Le Regard froid

ceux qui le savaient sont morts autour de lui. Debout à la poupe du bateau, il voit s’éloigner son pays, celui de ses ancêtres et de ses morts, tandis que dans ses bras l’enfant dort. Le pays s’éloigne, devient infiniment petit, et Monsieur Linh le regarde disparaître à l’horizon, pendant des heures, malgré le vent qui souffle et le chahute comme une marionnette. Le voyage dure longtemps. Des jours et des jours. Et tout ce temps, le vieil homme le passe 9 Dossier : ck193 Fichier : Linh Date : 27/4/2005

Je n'aime pas ces regards froids que tu me jette et qui me blesse, je n'aime pas ses cigarettes, tout c'est romans que tu lis. Je n'aime pas que tu sois loin, et encore moins quand tu es ivre, Que tu me dises qu'on t’a dit que t'as pas ta place dans ma vie Tu te trompe !!! Même si il fait froid dehors c'est pas pour ça que mes mains tremblent, C'est pas pour ça que mes yeux pleure, ce n’est pas pour ça que je faiblie. Je te hais, de me haïr mais je t'aime de me le dire, de me poussé si fort quand

Survivre L’Hiver Elle regardait par la fenêtre et fixait les flocons de neige tomber, l’air livide. L’hiver venait tout juste de frapper à la porte. Il faisait autant froid à l’intérieur de son âme qu’il faisait froid à l’extérieur et pourtant, il faisait excessivement chaud à l’intérieur. L’air perdu, elle souffla, « Jai peur, Jacques… ». « Ne t’inquiète pas ma chérie, tout va bien aller. ». « Et si je n’y arrive pas, qu’arrivera t’il? » Il se leva et s’asséya au côté de sa femme, un petit

nuit. Des paillettes d'or y brillent comme des feux. Dans la nuit, ses pupilles énormes fixant le ciel reflètent les étoiles. Alors qu'elle se camoufle, elle est trahie par l'intensité de son regard et la couleur unique de son iris. Ses traqueurs informent la foule qu'ils peuvent la reconnaître à son regard. Les autres mentions au corps humain se réfèrent en priorité à ses parties nobles, comme le visage (94 apparitions) ou la tête (86). Les doigts (54) détaillent les opérations de la main et

banal du quotidien, le pain. On peut donc se demander de quelle manière il renouvelle notre regard sur la chose. Comment redonne-t-il de la noblesse à l’objet trivial ? Certes le poème se manifeste comme une tentative de définition scientifique de l’objet. Cependant l’objet trivial est poétisé et devient extraordinaire. Dès lors l’entreprise poétique de Ponge joue sur l’ambiguïté du parti pris des choses. Le regard fasciné de l'auteur s'exprime par la précision de la description qui en devient presque

singulier : "j'" "me". C'est donc le poète qui parle - Le poète s'adresse à sa femme aimée : "tu" - La femme est nommée au vers 11 : Hélène. Le pronom est placé à l'incise du vers, ce qui met en valeur ce prénom - Champ lexical des yeux : vue (vers 2), regard (vers 5), yeux (vers 11), œil (vers 13). On note une progression vers le détail, donc une impression de se rapprocher très près d'Hélène - La main est souvent citée : belle main (vers 9), main blanche (vers 10 - blanche = pureté, noblesse), ta main

interrogatoire, ampoule dans les yeux et on passe aux aveux ! JEANNE. Charmant ! Je suis une tortionnaire maintenant. C'est toi qui es distante, froide. LOU. Distante, je ne le suis pas tellement, je suis à un mètre de toi dans le lit... Froide, je ne sais pas. JEANNE. Le pire, c'est d'être à côté de quelqu'un qui ne vous regarde pas. LOU. Je te regarde. Je peux dormir ? JEANNE. Pas avant que tu me dises si je te plais encore. LOU. Je veux dormir. JEANNE. Avant, tu ne dormais pas. Avant...

message manichéen et ses relents de guerre froide pendant les années de présidence de Ronald Reagan. Ce n’est pas qu’un vulgaire film de boxe mais un film mêlant l ‘amour de Rocky pour Adrianne, la douleur lorsqu’ on perd un ami cher. La bande son est aussi d’une excellente qualité et reprend des titres phares de l ‘épisode précédant comme "Eye of the Tiger" de Survivor. Les scènes de combat ne sont pas d’une intense violente. Ce qui permet de regarder Rocky à tout âge. Le film laisse passer le

NOURRICE Il va falloir te laver les pieds avant de te remettre au lit. ANTIGONE Je ne me recoucherai pas ce matin LA NOURRICE A quatre heures ! Il n'était pas quatre heures ! Je me lève pour voir si elle n'était pas découverte. Je trouve son lit froid et personne dedans. ANTIGONE Tu crois que si on se levait comme ça tous les matins, ce serait tous les matins aussi beau, nourrice, d'être la première fille dehors ? LA NOURRICE La nuit ! C'était la nuit ! Et tu veux me faire croire que tu

ouvrier. Mais déjà, il réussit à ne pas faire de ses personnages, la simple illustration mécanique de ses théories et à leur donner vie et humanité. Gervaise avait repris son panier. Elle ne se levait pourtant pas, le tenait sur ses genoux, les regards perdus, rêvant, comme si les paroles du jeune ouvrier éveillaient en elle des pensées lointaines d’existence. Et elle dit encore, lentement, sans transition apparente : — Mon Dieu ! je ne suis pas ambitieuse, je ne demande pas grand-chose… Mon idéal