Le Profit Chez Ricardo Et Marx

auteurs : Adam Smith, 1776, La richesse des nations David Ricardo Malthus Jean-Baptiste Say Le noyau dur de la théorie néoclassique se représente à travers un circuit, le circuit de l’économie classique. La question centrale que se posent tous les classiques c’est : comment accroître la richesse des nations ? Comment accroître le produit national ? comment accroître la production ? Eléments de réponses : l’accumulation du capital (le K chez les classiques c’est tout ce qui permet de produire) ce

influencèrent directement Ricardo (rôle de la monnaie, rente foncière), mais aussi Marx (qui le critiqua fortement) et Keynes. Say Pour lui, le principe de la valeur n’est pas le travail, mais l’utilité. Sa «loi des débouchés» qui, si elle explique les crises sectorielles, estime impossible une crise généralisée. Il explique cela en montrant que le producteur qui met ses produits sur les marchés a, pour réaliser sa production, créé des revenus (salaires, matières premières, loyers, profits) qui vont, globalement

étroitement au degré de pauvreté, à la masse de conflits sociaux qui existent dans la société. Qu’est-ce qu’une classe sociale? Ce n'est pas Karl Marx qui a créé le concept de classe sociale. Lui-même reconnaissait volontiers avoir repris le terme et le schéma de la lutte des classes à ses prédécesseurs. Aux économistes tels que David Ricardo, il emprunte l'idée que les classes sont des ensembles d'individus occupant une position similaire dans le processus de production , et définis par la

produire. Pour Smith, seul le travail est productif (et non la terre comme chez les physiocrates). Ce principe est issu d’une réponse à la question centrale : d’où vient la richesse, point de départ de l’analyse de Smith. Il définit la richesse comme les « choses nécessaires à la vie ». C’est le travail qui appréhende la richesse d’une nation. Dès lors, comment augmenter la richesse ? Par la division du travail, concept clé chez Smith. Car la DT permet d’augmenter le rendement du travail (on dirait la

convient d’étudier dans un premier temps les grands courants de la pensée économique avant d’envisager les différents systèmes économiques et la notion de circuit économique. Chapitre 1 : La pensée économique. • La relation économique apparaît chez les philosophes grecques, tels Aristote et Platon, qui étudient l’économie domestique et la gestion de la cité. • Au Moyen-âge, la morale chrétienne, à travers Saint-Augustin et Saint Thomas d’Aquin, inspire la pensée économique. • Le mercantilisme

la hausse économique. 2/ David Ricardo Il s'inscrit dans la tradition libérale, il a une vision assez proche de celle de Smith mais qui constitue une avancée en ce qui concerne le commerce international. * La théorie de la valeur Comme Adam Smith, Ricardo estime qu'il faut différencier la valeur d'usage et la valeur d'échange, il faut fonder la valeur sur quelque chose d'objectif, le prix ne suffit pas, il faut ajouter le travail incorporé. Ricardo distingue le travail direct, utilisé

écrits Essai sur le principe de population (1798), éd. Seghers, 1963 ; éd. Flammarion, 1992. Principes d’économie politique, considérés sous le rapport de leur application pratique (1820), éd. Calmann-Lévy, 1969. David Ricardo (1772-1823) La première intervention de Ricardo dans le débat public a lieu en 1809. Il impute alors les graves difficultés financières que connaît l’Angleterre à une émission excessive de billets par la Banque d’Angleterre (Banque centrale) et « au dangereux pouvoir qui

« 30 G » : - le néo ricardisme - le keynésianisme ● David Ricardo, fait partie de l'école classique, c'est un adepte d'Adam Smith (son prédécesseur), mais a été plus loin pour la liberté de marché et le libre échange. L'idée : pour que chaque pays trouve son compte dans l'échange, il doit se spécialiser dans ce qu'il sait faire le mieux par rapport aux autres (= pour être compétitif sur le marché industriel). D''après Ricardo n'importe quel pays peut se spécialiser, mais dans ce qu'il a de

« rentables » => donc le commerce international favorise la paix. La théorie de SMITH qui justifie le développement du commerce international : les avantages absolus ; repris ensuite par l’économiste anglais RICARDO, qui proposera les avantages comparatifs=> non seulement les échanges internationaux profite à la paix et créé des liens entre les individus mais il est également profitable à tous. Marche En application, les premiers traités de libre échange ont été signés durant le 18e s. => le premier, entre

diminution de l’efficacité des investissements et de leur rentabilité => baisse des profits car baisse du taux de marge (part des profits dans la valeur ajoutée), fin du compromis fordiste (rejet de l’organisation taylorienne du travail). Depuis 83, période de croissance faible. Dans les années 90, flexibilité du marché du travail, politique de désinflation compétitive ont entraîné une recomposition des profits mais pas de stimulation de la demande interne car salaires plus faibles. Aux Etats-Unis