Le Passé d'une illusion

d'entre eux auraient pu être dénommé par Illusions Perdues, comme l'ouvrage de Balzac. Chacun de ces extraits décrit la confrontation de leur héros face à la réalité: alors que tous étaient bercés dans un rêve, l'échec les attend. Dans le 1er texte, on peut vite ressentir l'amertume de Lucien, qui confronté à la vie parisienne, se rend compte de sa maladresse et de son inexpérience; lui qui rêve de gloire littéraire se retrouve honteusement accompagnée d'une protectrice qui l'embarrasse, et surtout

 Le théâtre fait partie intégrante du paysage culturel d'une société pour le moins rationaliste et terre à terre. Mais pourtant, il représente pour beaucoup un échappatoire à ce rationalisme et, au même titre que le cinéma, a le statut du rêve: une construction imaginaire dont le spectateur sait qu'elle est radicalement séparée de la sphère de l'existence quotidienne. Il subsiste donc ici une rupture nette entre le théâtre, considéré comme un monde à part, issu de l'esprit créatif des dramaturges

Rysselberghe. Nous énumèrerons les points de divergence de ses deux tableaux, ainsi que leurs similitudes. Enfin, dans une dernière partie, nous tisserons des liens avec d’autres exemples de peintures contemporaines et anciennes. I) La perception d’une réalité illogique Pour questionner cette notion de réalité dans le portrait, ce tableau de Peter Paul Rubens est un exemple intéressant. L’artiste baroque a confectionné Autoportrait en compagnie de ses amis de Mantoue durant une période située entre

l’expression d’une crise globale de la vision du monde Objet d’étude : un mouvement littéraire et culturel européen au tournant des XVIe et XVIIe siècles, le mouvement baroque Perspective dominante : Approche de l’histoire littéraire  Perspectives complémentaires : Etude des genres et registres ; Etude de l’argumentation et des effets sur le destinataire  Lectures analytiques : Groupement de textes ▪ Les illusions du moi - Chassignet Sonnet 263 ▪ Les illusions du monde

Honoré Daumier (1808-1879), La Parade1, Musée du Louvre. La représentation théâtrale : les recettes d'une illusion Donner corps aux fantômes Le théâtre est la mise en scène d'une fiction : comment donner à voir ce qui n'est pas ? Comment donner corps à des fantômes puisqu'il faut bien appeler ainsi les personnages imaginaires profilés par le génie littéraire ? Ces personnages n'existent pas ( ou n'existent plus dans le cas des drames historiques) ; le corps du comédien est le véhicule de

peut m’apporter cette connaissance. Il faut toutefois admettre que, si la conscience définit l’homme, elle n’est pas aussi innée que certaines autres de ces facultés, comme la perfectibilité par exemple. Ainsi atteindre la conscience de soi relève d’une démarche méthodique et rationnelle. C’est la thèse que défend Descartes dans le Discours de la méthode, lorsqu’il décide de rejeter comme fausses toutes les connaissances qu’il juge incertaines. C’est l’utilisation du doute méthodique qui, par opposition

Les Hommes semblent s'être toujours attachés à vouloir conjurer ou annuler les effets du temps dont l'irréversibilité même suscite l'angoisse d'une fin plus ou moins proche. Et peut-être est-ce par cette peur du temps qui passe et qui s'écoule inexorablement jusqu'à l'idée de la mort, que le mythe ou même la religion cherchent à réfuter cette irréversibilité à travers divers termes tels que, la résurrection ou bien celui « d'éternité ». A l'instar d'un temps hors du temps : un au-delà. Mais rien

sont t- elles? On part d'abord sur Objectif/Subjectif, Balzac observe, peint pour faire une satyre. Il y a donc un jugement de Valeur. Balzac est donc moraliste (tableau des femmes vertueuses/vicieuses) On part sur la Mimesis, Réalité/Illusion, il crée une illusion du réel avec par exemple les états des lieux de lieux qui n'existent pas. Dimension scientifique, il cherche à comprendre le monde, observation/analyse Dimension Socio-Historique/fictive, énormément d'histoire, mais aussi beaucoup de

mes limites '' '' tu n'est pas à ma place ''… = présence d'une conscience qui n'est pas physique mais métaphysique. Pourtant au lieu de me comprendre je peux parfois être dans l'ignorance sur moi mme = inconscient dc pas tt dans la conscience claire Freud , Essais de psy : '' L'homme est obscur à lui mme ''. Savoir que je suis semble + simple que savoir qui je suis car ma conscience est un perpétuel devenir et non un être dc on peut passé sa vie entière à se chercher. D'où vient la certitude de

Freud désigne non seulement ce dont je n'ai pas conscience, il est , une instance psychique tout à fait spécifique qui joue un rôle incessant dans notreappréhension du monde. Les symptômes ont leur source dans des états émotionnels appartenant au passé ; ils sont devenus " inconscients", parce que la conscience les a refoulés, mais ils continuent à se manifester symboliquement ( dans les rêves, les actes manqués, les lapsus, les névroses, ect...). Pour soigner ses patients, Freud péfére la libre