Le Processus De Civilisation Chez Elias

société en classe. Ce qui l’intéresse est la question de la domination. Chez Bourdieu aucune société est unifié, il n’y a pas d’unanimité. Chaque société de constitue pas un ensemble elle est toujours divisée, marquée par des conflits explicites ou implicites. Les rapports sociaux sont des rapports de pouvoir. (reproduction, domination, classe sociale, rapport au pouvoir -> caractérise la sociologie de Bourdieu) On retrouve comme chez Durkheim, l’idée que le discours sociologique s’écarte, rompt avec

pas les même pour chaque cultures, le but est semble : coexister en société. L’auteur différencie deux types de rite. Le premier est « substantiel », il questionne l’ordre moral c’est à dire qu’il défini le bien du mal, le droit et l’interdit chez l’individus. Le seconde est « cérémonielle », il se rapporte à la manière dont les personnes communiquent entre elles, notamment avec les gestes de politesse. Plusieurs règles définissent les rites « cérémonielles » : . La déférence : est la façon

des personnes qui assument des fonctions définis. On est dans une logique de groupe dominant dans une société étatique. Il y a dans les sociétés étatiques, au-delà de cette domination, des formes variés et différentes. La naturalisation est le processus par lequel quelque chose devient évident. Aujourd’hui, il nous paraît évident que la France a besoin d’un Etat pour prospérer. L’Etat pour Durkheim est « l’autorité supérieure régulièrement constituée et exercée par un groupe spécial de fonctionnaires »

La dynamique de l’Occident, Norbert Elias Première Partie : La sociogenèse de l’Etat : Introduction : De la seigneurie féodale au royaume. Le rôle attribué à la couronne dépend de l’évolution sociale, mais certaines fonctions du roi ont toujours été les mêmes (ex : guerre). Au XIIe siècle le royaume franc d’Occident s’est désagrégé pour devenir une multitude de dominations indépendantes et les groupes féodaux deviennent des Etats quasi indépendants dont les rapports avec le roi sont réduits

plus immédiat au plus global, on va d’abord analyser la façon dont l’identité d’un individu est en permanence construite par les interactions sociales de tous les jours ; on va ensuite remarquer que ces interactions, en s’ajoutant, donnent lieu au processus de socialisation de l’individu, qui diffère selon son milieu social ; on va enfin considérer la façon dont l’état d’ensemble de la société et de l’époque dans laquelle vit l’individu impose lui aussi une série de contraintes à son identité.

Sur quels objectifs se fixe-t-telle ? Le terme « État » renvoi à deux ordres distincts. Sur la scène internationale, il a une définition large, il s'agit d'une société globale juridiquement organisée sur un territoire organisé et qui prend part au processus créateur du droit international. L’État est aussi une forme de pouvoir qui s'exerce au sein de la société.  Au delà de ce sens commun, il y a différentes orientations : - les approches philosophique - les approches juridiques   Ce cour se consacre

prendre en compte la complexité du phénomène dans son ensemble. Les violences décrites précédemment ne sont en fait qu’un « accomplissement pratique[4] [4] Harold Garfinkel, Studies in ethnomethodology, New Jersey,... suite », aboutissement d’un long processus fait d’interactions sociales subtiles et complexes entre les différents acteurs du spectacle sportif (supporters, dirigeants, policiers, journalistes etc.), de rivalités sportives, provocations, vendettas, elles-mêmes reflets de constructions identitaires

d'extrêmes violences qui dureront près de trois jours. Théories : La déviance est-elle due à un échec du processus de socialisation ? (I) Premier point de vue : la déviance est vécue comme un processus anomique. Pour DURKHEIM, l’anomie est définie comme un défaut de régulation (=règles qui bornent les désirs ; D. insiste sur le rôle de l’intégration et de la régulation dans le processus de socialisation) dans la société ; elle se manifeste dans la division du travail social (activité économique

le cérémonial. 1. ii) La civilisation de cour. A mesure que la cour devient un groupe aux règles rigides, aux frontières rigoureusement délimitées, créant on l’a dit, une micro société, on assiste à la naissance d’une véritable civilisation de cour. A partir du XVIe et du XVIIe siècles, la civilisation de cour devint une civilisation prédominante et la société de cour la « principale formation élitaire ». Sous Louis XIV, on assistait même à un véritable processus d’isolement et de distanciation

non) sont en effet régis par des normes implicites (ainsi les hommes évitent de regarder de façon appuyée les femmes dénudées sur la plage, ce qui témoigne d'un important contrôle de soi, fruit de la socialisation et de ce que Norbert Elias a appelé la « civilisation des mœurs »). Selon ses analyses, l'acteur individuel hérite avant tout de son histoire personnelle et sociale. La société contemporaine l'amène à être confronté à travers ses interactions avec autrui à d'autres modèles, multiples, divers