Le Regard froid

fantastiques : je = narrateur = personnage principal = auteur: Léopold Sedar Senghor (cf elt biographiques) / l’homme animal chouette 4 + jaguar 8 (homme de l’Afrique) position du narrateur : «regard en contre plongée Et l’angoisse au fond des rues à gratte-ciel levant des yeux de chouette 2-3 enjambement regard contrebalancé par plongée 10 tous les oiseaux de l’air /Tombant soudain = enjambement Témoignage personnel : bribes et fragments phrases nominales + présent + vers libres d’inégales longueurs

première toilette Description de la situation et son analyse Le contexte Pendant la matinée de mon 2ème jour de stage dans la maison de retraite de Breteuil-sur-Iton. Lors de la réalisation des toilettes et des réfections de lit je commence par regarder deux aides-soignantes puis l’une d’elle part et je forme un binôme avec l’aide-soignante qui reste. Nous sommes donc l’aide-soignante et moi –même dans la chambre de Mme L pour faire sa toilette et la réfection de son lit. L’aide-soignante effectue

avec un tableau. Cette particularité d’écriture peut nous permettre de nous interroger sur la modalité de la description, c’est-à-dire sur la possibilité de voir et de dire la beauté d’une chose (ici les pommiers) sans en faire autre chose. Ici, le regard passe toujours par autre chose (l’image) pour dire la beauté des pommiers, comme s’il échouait à voir la chose réelle. - 3ème partie : et on peut enfin identifier un troisième mouvement qui fait une rupture dans la description

- Coucou ma chérie ! Fille normale - Oh ! Mais comment t'es habillée la ! - Bah qu'est ce qu'il y a ? - Bah regardes comment tu es habillée ! - Je suis normale la ! - Non ! Ce n'est pas normal, tu as vu comment c'est court ! - Mais ce n'est pas court, j'ai un collant en plus. - Non mais sérieux ton collant est transparent, super fin et nous sommes en hiver ! - Je n'ai pas froid du tout en plus au lycée c'est chauffé, qu'est ce que tu viens m'embêter ! - Mais réveilles toi un peu ! Avec

Sur le bois jaunissant où la bise détone. Nous étions seul à seule et marchions en rêvant, Elle et moi, les cheveux et la pensée au vent. Soudain, tournant vers moi son regard émouvant : « Quel fut ton plus beau jour ? » fit sa voix d'or vivant, Sa voix douce et sonore, au frais timbre angélique. Un sourire discret lui donna la réplique,

energade, Isotar,…) Thé chaud Eau aromatisé Rhum, seul ou mélangé Sodas (Boissons gazeuse type coca, sprite,…) Lait Boissons Maltées (de type Dynamalt,…) Vin (sauf champagne) Café Téquila, seule ou mélangé Champagne Thé froid ou ice tea Eau minéral Gazeuse Vodka, seule ou mélangé Eau minéral plate en bouteille Whisky, seul ou mélangé Gin, seul ou mélangé Jus de fruit et nectars 2. et au cours des 4 dernières semaines, avez-vous consommé du/ de

lecture Genre ? (lieu/tps/personnages/merveilleux) 9ème séance : éval finale Rédiger un dixième conte de troll à la manière de L.Larsen. Séquence 6ème Lecture d’une œuvre intégrale 9 contes de Géants, Lise Lunge-Larsen Il (être) une fois, dans le froid norvégien, une princesse qui (souffrir) d’être toujours toute seule. Elle n’(avoir) pas d’ami, (rester) toujours enfermée à longueur de journée dans sa chambre de princesse, pleurant sur sa solitude . Non loin de ce château, à l’orée d’une forêt,

alourdies, encombrées par les lourds manteaux, et la peau de leurs bras et de leurs fronts semblait encore plus sombre dans les voiles d’indigo. Ils marchaient sans bruit dans le sable, lentement, sans regarder où ils allaient. Le vent soufflait continûment, le vent du désert, chaud le jour, froid la nuit. Le sable fuyait autour d’eux, entre les pattes des chameaux, fouettait le visage des femmes qui rabattaient la toile bleue sur leurs yeux. Les jeunes enfants couraient, les bébés pleuraient, enroulés

debout, et n'avait pas changé d'attitude depuis que l'enfant s'était enfui. Son souffle soulevait sa poitrine à des intervalles longs et inégaux. Son regard, arrêté à dix ou douze pas devant lui, semblait étudier avec une attention profonde la forme d'un vieux tesson de faïence bleue tombé dans l'herbe. Tout à coup il tressaillit; il venait de sentir le froid du soir. Il raffermit sa casquette sur son front, chercha machinalement à croiser et à boutonner sa blouse, fit un pas, et se baissa pour reprendre

communication face à face La communication interpersonnelle ne se joue pas seulement sur le plan linguistique du contenu (ce qui est dit) mais aussi sur un plan extra-linguistique (comment c’est dit). Le contexte (visuel), la gestuelle, la mimique, le regard, la posture et toute information non verbale influencent le déroulement de la communication, sa qualité et son efficacité. Le terme communication qui signifie littéralement « mettre en commun », renvoie au concept de partage de ce qui est de l’ordre