Le Positivisme Formaliste

de poésie liturgique dont il connaît des milliers de vers. Il ne cherche pas à renier la religion de ses ancêtres mais à la réformer 71, à la moderniser pour les besoins de l'époque et aussi à la purifier, car elle apparaît frelatée, inutilement formaliste, ayant oublié l'essentiel. Il faut qu'il attende l'âge de quarante ans pour que, après bien des tentatives infructueuses, sa prédication trouve enfin une oreille attentive en la personne d'un seigneur local, Vishtâspa, qui fait de lui son maître

que la personne morale (comme l'incapable) soit représentée. C'est comme si il appartient à la loi, de faire violence à la réalité des choses. Et c'est pour cette raison que l'on trouve cette thèse défendue par l'école exégétique du 19è siècle (positivisme - volontarisme) qui professait le culte de la loi (fétichisme juridique). De cette thèse, il découle d'un côté qu'il n'y a pas de personne morale sans texte et de l'autre côté, les fictions sont d'interprétation stricte c'est-à-dire qu'on ne saurait

fonction interprétative est avant tout la charge et l’honneur de la science. La scientia iuris est par excellence interpretatio. Il s’agit d’un mot latin que Paolo Grossi conserve à la place du mot italien interpretazione trop contaminé par le positivisme juridique. Il craint en effet la pollution de la notion d’interprétation comme activité purement logique et de l’interprète comme un automate sans volonté et liberté propres, notion encore dominante chez tant de juristes béotiens et bien intentionnés

excellence). On divise traditionnellement le droit romain en 3 périodes qui correspondent à 3 formes de procédures (à Rome la procédure, l'action précède le droit) : ⁃ L'ancien droit romain 8e siècle av JC au 2e siècle av JC. Le droit est extrêmement formaliste. La procédure correspond aux actions de la loi ⁃ Le droit classique du 2e sicèle av JC, au 3e siècle après. C'est la période de la procédure dite formulaire. Elle est beaucoup plus souple que la première. ⁃ Le droit post-classique, du 3e siècle

l'ordre. Le droit n'est-il qu'un instrument de contrainte? N'y a t'il pas de règle juridique qu'autant qu'il y'a une sanction? Elle fait en effet abstraction de la finalité du droit en ne donant de celui-ci qu'une seule vision instrumentale. Le positivisme juridique réduit l'image du Droit au seul instrument qu'est le glaive. La sanction est la condition nécassaire pour qu'il y ait règle de droit, cette condition n'est toutefois pas suffisante. Cette observation semble être commune à toutes les Sciences

| |d'Hernani |(France) | | | | | |1839 : guerre de l'opium |1837 : télégraphe |Positivisme (France) | | | |1840 | | | | |1840 : néo-gothisme (GB) |1841 : Loi sur le travail |

définition du droit mais il définie au final la justice. Son point de départ est une opposition a la sophistique juridique. Mais cela signifie une opposition a l'idée que le droit est ce que font les hommes. (C'est ce que l'on appelle aujourd'hui le positivisme juridique) Cette idée est combattu par Platon qui pense qu'il n'y a pas tout le droit dans le droit que pose les hommes. Il revient a l'idée que la loi n'est pas tout le droit. Socrate aurait dis (mais c'est Platon qui l'écris) qu'il y aurait une

Comparution représentée ou au nom de qui on Procédure agit : civile les plaideurs volontaire doivent se communiquer les pièces Procédure pénale : mode de saisine dont Comminatoire ils se servent ; cette non formaliste du tribunal communication peut être exigée par correctionnel et du tribunal de Droit civil : adj. Qualifiant une l'intermédiaire du juge ou du police, par lequel le prévenu, se mesure révocable destinée à faire tribunal

l’histoire, il serait aussi vain qu’erroné de voir dans l’histoire l’image racornie, mais somme toute rassurante, du droit contemporain. Bien au contraire. L’histoire est décalage et remise en question. Détour, rupture dans la continuité apparente d’un positivisme repu. D’où un double enseignement : esprit critique ; mesure du décalage entre discours et réalité. L’historien est toujours soupçonneux, attentif aux distorsions et aux décalages. Aucun langage n’est neutre, aucune production juridique n’est nécessaire :

d'intervenir par des procédés de puissance publique ou en concurrence avec les personnes privées (distinction entre gestion publique et gestion privée). Pr Gilles J. GUGLIELMI p. 6 Or, la méthode de Duguit peut être qualifiée de positivisme sociologique. Elle ne tient pour règles de droit que celles qui sont effectivement appliquées, c'est-à-dire matérialisées par un comportement social. Par conséquent, la limitation de l'État par le service public doit être objective. « Le principe