Le Regard froid

journée a ne rien faire a par murir est bronzé au soleil. La nuit j’ai très froid car je suis dehors même si j’ai une peau très dur est très épaisse je n’ai pas très chaud. J’ai déjà essayer de me cacher derrière une feuille mais cela ne me donnait que très peu de chaleur. J’ai de plus en plus froid la nuit car je suis habitué a avoir chaud la journée. Je me demande comment mon voisin Hermon fait pour ne pas avoir froid, il dit qu’il se presse contre la branche la plus proche mais j’ai déjà essayer

plus de corps et qui est ramené à son regard clos et à une lyre. La tête d'Orphée qui se fond dans une lyre flottant sur les vagues, renvoie au passage du Mythe où les Thraces jettent la tête d'Orphée dans le fleuve Hébros. Tableau de Gustave Moreau. Gustave Moreau, (1826-1898), Orphée ou jeune fille thrace portant la tête d’Orphée, 1865, huile sur bois, musée du Louvre, Paris. Une grande tristesse se dégage de la toile. Les couleurs sont froides, ternes. Orphée apparaît ici découpé,

l'enfance ainsi que de la société. Tout d'abord les deux premiers poèmes de ce recueil parlent d'une enfance difficile. Le premier est de Cécile Sauvage “Je me souviens de mon enfance difficile”, la poète nous parle de son enfance représenté par le froid et les regards de l'indifférence. Dans le deuxième poème intitulé “J'ai vu maman pleurer maman” de Langlet Serge, l'enfance est représentée par la mère du poète. C’est deux poèmes sont suivie d’illustrations en noir et blanc, accentuant la tristesse et correspondant

narine GOUT Gustatif Bouche ouverte 3. Resserrement du champ visuel : le sonnet de Rimbaud suit le mouvement d'un regard neuf qui part du panorama d'un « petit val » (4), se rapproche du personnage "étendu dans l'herbe" (7) et détaille son sourire, sa "narine" (12), sa "main sur sa poitrine" (13).  Tableau d’un paysage champêtre, pittoresque, coloré, idyllique et lumineux où un regard pénètre. Partie 2 : 6. De qui parle-t-on dans ce texte ? Relevez les mots ou expressions qui permettent d’en faire

retrouvée : Blanc et froid… Tout est blanc et froid. Où-suis-je ? Que m’arrive-t-il ? Je me souviens juste d’être rentrée dans une salle bizarre. Je me suis assise dans une espèce de capsule, une lumière blanche est apparue et j’ai ressentie un violent mal de crâne, j’ai hurlée et…. Je me suis retrouvée ici. Je ne sais pas où je suis. Je crois que je suis allongée dans la neige. J’essaye de me levée mais impossible : j’ai trop froid et mes membres sont tout engourdis… Le froid que je ressentais

s’examiner comme pour s’assurer qu’ils pensent au même acte, sont conscients que l’heure fatidique est là « muets et froids », « lisant mutuellement leur secret dessein ». Et jusqu’au dernier moment, Zola veut montrer qu’il existe des individus qui ne trouvent leur bonheur que dans des actes démoniaques, la réaction des personnages « Ils échangèrent un dernier regard, un regard de remerciement, en face du couteau et du verre de poison ». Les deux personnages préfèrent accueillir la mort avec sérénité

télécran Au-dehors, même à travers le carreau de la fenêtre fermée, le monde paraissait froid. Dans la rue, de petits remous de vent faisaient tourner en spirale la poussière et le papier marron déchiré. Bien que le soleil brillât et que le ciel fût d’un bleu dur, tout semblait décoloré, hormis les affiches jaune doré collées partout. De tous les carrefours importants, le visage à la moustache noire vous fixait du regard. Il y en avait un sur le mur d’en face. Derrière Winston, la voix du télécran continuait

Dans un salon aux rideaux bleus, dans la rue François 1er, dans un décor bourgeois froid et sombre une femme dos à nous sans montrer son expression du visage mais dans le décor sobre et dans la position du mari on sent déjà que cette femme n' est pas heureuse, si elle avait su 7 ans auparavant elle ne serait pas marier, pour en arriver à cette nostalgie. ''Mon dieu qu' est ce que j' ai fait de ma vie'' elle ressentait un sentiment épanouissement complet elle était arriver à l' exaspération à force

doré), aux sens (sentir, regarder, entendre, l’audeur) et à la tranquillité (lentement, vibrer). Grâce à l’organisation du texte et aux chaps sémantiques, le lecteur est capable de decouvrir le sens profonde du fragment. Le narrateur tâche de nous renseigrer sur le phénomène de l’amour absolu de la nature. L’homme et la nature sont intimement liés. On ne choisit pas ce qu’on veut aimer; on aime tout ce qui nous entoure. Ce fait se manifeste dans la scène où Lalla regarde les insectes qui sont tous

avant-plan et arrière-plan sombre ANALYSE -Parc vide : que fait-elle toute seule ? Elle attend ? Mais quoi ? -Yeux entrouverts  regard dans le vide  évoque le regard vitreux des morts. Elle semble se reposer mais surtout attendre. -Trench + journal sous ses fesses  il a dû pleuvoir + froid car ses mains sont remontées et chapeau  Pluie évoque la tristesse, la mélancolie et le froid évoque la mort (+rigidité de son corps car il est oblique)  semble attendre la mort (a-t-elle perdu son mari ?) -Elle est