Le Point

pour l’observer. Il y avait dans ce cocon un petit trou, et l’homme vit qu’à l’intérieur un papillon s’efforçait de sortir. Il resta de longues heures devant ce cocon. Le papillon faisait tout ce qu’il pouvait pour en sortir. Or, il semblait sur le point d’abandonner, faute de pouvoir passer par le trou qui restait toujours aussi petit. L’homme décida alors d’aider le papillon. Il prit un couteau, ouvrit le cocon et le papillon sortit aussitôt. Cependant, son corps était maigre et engourdi, ses

nos convictions grâce aux pensées qu’expose l’auteur dans son livre. En effet le premier but de l’écrivain est de démontrer une réalité passé ou contemporaine à son existence à travers son œuvre. De ce faite, lorsque nous lisons, nous absorbons le point de vue de l’auteur ainsi que ses idées qu’il nous fait partager. Par exemple, l’historien nos fait un récit du passé afin que nous ne reproduisions pas les mêmes erreures à l’avenir

une déchirure mais avec le temps, même les blessures de coeur, qui sont parfois les plus douloureuses, finissent par guérir. Ce roman autobiographique d'Annie Ernaux raconte la passion. Celle d'Une Femme, pour un homme marié et étranger. Seul le point de vue d'Annie Ernaux est narré, on dispose de très peu d'informations sur l'homme, même pas son nom entier. J'ai découvert cet auteur pour la première fois et je dois dire que le style m'a plu, même s'il a été parfois compliqué à comprendre. Les

Le garçon ne comprend pas. Sa mère n'est pas à lui parler. Elle ne sera même pas le regarder. Enrique a aucune trace de ce qu'elle va faire. Lourdes connaît. Elle comprend, comme seule une mère peut, la terreur, elle est sur le point d'infliger, le mal de Enrique se sentent, et enfin le vide. Que vont devenir de lui? Déjà, il ne sera pas laisser quelqu'un d'autre d'alimentation ou de se baigner lui. Il l'aime profondément, comme seul un fils peut. Avec Lourdes, il est ouvertement affectueux.«pico-Dame

> 0, on a : f (1 + h) = −(1 + h)2 + 4(1 + h) − 2 1+h−1 −1 − 2h − h2 + 4 + 4h − 2 = h −h2 + 2h + 1 = h 1 = −h + 2 + h −x2 + 4x − 2 . x−1 D’où : 1 f (1 − h) = h + 2 − h On a donc : 1 1 h+2− −h+2+ f (1 − h) + f (1 + h) h h = 2 2 4 = =2 2 Le point Ω(1 ; 2) est donc bien un centre de symétrie de Cf . Exercice 4 a) P (1) = 0 b) P (x) = (x − 1)(2x2 − 3x − 11) √ √ 3 − 97 11 3 + 97 c) S = −∞ ; ∪ 1; ∪ ; +∞ 4 8 4 −2x4 + 3x2 + 5 < 0 √ √ − 10 10 S = −∞ ; ∪ ; +∞ 2 2 Exercice 5 P (x) = 2x3 − 5x2 − 8x +

si nécessaire. C’est le protéger et lui apprendre à se protéger des agressions, de la violence. C’est dire à Malek que sa mère ne souhaite pas l’accueillir ce week-end et partager son malheur. C’est accompagner Victor chez la juge pour faire le point de sa situation. C’est empêcher que Jacques mange toute l’assiette de tartines au petit déjeuner. C’est faire en sorte que René ne s’assoit pas à côté de Claude au petit déjeuner. C’est demander à Hamed de changer ses chaussettes car elles sont

rappel même sans détail c’est que tout de même se souvenir devait avoir un minimum d’importance. On peut même associer ce souvenir à la curiosité car on peut lire que « nous nous bousculons » et c’est ce que font les enfants quand ils sont sur le point de découvrir quelque chose de nouveau, il veulent le découvrir vite. Le souvenir tenace, lui, peut-être associé à la fierté mais aussi à la joie car l’enfant Perec «dévale en courant» (l. 5) «tenant à bout de bras un dessin» qu’il a «fait à l’école»

deux photos sont-elles à la fois ressource matérielle d’ancrage, source de fantasmagorie, trace d’un passé désormais insaisissable. Plan : 1) Les traces d’un membre fantôme 2) Le simulacre 3) Des morceaux de vie arrachés au vide 1) Le point du départ de la quête perequienne est la recherche des renseignement matériels, sur son enfance et sa famille. Dans W Perec ne se limite pas seulement à dire qu’il possède des photos de ses parents ; il les décrivent minutieusement. Cette description

d’apprendre que BHL est la personnalité qui a été le plus souvent victime d’entartrages en Belgique. Intérêts du texte et rapprochement avec Cicéron Le texte est constitué de plusieurs extraits d’un article que Christine Angot a écrit pour Le Point, après que BHL ait publié deux livres en même temps. Elle dresse un portrait on ne peut plus dépravant de ce philosophe et, en ne faisant pratiquement que citer ironiquement des paroles de BHL tout au long de son article, elle nous démontre les contradictions

pourrai vous demander un autographe, ma fille est vraiment fan de vous, sa chambre est tapissé de posters à votre effigie… » Me dit-il d’un air gêné, ce qui me fit sourire. Je lui signai son autographe et m’en alla me réfugier dans ma loge pour faire le point sur ce que j’avais vécu ce soir, je voulais réfléchir et m’éloigner de ce tumulte et de ce brouhaha infernal. Une fois dans ma loge je me repassai, le film de ma vie. Enfin pas de toute ma vie, je commençai à ma rentré en classe de troisième….