Le Registre Laudatif

de la guerre et de l’héroïsme d’A., le registre est donc épique. On évoque la fureur et la vertu de T. Antiochus ne semble pas avoir peur de la mort « v.215 » V.213 « Mille exploits » = hyperbole qui valorise la guerre. Valorisation des exploits de Titus avec l’énonciation v230/231 : « reste pâle et sanglant » « Il faut qu’à sa vertu, mon estime réponde. » Hémistiche, qui marque l’opposition entre « vertu » et « estime », opposition des termes laudatifs pour T. et des termes négatifs pour A

Accumulations d’adjectifs laudatifs (physique et moral). • Critique de l’aspect formel du culte -> « eur » = professionnalisme = formalisme ? -> « le monde moina » = murmure des prières monastiques dont Frère Jean s’exclut peu à peu + moina = néologisme : faire le moine avant de l’être u Passage à l’action • Personnage dynamique contrairement à l’immobilité des moines. • Paroles de Frère Jean : défendre les intérêts matériels de l’abbaye -> Syntaxe affective -> Mélange des registres (paroles bibliques

l'ironie et le ralisme en font un violent rquisitoire contre la guerre. → Comment l'ironie, en transformant la guerre en spectacle, dnonce-t-elle la folie des hommes ? I : Un discours apparemment favorable la guerre. 1 : Un registre pique au service de l'loge. 2 : Une vision esthtique de la bataille ( une parade, une fte ). 3 : Justification de la guerre par diverses considrations. 4 : Minimisation du caractre meurtrier de la guerre. II : Un discours en ralit accusateur

personnification de la nature et synesthésie dans « sable muet» - peint la nature avec justesse, mais associée à des évènements intimes, vécus : registre réaliste + imparfait itératif2 ème strophe : harmonie souvenir / nature - force de l’

bourgeoisie (aristocratie parisienne) + clergé. ð     Dimension psychologique. Réalisme :fait réel :gazette des Tribunaux. Antoine B. qui à tué sa maitresse. Extrait→ 2e partie :Paris,secrétaire du marquis de Mole. => scène du bal. 3.Registre : admiration ; registre laudatif (point de vue de Mathilde) 4.Composition : suite de paragraphes et de répliques au discours direct (7 temps) qui suivent les pensées et les réactions de Mathilde (de l'attente à la décision de suivre Julien). 5.Rappel de la question

aux doigts de rose » de Homère. On note une certaine sensualité évoquée par la convocation des sens de la vue et de l'odorat, celui ci étant plus mis en valeur grâce aux termes « embaumant » et « odeur » vers 6. On retrouve la présence du registre laudatif qui s'appuie sur un vocabulaire mélioratif : « belle jeunesse » vers 2, « vive couleur » vers 3 et « grâce » vers 5. Le thème de la jeunesse, exprimé par le champ lexical assez répétitif, est aussi lié à la vitalité : « première fleur », au vers

Qui ? Où ? Quand ? Pourquoi ? Dans quel But ? _ Le paratexte et le contexte : l’auteur, la date, l’œuvre, le contexte historique et littéraire. _ Les thèmes abordés. _ Le ou les registres dominants : tragique, épique, fantastique, pathétique, comique, lyrique (et puis les nuances polémique, satirique, ironique, laudatif, élégiaque). _ Et surtout la séquence à laquelle renvoie le texte, en mobilisant les connaissances issues de vos cours. _ La structure du texte. b) Etude précise du texte –

à l’éloge, au registre laudatif, à une exagération. Le narrateur intervient une seule fois dans l’extrait : « je crois », l.5. C’est une intervention directe, claire et nette qui expose une supposition, invitant ainsi le lecteur à rester prudent sur ce qui suivra. « Monsieur le baron était un des plus puissants seigneurs de la Vestphalie, car son château avait une porte et des fenêtres ». Il s’agit ici du registre grotesque, avec le rappel du principe de causalité. Ce registre est rappelé dans

s’offre à lui, il est « affolé de joie ». Il raffole des compliments que la foule lui faits même s’il sont s’en fond. Il frisonne de bonheur, « de longs frissons, ces frissons froids que donnent les immenses bonheurs ». Malgré la forte présence du registre laudatif associé au héros, cela est ironique car c’est un personnage malsain : le jour de son mariage pense déjà à sa future maîtresse. Le sacrement du mariage de Duroy est aussi le sacrement de son ascension de l’échelle sociale. Ce passage ne parle

combat, l'ironie et le réalisme en font un violent réquisitoire contre la guerre. → Comment l'ironie, en transformant la guerre en spectacle, dénonce-t-elle la folie des hommes ? I : Un discours apparemment favorable à la guerre. 1 : Un registre épique au service de l'éloge. 2 : Une vision esthétique de la bataille ( une parade, une fête ). 3 : Justification de la guerre par diverses considérations. 4 : Minimisation du caractère meurtrier de la guerre. II : Un discours en réalité