'erreur, la possibilité de corriger les décisions publiques et d'appréhender à nouveau des options qu'ils avaient abandonnées. Pour éviter l'irrévocable, il faut quitter le cadre des décisions traditionnelles et accepter de prendre, plutôt qu'un seul acte tranché, une série d'actes mesurés, enrichis par les apports des profanes. C'est par exemple, dans le domaine de la santé publique, un acquis des associations de patients victimes du sida. Il est aujourd’hui admis

l'écrivain. Les contes qu'il compose à cette époque se révèlent le lieu d'expérimentations privilégié de la pensée politique d'un homme qui s'interroge sur les délicates relations entre l'individu et le groupe, la compatibilité relative entre la liberté individuelle et le bien collectif ». Le chiasme montre deux pistes distinctes dans la pensée de Diderot : l'une, « conte politique » renvoie plus aux 3 codes tandis que « politique du conte » fait référence aux procédés de ce choix formel. Diderot

les personnes et la forme que leur amour prenne. Par ailleurs, dans la continuité du triomphe de l'individualisme, il n'est désormais plus, concevable que la relation amoureuse puisse priver un individu de sa liberté. L'individu veut à la fois l'amour, qui attache et rassure, et la liberté. On retrouve ici la tension propre à la modernité telle que l'avait déjà formulé Rousseau : ''nos besoins nous rapprochent à mesure que nos passions nous divisent''. Et tout cela d'autant plus que, si la révolution

I. Rousseau détient l’apanage de la marginalité, ainsi sa sexualité ne fait pas fi de ce caractère paradoxal La sexualité de Jean-Jacques Rousseau est faîte de paradoxes... a) Une gêne importante dans la vie de tous les jours L'évocation de sa sexualité par Rousseau témoigne d'une certaine pudeur. Même si la narration de cet aspect est un point essentiel des Confessions que nous livre Rousseau, il s'avère extrêmement ambigüe dans le cas de l'écrivain, ce qui intensifie une sorte de retenue

l’histoire. A/ Racines et conséquences sociales du libéralisme : Ses sources sont les principaux penseurs classiques partisans d’un ordre «spontané» et de l’application aux actes économiques des principes libéraux découlant de la primauté de la liberté individuelle sur toutes les formes de pouvoir. Adam Smith (1723-1790) analyse l'organisation sociale et le marché par le jeu de la célèbre « main invisible ». Il n'y a pas de déséquilibre durable possible sur les marchés ou l'offre équilibre forcément