Le Préface Des Fable De La Fontaine

Delepierre, Bruxelles, 1837. Texte C : La Fontaine, Fables, Livre III, fable 5, 1668. [C] Texte D : Charles Perrault, Le Labyrinthe de Versailles, 1677. Annexe : documents iconographiques : Granville, Illustrations des Fables de La Fontaine, 1838 ; Gustave Doré, Illustrations des Fables de La Fontaine, 1867. I- Vous répondrez d’abord à la question suivante (4 points) Vous direz quel éclairage chacun des textes et des documents proposés apporte à la fable d’Esope qui en est la source. Votre réponse

personnelles : - Poèmes lus : SEQUENCE 1 OBJET D’ÉTUDE : L’argumentation : convaincre, persuader et délibérer Les formes littéraires de l’argumentation : le conte, la fable Objet d’étude secondaire : Un mouvement littéraire : Les lumières. Des auteurs et des œuvres représentatifs du siècle des Lumières Problématique : La littérature au service de l’abolition de l’esclavage. En quoi le conte philosophique est-il

peinture dans Thérèse Raquin Corpus 3 (préparation aux épreuves du bac) : manuel rouge – Le rôle de l’écrivain réaliste Balzac, « Avant-propos à La Comédie humaine » (1842), Les Frères Goncourt, « Préface à Germinie Lacerteux » (1864), Zola, « Préface aux Rougon-Macquart » (1871) ; Maupassant, « Préface à Pierre et Jean » (1887) Lecture cursive : La Bête humaine, Zola Manuel scolaire rouge, pp.93-108 Séquence 3 Genres et formes de l’argumentation : XVIIe et XVIIIe siècles

personnelle ou d’une conclusion. SF 2/CJ METHODE : LA DISSERTATION ! POUR LA SYNTHESE : - Soit vous choisissez la conciliation : vous associez la partie I à la partie II sans répéter les mêmes arguments. ! ! Ex : Sujet : La fable sert-elle à instruire ou à divertir ? Synthèse : la fable divertit pour instruire)! - Soit vous choisissez la remise en question : On considère que le sujet est mal posé.! ! Ex : Sujet : La poésie plaît-elle car elle représente la réalité ou parce qu'elle fait appel à l'imagination

SOMMAIRE: 1. Préface........................................................................................................2 2. « L’oiseau blessé par une flèche », Jean de La Fontaine Illustration, dessin de Gustave Doré..............................................................3 Poème ..................................................................................................4 3. « Le dormeur du val », Arthur Rimbaud Illustration, L’homme blessé de Gustave Courbet ........

arcanes du pouvoir, de la « singerie » ordinaire LA FONTAINE Théâtrum mundi, le masque seul visage MONTESQUIEU - LACLOS Le bon prince CORNEILLE - PASCAL CORRECTION Restitution ordonnée de connaissances SUJET Dans la préface des Caractères ou les mœurs de ce siècle

Pistes Ressources Outils Propositions LES FABLES DE LA FONTAINE À L'ÉCOLE Philippe ROCHER Décembre 2010 Coordonnateur RRS à Epinay-sur-Seine SOMMAIRE Introduction Première partie Dire, lire, écrire les fables I : Lire les fables  I.1:Les vers et les rimes  I.1.1:« Diversité, c’est ma devise »  I.1.2: La dimension graphique des fables I.2:Morales et récits  I.3:La désignation des personnages

suicide Paul. Maupassant affirme donc le caractère contraire à la morale religieuse de l’homme en développant son récit autour de ces deux interdits des conventions catholiques. C’est également le cas dans la fable intitulée « La cigale et la fourmi » extraite du recueil des Fables de La Fontaine : si l’auteur montre en quoi le comportement de la fourmi n’est pas celui à adopter, il admet qu’il s’agit là d’un comportement que l’homme peut souvent avoir, et en cela, on peut considérer qu’il légitime

propositions LES FABLES DE LA FONTAINE À L’ÉCOLE Philippe ROCHER Décembre 2010 Mise à jour : juin 2018 2 3 SOMMAIRE INTRODUCTION PREMIÈRE PARTIE DIRE, LIRE, ÉCRIRE LES FABLES I. LIRE LES FABLES I.1. LES VERS ET LES RIMES I.1.1. « Diversité, c’est ma devise » I.1.2. La dimension graphique des Fables I.2. MORALES ET RÉCITS I.3. LA DÉSIGNATION DES PERSONNAGES, ET AUTRES DIFFICULTÉS LIÉES À LA LECTURE DES FABLES DE LA FONTAINE

règles imposées aux écrivains classiques constituent le « cadre » propice à la maturation d’œuvres harmonieuses, dans lesquelles forme et contenu se fondent en une parfaite unité. Les grands auteurs de l’époque, tels Corneille, Racine, Molière, La Fontaine, s’inspirent des Grecs, Euripide, Aristophane, Théophraste, Ésope et des Latins, Plaute, Térence, Virgile, Horace et Sénèque. La Bruyère s’inquiète, à la première page des Caractères, que tout soit dit : « En ce qui concerne les mœurs, le plus beau