Le Redressement Judiciaire Au Maroc

considérées comme contraires à la morale publique : C’est le cas pour les maisons de jeu, le commerce de stupéfiants,… B-interdictions se rattachant à la personne du commerçant : C’est interdictions sont soit d’origine conventionnelle soit d’origine judiciaire. 1-interdictions conventionnelles : Ces interdictions résultent de trois sortes de clause, la clause de non rétablissement, la clause d’exclusivité et la clause de non-concurrence. a-La clause de non rétablissement :Est celle qui interdit à un

important. Ce secteur ne cesse de prendre de l'importance, que ce soit par les sommes importantes qu'il draine ou par les tendances lourdes qui le caractérisent ces dernières années. Avec l'amorce du nouveau millénaire, le secteur des assurances au Maroc à l'instar des autres pays de par le monde connaît de profondes mutations et se trouve ainsi confronté à de grands et importants défis (libéralisation, concentration, bancassurance…) qui vont certainement affecter le processus de sa croissance, des

convention tacite. Ainsi, comme toute convention, il doit être prouvé par la partie qu’il invoque et au besoin un parère : (attestation d’usage délivrée par la chambre de commerce (pour le banques GPBM le groupement professionnel des banques du Maroc)). L’usage ne peut pas cependant déroger aux règles impératives. Il peut écarter une règle supplétive comme le ferait une convention. Entre banques et établissements financiers, les usages s’appliquent sans restriction. En revanche, à l’égard

des PME au Maroc I- Environnement économique et contexte politique de la création d’entreprise au Maroc. II- Etapes de la création des PME. 1-L'idée. 2-Tester sa volonté d’entreprendre et l’adéquation homme/projet. 3- Réalisation du Business. 4-Trouver des financements. 5-Les formalités de création. 6- Installer l’entreprise et la développer. III-Les difficultés rencontrées lors de la création des PME au Maroc.  Section II : la reprise des PME au Maroc. I-

| | |développement économique |entreprises du Maroc | | | |O.SOC.3 |Loi 17/95 relative aux sociétés anonymes |Confédération générales des |CGEM | | | | |entreprises du Maroc | | | |O.SOC.4 |Loi 17/95 relative

ANNEXES…………………………………………………………………………………………30 INTRODUCTION : S'appuyant sur le sociétariat et destiné à promouvoir l'économie sociale, par le biais de la coopérative financière et l'encouragement à la solidarité inter-professionnelle, le Crédit Populaire du Maroc, dit CPM et constitué de la Banque Centrale Populaire, des Banques Populaires Régionales et des agences et filiales, a été tout naturellement amené à jouer un rôle moteur dans l'amélioration du taux de bancarisation du pays et dans la collecte de l'épargne

1 : Contexte de l'agence Tétouan A Section 2 : Fiche technique Section 3 : Organigramme de l'agence Tétouan A Section 4 : Mission de chaque élément Chapitre III : Ma mission au sein de la BMCE BANK agence Tétouan A Section 1 : les opérations Maroc Section 2 : en guise conclusion Deuxième partie Chapitre IV : Particuliers « produits bancaires » Section 1 : Comptes bancaires Section 2 : Epargnes bancaires Section 3 : Moyens de paiement Section 4 : Crédit Section 5 : Bancassurance

|Le contrôle fiscal au Maroc : Organisation et pratique de la vérification de comptabilité | | | | | |Mémoire présenté pour l'obtention du MASTER Droit et Gestion des Finances Publiques. | | |

droits réels pouvant l’affecter. ← L’octroi d’une force probante aux inscriptions. Ce régime a été introduit au Maroc par le Dahir du 12 août 1913 qui a été modifié par certains textes ultérieurs. Ce régime est surtout applicable dans les pays qui ont été soumis à une colonisation, afin de préserver les droits des étrangers et de les encourager à investir (le régime au Maroc était instable et basé sur la possession avant la mise en place de ce système). C’est un régime qui n’est applicable

de biens, meubles et immeubles, mais ils disposent plus particulièrement de biens propres ou spécifiques que le droit commercial et les usages ont réservé spécialement pour eux. Parmi ses biens spécifiques se trouve le fonds de commerce. Au Maroc, il a été réglementé au départ par le Dahir du 31 septembre 1914 qui ne s’en est occupé que pour en régler la vente, le nantissement et l’apport en société. Ce n’est qu’en 1996 que la loi nº 15-95 formant code de commerce a fait son apparition pour