Le Poète Comme Guide Spirituel

Fonction du poète », Les Rayons et les ombres, 1840 * Texte B : Théophile Gautier, « Le pin des landes » Emaux et Camées, 1852 * Texte C : Charles Baudelaire, « L’albatros », Les Fleurs du mal, 1857 * Texte D : Arthur Rimbaud, « Ma Bohème », Poésies, 1870 Question : A l’appui des textes du corpus vous expliquerez quelle image leurs auteurs donnent du poète et de la création poétique. Ce corpus est constitué de quatre textes, portant tous sur l’image que donne l’auteur du poète et de la création

dégager les composantes du sujet (citation et consignes) repérer les mots-clés, les mots de liaison repérer les connotations positives ou négatives et éventuellement l’implicite. Baudelaire a souhaité la laideur comme un nouveau secret qu’il s’agit de pénétrer et grâce auquel le poète éveille des charmes nouveaux. b. Dégager la problématique Il s’agit de formuler clairement le problème central posé par le sujet. Cela revient souvent à reformuler le sujet. On peut aussi repérer -

            Contrairement à la prose, la forme est ici aussi – voir plus – importante que le fond.             Ainsi, les mots sont mis en valeur, avec des anaphores, des métaphores, et autres figures de styles. Le mot recèle différents sens que le poète se doit de savoir explorer, en poésie il n'est pas le simple acteur d'une phrase, il comporte tout un monde de connotations et de suggestions.             Dans l'antiquité, la poésie était un art oral, ce qui explique l'importance des son et des

place loin du collage explosif du sexe et de l'inconscient. Il ne revendique pas comme Jouve la triade de la sexualité, de la catastrophe et de la spiritualité. Avec Philippe Jaccottet, l'humanité n'est plus directement ensorcelée par son propre théâtre et par la violence de son histoire. Il ne s'agit pas d'une poésie de la révolte ou du délire. Au moment de la faillite de l'humanisme et des valeurs universelles, notre poète se tourne vers ce qui est le moins douteux: la nature. Une recherche de nouvelles

: le poète qui sent venir la vieillesse et la mort n'a pas encore totalement perdu l'espoir de trouver un chemin des mots, "quelque chose entre les choses", un moyen de recoudre la déchirure. Le poème qui clôt la première section en particulier s'accroche encore à l'intuition "qu'ailleurs, plus loin qu'elle (la parole) ou simplement / à côté, demeure ce qu'elle a longtemps cherché". La deuxième section s'ouvre alors sur une réponse possible, à la lumière d'une expérience privilégiée du poète, marchant

Justification religieuse à un phénomène naturel ⟼ Pas de bienveillance : il reste froid et hostile ⟼ Ces "choses" ne sont jamais nommées, jamais comparées à des humains, ni même à des êtres. ⟼ Pas d'utilisation du registre pathétique ⤷ comme si ils le méritaient Les essais (1595) de Montaigne Ce texte est la retranscription de la réflexion de l'auteur (dèf. de "l'Essai") Thème : Les monstres Thèse : Les monstres sont des Hommes Argument 1 : religieux

logique du discours tenu. Solliciter la réflexion et l’intelligence de l’interlocuteur Références fiables--- Vérité en se référant aux faits (monde concret et social) Socrate s’est exclusivement référé au pôle rationnel pour construire sa défense, comme il l’a toujours fait lorsqu’il mène des conversations. 4. Pour quelles différentes raisons socrate s’est-il fait des ennemis au sein de la société athénienne? D’une part à cause de son arrogance et d’une autre part à cause de sa sagesse, dite purement

reste plein de beau souvenir, des moments heureux qu’on à passé et de chaque paysage de vue. Ainsi, pour un poète, leur voyage à eux c’est la poésie où ils peuvent rêver, voyager loin, très loin, sans avoir à subir les contrainte, moquerie, les hués de la société qui persécute les poète. Ainsi dans le poème L’Albatros, le poète est considérer comme l’albatros, qui quand il est au sol, donc le poète hors de son écriture n’est rien et subis les moqueries des autres alors que quand il écrit, pour l’albatros

légitimement, amener à nous demander s'il nous sera un jour réellement possible de la réaliser. Pour répondre à une telle question, il nous faut en premier lieu nous intéresser à la signification exacte du mot « Paix ». Le dictionnaire le définit comme : « Le fait d'être dégagé de tout conflit ; un état de sérénité, de calme et de tranquillité ». La simple lecture de cette définition nous permet de comprendre en quoi il est si difficile de réaliser ce que l'on appelle la paix. En effet, nous avons

tient la première place, mais comme sujet et objet de connaissance. Comment cette œuvre s’inscrit-elle dans le courant humaniste ? Quelles interrogations Montaigne partage-t-il avec ses lecteurs ? Les Essais, qui témoignent d’une grande confiance dans la Nature, proposent une leçon d’équilibre, d’un équilibre conquis par la confiance faite à l’homme, en dépit de ses lacunes. Pour être heureux, il faut s’accepter soi-même, modérer ses désirs et se méfier des préjugés comme des fausses valeurs. Un programme