Le Paradoxe Du Comédien

Le comédien Le premier texte c’est Paradoxe sur le comédien, écrit par Diderot en 1773. Ce texte montre qu’un acteur convaincant est celui qui est capable d’exprimer des émotions qu’il ne sent pas vraiment. Diderot illustre donc deux sortes d’acteurs : ceux qui ressent les émotions de son rôle, et ceux qui feignent les émotions. Cela est le contraste entre l’expression du corps et l’absence d’émotion ressentie de la part de l’acteur. Selon le texte, l’artiste doit s’en servir de son corps comme

Pièce à faire en bref 5 2.2 Structure de la pièce ou contre-structure de la Pièce à faire 6 3. Personnages ou les clans de la mésentente 8 3.1 Le père et la famille 8 3.2 Le directeur et sa troupe 12 4. Thèmes de l’œuvre 15 4.1 Le théâtre ou le paradoxe de la réalité et de la fiction 15 4.2 La famille ou la confrontation des êtres inachevés 19 4.3 Le destin ou la chronique d’un drame annoncé 21 CONCLUSION 23 ANNEXES Annexe I 24 Annexe II 25 INTRODUCTION D’un point de vue dramaturgique

spectateurs et « au travers » duquel ceux-ci voient les acteurs jouer1,2. Ce concept fut pour la première fois formulé par le philosophe et critique Denis Diderot et plus largement repris au xixe siècle avec l'avènement du théâtre réaliste3 puis par le comédien et metteur en scène André Antoine4 qui voulait recréer sur scène la vraisemblance.] I L’opposition de jugement entre les deux personnages ( l.1 à l.13 )1°) Une opposition de caractère (l.1 à l.5)· L’ironie agressive d’Argan se manifeste

venu porter sa pièce aux comédiens, ainsi que les comédiens qui lui répondent d'une seule voix. Il joue plus particulièrement un comédien qui fait une courte démonstration de son talent (Montfleury). Quand l'auteur veut montrer comment on doit déclamer, il parle à la manière de Montfleury. 2) Le « vrai » Molière interpréta le 18 octobre 1863 à Versailles le rôle de Molière présentant fictivement à une troupe d'acteur, un projet de nouvelle comédie. « La troupe de comédiens nouvellement arrivée de

scène confusion entre le théâtre et la vie, fragilité de la frontière « les personnages font semblant de faire semblant ». Les acteurs jouent les amoureux et deviennent vraiment amoureux. Fusion fiction et réalité. Diderot Paradoxe sur le comédien : réflexion sur le jeu du comédien. Il doit rester maître de lui, garder une distance lucide. 19ème : nouvelle ère du personnage avec Lorenzaccio de Musset. Il est indéterminé, individualiste et reste jusqu’au bout une énigme. Précurseur du personnage moderne

injouables actuellement. Autant il est à l’aise dans le mélange des genres dans le roman, autant il a des raideurs dans la mise en scène pratique au théâtre. Cf ses discours Entretien sur le fils naturel, Discours sur le poème dramatique, Paradoxe sur le Comédien. Dans les deux premiers, il plaide pour un système dramatique non plus fondé sur la séparation des genres, mais allant chercher ailleurs dans l’intervalle entre tragédie et comédie, sur un axe avec des variantes possibles ; genre moyen

cette posture de l’ingénu (peut être ai-je aucune idée de ce qui est le théâtre), Anatole France soutient une thèse paradoxale au début et à la fin du texte. Le paradoxe consiste à écarter le professionnaliste et le talent des comédiens du Français. Pour les condamnés au nom de ce professionnalisme et au nom des français (= talent). Paradoxe : il écarte ces deux arguments et il va les condamnés. C’est presque un raisonnement par l’absurde, cela met en valeur la simplicité, la malléabilité de la marionnette

Le comédien est, littéralement, celui qui joue la comédie. Il interprète le rôle qui lui est attribué. On peut également en rapprocher le terme d'acteur. Il nous ai posé la question suivante : Qu’est ce que fait selon vous un bon comédien ?Dans un premier temps nous verrons comment un comédien doit être impliqué dans son rôle et dans un second temps nous aborderons tout ce qu’un bon comédien doit endurer. Tout d’abord , un bon comédien ne doit point s’investir amplement dans ses rôles

Diderot Le Paradoxe sur le comédien (1773) Présenté sous forme de dialogue argumentatif, cet ouvrage ne fut publié qu'en 1830. Contre l'idée qu'un acteur devrait, pour toucher le public, ressentir les émotions et les sentiments qu'il interprète, Diderot développe la thèse “paradoxale” du dédoublement du comédien : celui-ci n'émeut le spectateur qu'en restant insensible aux passions qu'il feint d'éprouver sur scène. Ce tremblement de la voix, ces mots suspendus, ces sons étouffés ou traînés

ressentir les sentiments et s’identifier ; là est le paradoxe du comédien. Brecht a une pensée plus complexe, dans la mesure où, s’il va plus loin que Diderot en souhaitant que le spectateur ne puisse pas s’identifier à l’acteur, et que ce dernier doit faire en sorte de ne pas se confondre totalement avec son personnage, il doit tout de même en ressentir les émotions. Valère Novarina tente d’échapper à cette alternative en réclamant du comédien qu’il soit avant tout un corps, une parole : la relation