Le Relativisme Moral

disparaît. Les trois angles sont nécessaires à la figure qu’est le triangle. Le contingent est ce qui peut ne pas être. Une caractéristique contingente de l’homme est le fait d’avoir les yeux bleus. On voit combien il est important, pour des raisons morales, de bien cerner l’essence de ce dont on parle, notamment des valeurs. Le problème de Ménon est qu’au lieu de se pencher sur l’essence de la vertu (fait d’accomplir parfaitement son essence), il se contente de donner des exemples et de proposer des

critère les différenciant n’est pas impartial et déterminé culturellement ? Ne juge-t-on pas les autres cultures à partir des critères définies par notre propre culture ? Contre la hiérarchisation des cultures, ne faut-il pas plutôt défendre un relativisme respectueux des différences ? 2) Toutes les cultures ont une égale valeur a) Il est barbare de considérer que certaines cultures sont plus civilisées que d’autres Résumé de l’argument. Il est ethnocentriste de considérer que sa culture est

relativité des valeurs Toute société humaine est basée sur des valeurs, et on ne peut comprendre les actions humaines hors de ces systèmes de valeurs. Par valeur, il faut entendre, le résultat d’un jugement d’ordre moral, les normes de conduite personnelle ou sociale relevant de la morale, de la politique ou encore de la spiritualité. Les valeurs en tant que choix faits par les individus, les États etc…. sont par conséquent multiples et relatives à chacun. En effet, tout choix de vie est un choix

les Perses et chez les Indiens. On a un jugement très sévère de Babouc sur ce qu'il observe chez les Perses comme chez les Indiens. A travers Babouc, Voltaire va renvoyer dos à dos les protagonistes de la guerre. III.Du pessimisme au relativisme. A/ Un constat pessimiste. Babouc s'interroge sur la nature même des hommes. Ce qui differencie l'homme de la bête est la cruauté. Si les êtres vivants sont ramenés au rang de bêtes féroces il faut les détruire. Babouc n'aurait pas de forme

l’Eglise et les institutions politiques se confondent, la notion de laïcité n’était pas une valeur de notre société. Ces concepts se retrouvent encore dans notre C.C par exemple. Ils ont été adoptés à plusieurs sources tout au long de notre histoire, la morale chrétienne va venir se lié à la définition de notre société. La base des concepts se retrouvent dans le C.C, ainsi lorsqu’on cherche les origines des concepts dans ce code on trouve une la souche latine et la tradition chrétienne. Ce que nous étudions

suggère ? Mais si nous intervenons dans l’établissement de la vérité, si, en effet nous devons renoncer à l’idée d’une vérité qui se révèlerait à nous sans que nous en soyons les auteurs, comment allons-nous éviter l’écueil du scepticisme et du relativisme ? Si la vérité est affaire de point de vue, comment pourrons- nous éviter de dire avec NIETZSCHE que « tout est interprétation » ? Comment pourra-t-on, par exemple, condamner un propos disant que les camps de concentration ne sont qu’ « un détail

les rêves permette la réalisation de désirs refoulé.Comme la dit Freud, « Le rêve est la satisfaction d'un désir ». Le rêve nous permet donc de réalisé nos désirs les plus intime. Peut importe ce que sais. Il peut être d'ordre sexuel ou contre la morale, dans le monde des rêves il plus de limite tout devient possible et inimaginable même ce qu'il fortement interdit dans le monde réel. D'aucuns pourraient aussi prétendre non sans raison que le rêve sert a imaginé ce que l’ont souhait pour notre

de la nature et dans leur réflexion sur la valeur morale malgré leur incertitude de développer des jugements vrais. Avec DESCARTES, il y a passage de la notion de l’absolu à la notion du relativisme. Ainsi la vérité n’est plus une certitude absolue qui ne dépendrait pas du jugement humain mais la vérité devient relative c’est-à-dire un jugement de la pensée humaine sur la réalité. NB : A propos des notions de certitude absolue et de relativisme. Si on considère la vérité en tant que telle, elle

Sommaire Introduction 3 L’Entreprise et l’éthique 5 I.1. L’éthique, la morale et la déontologie 5 I.1.1. L’approche juridique 5 Le droit 6 I.1.2. L’approche de la raison 8 I.2. Les sources des règles éthiques 9 I.2.1. L’approche déontologie 9 I.2.2. L’approche téléologique 10 I.3. L’éthique dans le commerce et le marketing 11 I.3.1. Cadre général 11 I.3.2. La souveraineté du consommateur 15 I.3.3. La place de la confiance 15 I.3

relativement avec notre opinion. La phrase de Protagoras est présenté comme le relativisme. Le relativisme a un problème logique et un problème moral. => problème logique : opinion 1 : « Toutes les opinions se valent » opinion 2 : « Toutes les opinions ne se valent pas » L'opinion 1 dit que tout se vaut donc l'opinion 2 est aussi valable. → mais si ce n'est pas valable, sa ne peut pas être valable. =>problème moral : opinion 1: « les femmes sont inférieurs à l'homme »