Le Relativisme Culturel Pour Ou Contre

universelle des droits de l’homme. Cependant on se demande souvent s’il est vrai que les sociétés non occidentales devraient être encouragées, voire poussée de se conformer aux valeurs occidentales de libération et de liberté. N’est pas là l’impérialisme culturel ? Bien que l’universalité des droits de l’homme (I) soit une évidence, il n’en demeure pas moins que ce caractère universel soit contesté (II) I- l’universalité des droits de l’homme Certains pensent que les droits de l’homme ne sont

notre société, des idéalistes et des philosophes se sont demander s’il ne faut pas renoncer à la vérité. Ainsi, la vérité s’impose à certains tandis que d’autres nous apprennent à y renoncer. Mais les relativismes sont-ils tous de même valeur ? Un certain cynisme contemporain par scepticisme et relativisme ne s’autorise-t-il pas au pire ? D’où peut-on se placer pour affirmer qu’il faut renoncer à la vérité sinon déjà d’une certaine conception de la vérité ? Des attitudes sceptiques ou relativistes face

• « Les soins ne doivent pas être considérés comme l’apanage des pays riches ». L’économie ne sert pas l’équité sanitaire mondiale. • Le rapport coût/efficacité n’est pas un critère d’évaluation des politiques de santé publique. • « La recherche contre le sida doit intégrer la notion de justice sociale. » • « Les politiques de préventions doivent être plus efficaces. » Nous n’avons jusqu’à aujourd’hui pas de preuve que cela diminue le risque d’infection VIH parmi les populations pauvres. La pauvreté

façon de faire conventionnelle. La culture dépend de la religion et de l’histoire et va engendrer des différences d’une peuple à l’autre, c’est pour cela qu’on ne parle pas d’une mais des cultures alors que la nature ne se différencie pas. Le relativisme culturelle favorise le respect et la variété de chaque individu, il amène l’homme à se confronter aux différences. Comprendre la culture c’est le rôle de l’éducation. Le respect de la nature humaine est inscrite dans la Déclaration des droits de l’Homme

comme trois moments progressifs d’une même recherche : l’ethnographie consiste dans le travail sur le terrain, dans l’observation et la description des données. L’ethnologie représente une première synthèse au niveau de l’ethnie, ou de l’aire culturelle. L’anthropologie, elle, « vise à une connaissance globale de l’homme, embrassant son sujet dans toute son extension historique et géographique ; aspirant à une connaissance applicable à Sélim ABOU, s.j., “L’anthropologie structurale de Lévi-Strauss”

culture. Il est cependant peu vraisemblable qu’une telle notion de lois naturelles se manifeste dans la conscience première de l’homme, qui perçoit plutôt, dans la nature, le déferlement d’une violence ou la présence permanente d’un chaos incontrôlable, contre laquelle les différents interdits mettent en place un ordre : à la nature, d’abord synonyme de désordre latent et toujours menaçant, s’oppose l’ordre de la culture. L’interdit de l’inceste... L’anthropologie contemporaine (Claude Lévi-Strauss)

dans un autre dimension de la vie ( existence culturelle, consciente, intentionnelle, morale) dont le caractère fondamental est d’être un réseau de significations. Mais cette sortie de la nature est-elle complète ? Tomber dans le culturalisme. L’homme est-il dénaturé ? D. L’homme indéfinissable et mixte  : il n’y a pas de nature humaine, c’est un être de l’équivoque. Merleau-Ponty. E. voire Sartre. F. Il ne faut pas penser l’homme contre la nature, cela empêche de penser l’être même

très différents de ses propres coutumes. En effet, les pratiques autorisées ou obligatoires dans certaines civilisations sont interdites et jugés immorales dans d’autres sociétés. Cela montre que nous jugeons en prenant comme modèle les pratiques culturelles de notre propre société. Dés lors, ces critiques manquent d’objectivité et d’une certaine prise de recul. Influencé par sa propre culture, ai-je seulement le droit de juger les autres? Si oui, sur quels critères pouvons nous nous appuyer pour juger

des problèmes personnels et structurels entourant les différences culturelles et ethniques et la théorie de «l'altérité» afin de éviter toute discrimination injuste contre les différents groupes ethniques et culturels. Graham (2002) examine l'évaluation et l'intervention de travailleurs sociaux auprès des enfants et les familles des autres groupes ethniques et culturels. Dans un examen critique de la façon dont Pratiques culturelles africaines ont été construits par les occidentaux vues scientifiques

b)- La philosophie II- Fondements du multiculralisme. III- Contribution de la philosophie dans l’intervention multi culturaliste. a)-Dans la politique. b)-Dans la liberté culturelle. IV- Deux politiques favorables de la liberté culturelle. a)- L’éducation multi culturelle. b)- L’autonomie. V- Aspects critiques. Conclusion Bibliographies I- Définition des deux concepts a- Le multiculturalisme