Le Rire Descartes

trouve le tissu de nos pensées, le plus serré, le mieux tressé, le plus d'usage, le plus sain pour nous. De là vient qu'à lire un conte nous respirons un oxygène. Cela ne devrait pas être. À parler raison, nous n'y pouvons croire, et nous voulons en rire ; mais ils nous plaisent ; ils ont quelque rapport à un temps que nous avons traversé, tout peuplé de géants capables de choses extraordinaires comme d'ouvrir une porte. Une porte s'ouvre, par les mots magiques du conteur et nous entrons comme chez

l’Honnête homme *. D’importants courants de pensée apparaissent à la fin du XVIIe qui annoncent les Lumières : Descartes comme le montre le Discours de la méthode (1641), accorde une confiance absolue au pouvoir de la raison, capable d’expliquer le monde. Pascal ouvre la voie à la réflexion avec Les Pensées (1662), tandis qu’au théâtre, Molière corrige les mœurs par le rire : « Castigat ridendo mores » (Tartuffe (1664), L’Avare( 1668..). La Fontaine dans ses fables porte un regard critique

une sélection de leurs textes préférés du grand poète. «Je dis tu à Prévert» est une petite forme théâtrale tout public Une rencontre en toute simplicité et en toute convivialité autour de poèmes, de chansons, d’extraits de films où souffle dans le rire et la tendresse l’esprit de la liberté. Les comédiens proposeront, en marge des représentations, des ateliers pour le public scolaire ainsi que des conférences en milieu universitaire autour de l’art de dire. Sélection de textes (Liste non exhaustive)

dans la parole, la philosophie occidentale est une pensée qui s'élabore dans le conflit, la pensée mentaliste sera la pensée savante jusqu'à Descartes. Une faille existe entre réalité, pensée et la langue et cette faille va se conforter. Dieu est encore la référence dans la manière de penser le monde, l'autorité divine détient la vérité. L'époque de Descartes est marquée par la Réforme et la pensée copernicienne, le 16ème siècle est touchée par cette période de l'humanisme, une méfiance va donc s'installer

souligne donc la fonction épistémologique de ces deux contes philosophiques. En effet, derrière la parodie de ces affirmations péremptoires, Diderot met en scène un débat qui divise ses contemporains, à savoir l’opposition entre les partisans de Descartes et ceux de Newton : il évoque ainsi la controverse entre les « vorticoses », partisans des tourbillons cartésiens, et les « attractionnaires », disciples de Newton. Cette dispute burlesque fait écho au débat philosophique qui clôt le conte de

chez les chimpanzés, on s'aperçoit que tout ce que l'on avait cru voir se manifester en termes d'adaptation uniquement chez les hommes, c'est-à-dire la bipédie, l'outil, la chasse, le partage de la nourriture, la sexualité, les systèmes sociaux, le rire, la conscience, l'empathie, la sympathie, les chimpanzés le font aussi. Donc, soit ils ont tout acquis indépendamment, soit cela vient du dernier ancêtre commun, ce qui est plus plausible. Cela veut dire que déjà dans le monde des forêts, il y a 6

nature. → C’est le philosophe René Descartes qui va ouvrir la voie à ce type de réflexion, posant une idée essentielle ; celle selon laquelle l’homme pourrait être identifié à une machine et qui ne pourrait être compris seulement de cette manière. Ses dissections opérées aux Pays-Bas (1637-1640) ont fait penser à Descartes que l’être vivant n’est pas différent d’une machine, d’un automate, qui aurait en lui-même le principe de son propre mouvement. Selon Descartes, ce qui distingue l’homme de l’animal

● L’épreuve du doute (p. 53-55 « chez les athées il serait croyant »). Le vicaire se retrouve alors dans l’état de doute, explicitement comparé à celui de Descartes au début du Discours de la méthode. Mais la différence entre Descartes et le vicaire reste de taille, tant pour ce qui est de l’expérience du doute que de sa visée. Descartes, à partir du constat du caractère douteux d’un certain nombre de connaissances, va utiliser le doute, s’y installer sans hésitation (provisoirement bien sûr)

toute son ardeur ? — En tous cas, ces angoisses du rêve sont aussi réelles que celles de la veille ; nous les prenons aussi pleinement au sérieux. L’existence de tout ce que nous voyons et sentons est aussi évidente dans le rêve que dans la veille. Descartes, dans la première méditation, exprime cette idée de la façon la plus précise et la plus vivante : « Combien de fois m’est-il arrivé de songer la nuit que j’étais en ce lieu, que j’étais habillé, que j’étais auprès du feu, quoique je fusse tout nu dedans

Ensuite, une troisième pièce: "Introduction à l'esthétique fondamentale". Mais une troupe ça n'est pas facile à vivre, les rapports y sont délicats et moi je ne le suis guère. On se sépare, et je fais cavalier seul...par force. Ce qui me fait le plus rire, ce sont les comiques qui s'ignorent:: la télé. La télé, c'est bourré de gags, mais tellement qu'on ne peut pas les reproduite. Les gens croiraient qu'on invente. Par exemple, après un petit film pour promouvoir une campagne au profit des aveugles