Le Registre Tragique Dans Dom Juan

théâtre itinérant, de rue, de tréteaux . C'était un bourgeois proche de la cour qui avait pour Mécène à Paris le frère du roi. Il deviendra par la suite l'auteur du roi Louis XIV. En 1664 et 1665 il fait jouer deux pièces que sont Le tartuffe et Dom Juan et qui seront censurées. En 1669, le roi accepte que Le tartuffe soit jouée et à partir de là il met plus en scène des bourgeois. Molière fait jouer sa 16ème pièce qu'est le Misanthrope le 4 Juin 1966. Dans le titre le personnage est caractérisé

 Molière en est le grand représentant. Pour lui, « l’emploi de la comédie est de corriger les vices des hommes » (Préface du Tartuffe, 1664). Si la farce est uniquement comique, les « grandes comédies » de Molière mêlent aussi comique et tragique. Ainsi Dom Juan, pièce complexe au carrefour du baroque et du classicisme, comporte des scènes de farce, de comédie, mais aussi de tragédie. La comédie est visuelle : le comique de gestes, les déguisements, les quiproquos en sont la marque. Les changements

tragédies classiques → Cf. mythe, mythologie, catharsis, pathos. 1. La situation tragique • Situation sans issue. • Les personnages se comportent avec héroïsme en acceptant un destin fatal. • Plusieurs entités sont derrière la fatalité : o Intervention d’une divinité ou d’une puissance. o Emprise d’une passion. o Conscience, obligation morale. 2. Le héros tragique • Grandeur d’âme, sens des valeurs (vertu, honneur, devoir, respect, etc.).

7FR20CTPA0509 Objet d’étude :Théâtre, genres et registres statut: 81 Questions (6 points) Question 1 (3 points) Identifiez les registres employés dans les textes A, B et C. Quelle est la visée de l’auteur dans chacun de ces textes ? Le corpus propose trois textes théâtraux appartenant à deux registres différents : les registres comique et tragique. Le texte A, extrait du Bourgeois Gentilhomme, une des nombreuses comédies de Molière, appartient au registre comique : il met en scène, dans ce passage

Les Don Juan de Jean Anouilh, Henry de Montherlant et Roger Vailland. De l’irrévérence du héros à celle de l’écriture : avènement d’une dimension réflexive et d’un regard critique sur le mythe Aurélia Gournay Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3 Don Juan apparaît en 1630, dans la pièce El Burlador de Sevilla du moine espagnol Tirso de Molina. Délicat à traduire, le terme de burla résume le caractère irrévérencieux de ce premier Don Juan. Cette irrévérence s’exerce à l’égard de Dieu, tout

énergie qui va se confronter au conflit tragique.   IV- Le dialogue entre deux personnages secondaires : Deux confidents, deux domestiques, servante et valet, présentent la situation de leurs maîtres. Plus vraisemblable, cette exposition permet de nouer une intrigue entre les personnages secondaires, en contrepoint de l'action principale. Sganarelle : Eh! mon pauvre Gusman, mon ami, tu ne sais pas encore, crois-moi, quel homme est Don Juan. (Molière, Dom Juan, Acte I, scène 1,1665)   Loin de s'en

scène s'attache quant à lui, à rendre à l'existence une certaine cohérence. PLAN PROPOSE Axe I : Le théâtre est le miroir grossissant d'une réalité dérisoire et absurde. § 1 : Le théâtre de l'absurde, né dans les années 1950, reflète l'absurdité tragique d'un monde sans repères. Ex. 1 : Chez S. Beckett, En attendant Godot (texte C du corpus), Vladimir et Estragon meublent le vide en remarquant que leur conversation est creuse, insignifiante, comme le montrent les nombreuses négations. Il n’existe

entre les personnages. Ainsi, par exemple, lorsque de très courtes répliques se font suite et s'enchaînent rapidement, on les appelle des stichomythies : ce procédé caractérise un échange vif entre deux personnages et peut traduire une intensité tragique ou, au contraire, produire un effet comique. Lorsqu'un personnage prononce des paroles que les autres ne sont pas censés entendre, il fait un aparté. Ce type de réplique est parfois annoncé par la didascalie à part. Le spectateur, véritable destinataire

Molière en est le grand représentant. Pour lui, « l’emploi de la comédie est de corriger les vices des hommes » (Préface du Tartuffe, 1664). • Si la farce est uniquement comique, les « grandes comédies » de Molière mêlent aussi comique et tragique. Ainsi Dom Juan, pièce complexe au carrefour du baroque et du classicisme, comporte des scènes de farce, de comédie, mais aussi de tragédie. • La comédie est visuelle : le comique de gestes, les déguisements, les quiproquos en sont la marque. Les changements

La comédie est un genre théâtral, fonctionnant sur le registre de l’humour, en opposition avec la tragédie. Le genre est populaire au Moyen-Age, avec la farce, et connaît son apogée au XVIIème siècle. Il s’agit ici de se demander si la comédie a toujours pour vocation de faire rire. Dans un premier temps nous verrons par quels procédés la comédie suscite le rire, puis nous verrons comment elle conduit à une critique de la société. La fonction première de la comédie est de faire rire. Que