Le Personnage D Agnès

Introduction Comédie Représentée pour la première fois à Paris sur le théâtre du Palais-Royal le 26e décembre 1662 par la Troupe de monsieur, frère unique du roi Personnages Arnolphe, autrement M. De la Souche. Agnès, jeune fille innocente, élevée par Arnolphe. Horace, amant d'Agnès. Alain, paysan, valet d'Arnolphe. Georgette, paysanne, servante d'Arnolphe. Chrysalde, ami d'Arnolphe. Enrique, beau-frère de Chrysalde. Oronte, père d'Horace et grand ami d'Arnolphe.

l’animation du corps de personnages en 3D grâce à un programme informatique par exemple 3D studio max [2] Artistes plasticiens [3] Centre National de la Danse [4] Agnes Izrine „Le juste hasard”, Danser, n 290,septembre 2009, p 14 [5] Costumes par Suzanne Gallo [6] Lumières par Aaron Coop [7] Agnes Izrine „Le juste hasard”, Danser, n 290,septembre 2009, p 17 [8] Agnes Izrine „Le juste hasard”, Danser, n 290,septembre 2009, p19 [9] Idem [10] Ibidem, p14 [11] Agnes Izrine „Le juste hasard”

sexes et mettent à mal la vision rétrograde qu’incarne Arnolphe. Le passage qui nous est donné d’analyser appartient à la scène d’exposition de la pièce où Arnolphe, un bon bourgeois sûr de ses valeurs, annonce à Chrysalde son intention d’épouser Agnès. Son ami Chrysalde l’a pourtant mis en garde contre les dangers d’un tel mariage, mais Arnolphe le rassure : il a tenu la jeune fille à l’écart du monde afin de la maintenir dans l’ignorance et dans la soumission. Il en profite pour exposer sa vision

vous dédier simplement ma comédie, et de vous assurer, avec tout le respect qu’il m’est possible, que je suis, De Votre Altesse Royale, Madame, Le très humble, très obéissant et très obligé serviteur, MOLIÈRE.2 Personnages ARNOLPHE, autrement MONSIEUR DE LA SOUCHE. AGNÈS, jeune fille innocente élevée par Arnolphe. HORACE, amant d’Agnès. ALAIN, paysan, valet d’Arnolphe. GEORGETTE, paysanne, servante d’Arnolphe. CHRYSALDE, ami d’Arnolphe. ENRIQUE, beau-frère de Chrysalde. ORONTE, père d’Horace

comprends, mais justement c'est ce qui fait tout le comique. C'est un personnage tyrannique et ridicule. Te rappelles-tu quand Horace vint lui raconter son histoire avec Agnès, et lui vexé, dissimulait mal son agacement. Ses mimiques et grimaces, ont fait de cette scène un comique extraordinaire ! _ Le pauvre homme ! Cette scène m'a beaucoup touchée, et les rires de la salle me mettaient tellement mal à l'aise. Et Agnès cette ingrate, ne fut point reconnaissante de tout ses services.

celle−ci pourvu que le reste soit de même. Préface 5 Introduction Comédie Représentée pour la première fois à Paris sur le théâtre du Palais−Royal le 26e décembre 1662 par la Troupe de monsieur, frère unique du roi Personnages Arnolphe, autrement M. De la Souche. Agnès, jeune fille innocente, élevée par Arnolphe. Horace, amant d'Agnès. Alain, paysan, valet d'Arnolphe. Georgette, paysanne, servante d'Arnolphe. Chrysalde, ami d'Arnolphe. Enrique, beau−frère de Chrysalde. Oronte, père d'Horace

spectateur et le divertissent. Exemple : la comédie de Molière, L’école des femmes car ici, une vraie histoire d’amour est mise en place entre Agnès et Horace et tout ceci est très comique en-soi car tout au long de la pièce Horace n’est pas au courant que Agnès est à deux doigts de se marier avec son ami Arnolphe auquel il raconte ses aventures amoureuses avec Agnès III. Combiner instruire et divertir A. Divertissement et leçon morale à la fois Certes, il est important d’avoir des pièces qui visent

confusion, une courbure, pour accomplir peu à peu leur œuvre : un jour, au début de l’hiver, sans plan, sans direction, incompréhensible et monstrueux.
    Mais il est encore trop tôt, la porte de la rue vient à peine d’être déverrouillée, l’unique personnage présent en scène n’a pas encore recouvré2 son existence propre. II est l’heure où les douze chaises descendent doucement des tables de faux marbre où elles viennent de passer la nuit. Rien de plus. Un bras machinal remet en place le décor. 
   Quand

Le théâtre est un genre littéraire à part car, s'il tient sa source d’un texte. Il a bien pour vocation d'être représenté sur une scène par des comédiens qui tentent de représenter le plus fidèlement les caractères et émotions des personnages qu’ils perçoivent dans le texte original. Nous nous demanderons alors en quoi la mise en scène d’une pièce de théâtre constitue, à sa manière, une interprétation. Pour répondre à cette question, nous débuterons par l’analyse du décor des différentes

procédés utilisés par Arnolphe pour soumettre Agnès. I- Arnolphe, le bienfaiteur d'Agnès :a) ton impérieux d'Arnolphe. Arnolphe → personnage vantard et atypique. Pour qu'Agnès l'écoute, il utilise uniquement l'impératif (laissez, tournez, regardez, imprimez) . Il parle de lui etdes autres comme s'il était une grande personne. (v,682 : Et dans le même temps admirer ma bonté). b) Arnolphe le sacrifié. Le tuteur dit s'être sacrifié pour Agnès. c) Arnolphe lesauveur d'AG AG est, avant