Le Principe Du Consensualisme

DISSERTATION: LE CONSENTEMENT LIBRE ET ECLAIRE AU CONTRAT: Introduction: "Il n'y a point de consentement valable, si le consentement n'a été donné que par erreur, ou s'il a été extorqué par violence ou surpris par dol". Tel est le principe énoncé par l'article 1109 du code civil. En effet, on ne peut parler de consentement libre et éclairé si les volontés sont trompées. Force est de constater que "le consentement libre et éclairé au contrat" reflète directement les notions de libertés

croisés : Obligation de remise Obligation de paiement (avec un débiteur, celui qui doit exécuter , et le créancier ) Deux principes fondamentaux : Liberté contractuelle  la liberté de contracter ou pas , d’acheter ou pas . Liberté du choix du co-contractant, et de mettre dans le contrat ce que l’on veut tant que sa respecte la loi . Le principe du consensualisme : Sauf exception, ce qui fait qu’il y a contrat, c’est qu’il y a un accord, pas l’existence d’un écrit . L’écrit n ‘est pas une

personne assurée qui a souscrit la police, soit aux tiers désignés par elle, dans le cas où un événement futur et éventuel dit ‘’risque’’ se réalisait. - Le contrat d’assurance est un contrat consensuel : Le contrat d’assurance est soumis au principe de consensualisme. Le contrat est parfait dès la rencontre des volontés de l’assureur et du souscripteur. Cette position fût défendue par la chambre civile de la Cour de cassation Française à travers son arrêt du 1er juillet 1941. Toutefois, la loi exige

formaliste. Rome a utilisé beaucoup de contrat mais Rome n'a pas défini la notion même de contrat. Notre article 1134 du Code civil retient comme principe celui de l'autonomie de la volonté. Rome en revanche, ignorait le consensualisme. Pour un romain la rencontre des volontés ne suffit pas à faire un contrat. Il a fallu du temps pour impose ce consensualisme, pour dépasser ce modèle romain. Le droit romain était un recours indispensable, les juristes ne pouvaient s'en passer. Le droit romain était d'une

innommés Le contrat nommé est celui qui est réglementé par le Code Civil, par la loi ou un autre code. Le contrat innommé est celui qui résulte d’un aménagement contractuel. Les parties peuvent passer par un contrat qui n’est pas prévu par la loi : principe de liberté des contrats. La difficulté est qu’il faut alors le qualifier pour savoir quel régime juridique on lui appliquera. Ex : en fonction de l’objet du contrat Tous les contrats sont soumis à un certain nombre de règles générales qui sont valables

prix doivent être indiqués pour que le contrat de promesse soit valable. Dans la promesse, il doit y avoir tous les éléments du contrat définitif. Aucune adjonction ne sera possible après. La promesse est soumise au droit commun, et donc au consensualisme. Si le contrat de vente impose des formalités, le contrat de promesse devra les respecter. La promesse unilatérale de vente est soumise à la formalité de l'enregistrement (article 1840-1 CGI) : dans les 10 jours, sous peine de nullité. L'enregistrement

« SOMMAIRE »INTRODUCTION…………………………………………………………………………………………………………………3 I- L’effet translatif du contrat ………….…………………………………………………………………7 A- Le transfert de propriété……………………………………………………………………………7 1- Le principe…………………………………………………………………………………………..7 2- L’exception…………………………………………………………………………………………9 B- Le transfert de risque………………………………………………………………………………10 1- Le principe…………………………………………………………………………………….…10 2- L’exception…………………………………………………………………………………..…11 C- La force obligatoire du contrat……………………………………………………………..11 1- Le contrat

Technique des accords et contrats internationaux (AS) Droit du commerce international (JB Racine, Fabrice Siirainen – Cours Dalloz) Contrat : principe du consensualisme Bases principales pour fondement du droit international : Droits français, Common law et droit islamique Au niveau international, plusieurs sources de droit (de juridictions compétentes) Convention de Vienne 1980 : régie contrat de vente de marchandises (Convention de Vienne sur les contrats de ventes internationales de marchandises

technique universelle permettant aux co-contractants de faire preuve d’imagination juridique. Le droit canonique va venir se greffer sur cette approche pour en quelque sorte affiner les mécanismes juridiques par la morale chrétienne. A) Le consensualisme Le régime des contrats est marqué par le formalisme. Les romanistes : tout contrat exige un concours de volonté. Il ne saurait y avoir de contrat sans consentement. Les canonistes : ils vont beaucoup plus loin en matière de consentement

l’Empereur. Durant cette période romaine, on va également passer du formalisme au consensualisme. Le droit romain va nous léguer la notion de vice du consentement en faisant apparaître l’erreur, le dol et la violence. Il va aussi nous léguer la distinction entre contrat et délit. Il sera enfin le premier à définir la notion d’obligation. Deux axes sont importants : - le passage du formalisme au consensualisme. Au XIXème siècle le consentement est roi et conduit à des abus et à un contrôle accru