Le Regard froid

Nous sommes le matin, et après avoir récupéré les petits déjeuners, nous débutons les toilettes des patients. Je regarde sur ma feuille de relève à quelle patiente je vais avoir à faire la toilette ainsi que son motif d'hospitalisation. Cela me permet également de préparer du matériel en plus si nécessaire que la patiente n'a pas forcément. Je frappe à la porte et en entrant je salue la patiente et me présente. C'est une chambre seule. J'observe que la patiente est très souriante. C'est une dame

La guerre au 20e siècle  La guerre froide (1947-1989) Un crise, Cuba Un conflit, la guerre du Vietnam Cuba: paix impossible, guerre improbable en Amérique latine  Fidel Castro, extrait du discours prononcé au Central Park de New York, 24 Avril 1959. Notre Révolution pratique le principe démocratique, mais une démocratie humaniste. Humanisme signifie que, pour satisfaire les besoins matériels de l’homme, il ne faut pas sacrifier les désirs les plus chers de l’homme que sont ses libertés (applaudissements)

Cette fois la pièce de quarante sous lui échappa, et vint rouler vers la broussaille jusqu'à Jean Valjean. Jean Valjean posa le pied dessus. Cependant l'enfant avait suivi sa pièce du regard, et l'avait vu. Il ne s'étonna point et marcha droit à l'homme. C'était un lieu absolument solitaire. Aussi loin que le regard pouvait s'étendre, il n'y avait personne dans la plaine ni dans le sentier. On n'entendait que les petits cris faibles d'une nuée d'oiseaux de passage qui traversaient le ciel à une hauteur

Texte De Desnos « Les Gorges Froides » : INTRODUCTION : Desnos est un auteur du mouvement du symbolisme. Néanmoins il est un précurseur du surréalisme car certains de ces poèmes comme « Les Gorges Froides » sont construits grâce à l’écriture automatique, c'est-à-dire qu’il écrit avec son imagination. De plus ce poème est déconstruit dans la forme. Nous verrons en quoi ce texte est précurseur du surréalisme. LECTURE Nous étudierons dans un premier temps le surréalisme de ce texte puis nous

les stocker en chambres froides. c 'est ce que nous appelions le marché. | LA TACHE ACCOMPLIE Les tâches que nous devions accomplir étaient le déconditionnement des denrées alimentaires, le rangement et l'organisation des différentes chambres froides et aussi quelques préparations préliminaires sur certains produits comme les viandes, les poissons ou encore les salades et les légumes. Puis aussi , le rangement et le nettoyage des plans de travail et des chambres froides. | LES RESULTATS

visite à peu près tous les 15 jours, les vendredis, il vient accompagner de la nièce de Mme L., avec qui elle est très proche étant donné que la dame n’a pas eu d’enfant. II/ déroulement de l’acte Avant de rentrer dans la chambre de Mme L., je regarde dans son classeur personnalisé ce qui s’est passé la veille, pour être informé au mieux de son état que pourrait être le jour même, et déceler les éventuels problèmes de constipation. Ensuite, je prends dans le chariot de nursing tout ce qui est

bienvenue. -« Bonsoir Louis ! », me dit-elle d'un ton enjoué. Je lui retournai sa politesse, sans plus d'attention. Je lançai un regard furtif dans la salle avant de m’accouder lentement au bar et commençai à regarder fixement la flamme rousse qui siégeait près de moi. Celle-ci ne mit pas beaucoup de temps à se rendre compte du manège que j’entamai. J’ai supposé, à son regard aguicheur*, qu’elle ne tarderait, sans doute pas, à venir m’aborder. Un quart d’heure plus tard, mes suppositions furent confirmées

que les deux frères virent arriver un étrange animal, le bipède sans plumes : l'homme. Du point de vue de la nature, c'est bien un bipède sans plumes (le seul). L'homme arrive devant les deux frères, quelle qualité naturelle lui donner ? Épiméthée regarde dans le sac et se rend compte que la besace est vide. Pas de qualité naturelle à donner à l'homme donc. Le nom Épiméthée veut dire ruser après (Prométhée veut dire ruser avant). L'homme est donc devenu le plus fragile, le plus dépendant de tous les

différente me dis-je. Il est 18h je rentre du travail je gère le quotidien je confie mes filles à ma belle sœur un gros câlin et je vais me préparer, j’ai une sensation déplaisante depuis ce matin, mon cœur qui bat vite, ma bouche sèche, mes mains froides. Je chasse comme je peux mon angoisse en imaginant le déroulement de mon initiation. Comme si on pouvait imaginer ! On sonne mon parrain est déjà là un peu en avance ce qui n’arrange rien à mon état déjà très anxieux. J’arrive rapidement, la voiture

aucun paysage en fond, mais uniquement du bleu comme un brouillard qui l’enveloppe. Il est habillé d’un manteau simple, mais très imposant presque trop gros pour lui, au regard de son visage qui lui est émacié, ce qui laisse à penser qu’il n’est pas épais. Le col est relevé, on peut imaginer que c’est l’hiver, qu’il fait froid et qu’il se dissimule sous ce gros manteau comme s’il ne voulait pas être vu, mais simplement aperçu. La partie droite du manteau est de couleur bleu nuit tirant sur le noir