Le Personnage De Dona Sol Hernani

Préromantisme du personnage de Des Grieux : « J’aime Manon ; je tends au travers de mille douleurs à vivre heureux et tranquille auprès d’elle. La voie par où je marche est malheureuse ; mais l’espérance d’arriver à mon terme y répand toujours de la douceur ; et je me croirai trop bien payé, par un moment passé avec elle, de tous les chagrins que j’essuie pour l’obtenir. » (l.13-17) - La proposition laconique « J’aime Manon » semble « tout dire ». Hernani dit « J’aime doña Sol » et doña Sol dit « J’aime

tôt le romantisme, qu'on verra se traduire dans deux drames, Cromwell et Hernani, alors qu'il n'avait pas encore 30 ans. Mais bien avant, en 1819, il avait fondé le Conservateur littéraire, une revue qui disparaîtra cependant dès mars 1821. Sa carrière d'homme de lettre est tout de même définitivement entreprise. En 1822, il publiera Odes et Poésies, puis suivra son premier roman, Han d'Islande, en 1823. Cromwell et Hernani suivront en 1827 et 1830. Victor Hugo n'a que 29 ans lorsque, en 1831, il

la voie à un renouveau dramatique : le mélodrame. Celui-ci a recours à des moyens simples procurant des émotions fortes à un public populaire. Il néglige la psychologie au profit de l'intrigue et du spectacle : décors, costumes, jeux de scène. Personnages et situations y sont réduits à des types élémentaires.Même si le mélodrame ne présente pas une grande valeur littéraire, il a toutefois le mérite d'ouvrir le débat sur le renouveau du théâtre : il en souligne la nécessité et en esquisse les axes

la voie à un renouveau dramatique : le mélodrame. Celui-ci a recours à des moyens simples procurant des émotions fortes à un public populaire. Il néglige la psychologie au profit de l'intrigue et du spectacle : décors, costumes, jeux de scène. Personnages et situations y sont réduits à des types élémentaires. Même si le mélodrame ne présente pas une grande valeur littéraire, il a toutefois le mérite d'ouvrir le débat sur le renouveau du théâtre. 1.2 Des réflexions nourries sur le renouveau du théâtre

Une lampe sur une table. Doña Josefa Duarte, vieille, en noir, avec le corps de sa jupe cousu de jais à la mode d'Isabelle-la-catholique, don Carlos. DOÑA JOSEFA, seule. Elle ferme les rideaux cramoisis de la fenêtre, et met en ordre quelques fauteuils. On frappe à une petite porte dérobée à droite. Elle écoute. On frappe un second coup. -

1001 nuits traduits au XVIIIème s.) : cette beauté est soulignée par le vers 1 répétée au vers 20 qui comporte une belle allitération en « l » ; le sérail ; les flots. Les notations géographiques. « Cos » ; « Tartare » ; « archipel grec » Les personnages. Une sultane ; le sérail (et donc d’autres femmes) ; les « djinns » La musique Guitare ; bruit des flots (soulignée par l’allitération en [r] : « rampant sur l’onde avec des rames » ; cri des Cormorans Les métaphores Comparaison : la mer est

isolé sur une île. Ce sont peut-être des gardiens de phare, le fond du décors que Ionesco a lui même schématisé formant un demi-cercle. Ils sont dans l'attente de la visite de plus en plus improbable des instances qu'ils ont convoquées : "tous les personnages, tous les propriétaires et tous les savants". Ils alignent sans cesse des chaises afin de les accueillir. Comme personne n'arrive, ils se mettent à jouer eux-mêmes le rôle de leurs invités. En fait, ils les attendent pour leur signifier qu'ils vont

sublime et plusieurs registres différents qui vont toucher le spectateur. Ouverture : - On ne badine pas avec l'amour de Musset => contre règle de bienséance, mort d'un personnage, mais pas vu sur scène comme RB (mort de Rosette) - Hernani de Victor Hugo => même auteur et mort sur scène tragique -> suicide zvec du poison de Dona Sol - Tartuffe de Molière => valet très important pr la pièce comme RB (héro romantique) - Le barbier de Séville de Beaumarchais => valet prenant une dimension héroïque aussi

un mélange des genres et des personnages. La poésie de ce drame se sent à travers l’harmonie des contraires (dès la première scène avec Don Carlos, jeune monarque imprévisible aux allures de bandits) Le sublime et le grotesque sont intimement liés dans le drame romantique et par le coté protéiforme des personnages. Le drame romantique est aussi cocasse et le burlesque par le déguisement, la situation. Le coté tragique est quand même relativement présent, les personnages sont victimes de leur destin

représenter le mal sur scène. Toutefois, dans un deuxième temps, nous verrons que ce n’est pas sa seul vocation. Nous pouvons tout d’abord voir que le théâtre représente le mal sur scène, notamment en montrant la souffrance morale, psychologiques des personnages qui sont le plus souvent liées à des évènements de la vie intime. En effet, toutes le pièces ne sont pas toujours tournées vers des fins heureuses comme dans les comédies ou tragicomédies. Ainsi, dans Phèdre, Racine nous présente une histoire de