Le Plaisir

soit la part de hasard et du déterminisme A partir de là deux grandes philosophies du bonheur existe, la philosophie Hédoniste (Hedon, le plaisir) et la philosophie stoïcienne. A) Philosophie Hédoniste La philosophie hédoniste considère qu’on est libre d’atteindre le bonheur par la plaisir en réalisant ses désirs. Donc on peut faire son bonheur par le plaisir et même on doit le faire, c’est notre premier devoir sur terre puisque le bonheur est la chose la plus importante du monde. A partir de là

préoccupation universelle. Tous les hommes souhaitent avoir accès au bonheur, à être heureux, déjà pendant l'antiquité on ne cache pas le primat du bonheur dans la recherche philosophique. Selon notre définition du bonheur, il se distinguerait donc du plaisir ponctuel, éphémère qui ne satisfait jamais durablement l'homme. Ce concept de bonheur présente une difficulté qui embarrasse car il semble clair à définir mais inatteignable dans la réalité, tout le monde comprend cette notion, tout le monde sait

Spinoza, Kant, Nietzsche ou Platon, Vergely présente et approfondit les citations des grands auteurs dans une argumentation forte et bien bâtie. Il traite d’abord des corrélations entre bonheur, morale et politique; il explore le rôle du désir relié au plaisir tout en passant par la joie, le sourire, la jouissance et la peine; puis il creuse la relation entre le bonheur et monde spirituel, à la fois dans la recherche d’un idéal, dans la pseudo-influence du hasard et dans la notion de paradis. Il examine

Lorsque nous nous demandons si la conscience de l'homme fait le bonheur de celui-ci notre questionnement porte sur la possession de la pensée et de la conscience de l'homme, et de ce à quoi aspire tout être humain : le bonheur, un état de grand plaisir marqué par l'absence de souffrance. En effet, tout être humain recherche le bonheur. Qui ne souhaite pas être heureux? Il semblerait que la conscience soit la clé du bonheur. Cependant savons-nous réellement ce qu'est la conscience, le bonheur, et

un pur plaisir esthétique désintéressé, il exprime l'idée que l'art ne répond pas à un besoin réel et nécessaire de l'homme. L'art relèverait ainsi de la simple utilité en tant qu'il procure un sentiment de plaisir, semblable en cela à d'autres. La spécificité de l'art n'aurait donc pas de valeur de nécessité et ne répondrait pas à un besoin particulier, sinon celui de donner du plaisir à celui qui juge. En ce sens, il n'a pas de nécessité sinon pour seule finalité que de procurer du plaisir. L'art

va ressurgir en nous. - Désir = l'indictation d'un manque qui ne peut jamais être totalement comblé et l'origine d'une plaignitude qui ne peut jamais être complète, il engendre sentiments et attitudes contradictoires ( souffance/plaisir ) => difficultée à vivre le plaisir : impossible à détruire & impossible à satisfaire pleinement. - Il faut donc chercher à perser le secret du désir pour tenter d'élimier ce malheur. Qu'est-ce donc le désir qui nous rend à la fois si puissant et si fragile : est-il

l’on travaille sur la maximisation du plaisir et la minimisation de la souffrance[3]. Bien évidemment, cette tâche n’est pas aussi facile. Selon Bentham, pour satisfaire le principe d’utilité, il faut, avant tout, répondre aux sept critères suivants[4] : la durée, l’intensité, la certitude, la proximité, la fécondité, la pureté et l’étendue. Ces critères sont, aux yeux de Jeremy Bentham, une méthode efficace puisqu’ils permettent de quantifier le degré de plaisir et souffrance d’une action. De plus

claires et nettes. Il va trouver sa réponse dans l’hédonisme, qui est une éthique qui pose le plaisir comme le bien moral suprême. Deux souverains maîtres dans l’humanité : la douleur et le plaisir. Ce sont eux qui dictent nos agissement. Pour Bentham, l’être humain chercher à travers toutes ses actions, à obtenir le maximum de plaisir et le minimum de douleurs. L’action avec le plus grand excédent de plaisir sur les douleurs sera la meilleure sur le plan moral. La moralité d’une action doit être

chose qui lui manque, ni de chercher autre chose pour parfaire le bien être de l’âme et celui du corps. C’est alors en effet que nous éprouvons le besoin du plaisir quand, par suite de son absence, nous éprouvons de la douleur; mais quand nous ne souffrons pas, nous n’éprouvons plus le besoin du plaisir. Et c’est pourquoi nous disons que le plaisir est le commencement et la fin de la vie heureuse. C’est lui en effet que nous avons reconnu comme bien principal et conforme à notre nature, c’est de lui

privé du plaisir de désirer; tout autre privation serait plus supportable. Rousseau, La Nouvelle Héloïse. « Malheur à celui qui n’a plus rien à désirer ». Cette équivalence entre malheur et absence de désir est paradoxale. Spontanément, on définit le bonheur comme un état de contentement dû à la satisfaction des désirs. Ne plus rien avoir à désirer = être heureux. Or ici seul celui qui désire est heureux, mais ce bonheur n’est pas la jouissance née de la réalisation du désir ms un plaisir pris