Le Pouvoir Souverain

ch. VIII L'homme politique socialiste Jean Jaures déclara dans le début du 20ème siècle « la République c'est le droit de tout homme, […], à avoir sa part de la souveraineté », la souveraineté qui est une notion récurrente dans l'exercice du pouvoir depuis le Moyen-âge, c'est vue définie et théorisée dans un traité du 16ème siècle intitulé Les six livres de la République rédigé par Jean Bodin. Ce grand théoricien politique français connu pour ses théories économiques et ses principes de « bon

d’un état. L’importance est grande au moment où l’on se place, ils vont intervenir dans un contexte historique favorable ou pas déterminant le succès de leurs actions. C’est important car en fonction du contexte il peut avoir du succès d’où un état souverain d’ôter de tous les attributs. Il peut déployer son actions dans des contextes : de la décolonisation, mais ces mouvements n’existent pas dans ce contexte période contemporaine, défendre un peuple et qui prétend de se déterminer lui-même. C’est l’acteur

sont attribués : Pouvoir central par opposition aux collectivités locales Les gouvernants par opposition aux gouvernés Société politique organisée Trois éléments constitutifs sont nécessaires afin de qualifier une société humaine d’État : un pouvoir de contrainte s’exerçant sur une population rassemblée sur un territoire. L’État présente deux caractères importants : il s’agit d’une organisation dotée de la personnalité morale et il est souverain. L’État est une

de la dynastie des Ptolémées, ou dynastie des Lagides, qui a régné sur l’Égypte pendant près de 3 siècles, de 323 à 30 avant J.-C. La dynastie a compté une quinzaine de souverains, tous portant le nom de Ptolémée et qui ont épousé leur sœur ou une femme de leur famille proche, mais jamais une Égyptienne. Les deux premiers souverains sont comme des lieutenants d’Alexandre, ils font en sorte que son empire reste cohérent : sous leur règne, l’Égypte et plus particulièrement la ville d’Alexandrie profite

l’armée thessalienne : a le droit de mobiliser les districts mil (150), 80 fantassins et 40 cavaliers par tagoi. Il a le pouvoir de mobiliser les peuples périèques de la Thessalie (Magnets, Pérèbes, Maliens, Dolotes, Egnames). Les forces centrifuges qu esont les villes, les cités = plus importantes que les forces centripètes. C’est par les villes que passent les monnayages, le pouvoir éco. Terme de tagos désigne également les magistrats locaux. Réorg° de l’administration locale sous Phil II avec 5

sens. Cette matière s’interroge sur les fondements théoriques de ces règles, c’est-à-dire sur l’histoire de ces règles. Ex : On va étudier le principe de séparation des pouvoirs entre le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif, ainsi que le fondement de ce principe. Il ne s’agit pas seulement de les décrire ces différents pouvoirs, mais de connaitre leur pratique. Le droit constitutionnel comme discipline a évolué, il a 3 objets : /!\ Le droit constitutionnel institutionnel : L’analyse des

critères de l’Etat : n’a pas de compte à rendre, se doivent d’être souverain sur la scène de l’international Institution qui bénéficie la façon d’exercer la souveraineté II. LA CONSTITUTION La Constitution c’est de pouvoir fixer par écrit les règles de l’Etat. Elle comprend l’essentiel des règles qui fixe le pouvoir public. C’et une multitude textes qui constituent une Constitution, les règles d’organisation du pouvoir public. Apparait Elle assure la liberté des citoyens, vu comme un facteur

  Il est banal de rappeler, des siècles après, ad litteram, la célèbre et éclairante phrase de Lord Acton « le pouvoir rend fou, le pouvoir absolu rend absolument fou ». Car, il est d’une vérité éternelle, renchérit Thucydide « tout homme tend à aller jusqu’au bout de son pouvoir ». Le remède à cette maladie  anthropologique, politiquement mortifère, est l’existence de contre-pouvoir. Et justement, l’avènement du conseil constitutionnel, dans le système juridictionnel ivoirien, en 1994, s’analyse

souveraineté royale. Comment Bodin au travers d’un exposé des prérogatives royales légitime t-il la souveraineté royale ? Après avoir mis en exergue les différentes pratiques possibles de la monarchie selon Bodin (I), nous soulignerons le caractère souverain qu’il accorde à la monarchie (II). I- Les caractéristiques des différentes monarchies royales. En utilisant le terme de république, Bodin pense à la notion de régime politique. Parmi les différents régimes politiques possibles il considère qu’il

être une réponse direct au problème d'administration. En effet le Fédéralisme de par sa nécessaire division semble être la solution donnée, dès lors l'État unitaire et sa décentralisation rejoignent sur certains points ce principe de divisibilité du pouvoir, se pose alors la question de savoir si entre le Fédéralisme et la Décentralisation il y aurait des caractéristiques communes ou des divergences de formes ? Dès lors il convient d'observer les similitudes entre ces deux formes d'État ( I ) pour en