Le Rire Ironique

Son pouvoir de reconstruction réside non seulement dans son imaginaire, mais dans l’esprit de dérision par lequel elle le traduit. Elle recourt au rire dans les situations difficiles, comme celle où M. Saito lui fait reprendre des photocopies : « Je courbai la tête et m’exécutai. J’avais du mal à m’empêcher de rire. » (p. 35) Son rire devient ironique quand elle se moque de la hautaine Fubuki, qui prend des allures grotesques dans ses tentatives de séduction que la narratrice appellera avec humour

religions. L'homme d'aprés lui face à la religion peut être cruel , intolérant et "sans coeur". Dans le conte de la lettre à Argental on remarque que Voltaire utilise un registre ironique, polémique mais aussi pathétique. En effet , dés le début on remarque que Voltaire désigne ses lecteurs d' "anges" , ce qui est ironique de sa part puisqu'il cherche avant tout à marquer , faire réagir le lecteur grâce à ce registre. Polémique puisqu'il évoque tout au long de cette lettre de l'affaire Calas qui à

superstition. Le chapitre raconte en effet, la cérémonie d’un autodafé dont Pangloss et Candide sont les involontaires victimes. 4) Problématique Comment Voltaire utilise un récit ironique pour dénoncer ses cibles préférées ? 5) Lecture Lire le texte 6) Annonce du plan (à la question posée…) I. L’art du récit II. Le registre ironique III. Un texte de dénonciation I. L’art du récit Ce chapitre constitue une unité narrative : un épisode dans son intégralité et un récit dense qui concentre un grand nombre

(…) l’état d’extrait » Il insiste pour lui montrer qu’elle ne l’aime pas. -l 35 « Jamais la première, mais la seconde…Tout de suite !...Comme je le disais dernièrement à… ».Lucienne parle vite et ne finit pas sa phrase, cette rapidité déclenche le rire chez le spectateur. -Pontagnac insiste avec des tirades ; «  Qu’est-ce que ça prouve, le mari ? […] C’est l’artiste de l’amour. Le mari n’en est que le rond-de-cuir » l24, l 25 - l26 « l'artiste de l'amour » On trouve un comique de caractère et une

le visage de la morte. Ce fut une horreur. ». Les bruits qui arrivent en écho de la rue (« A Berlin! » contribuent eux aussi à l'esthétisation de la scène, ainsi que la mention du rideau qui se « gonfle ». Le « rire » de Nana possède lui aussi un caractère théâtral: « elle tirait dans un rire abominable. » - les jeux d'ombres et de lumière: Zola a particulièrement travaillé la scène de façon très visuelle, à la façon d'un peintre, en insistant sur l'éclairage: « elle songea que cette lampe n’était

réalité, confirme le caractère comique du personnage doté d'un peu flatteur « très bon gros jugement » (l.11). Le champ lexical de la lourdeur employé par la femme pour décrire son mari ne peut que déclencher le rire du spectateur qui ne sait pas si Madame Sorbin est sincère ou ironique : « massif » (l.10) ; « lourd » (l.11) ; « gros » (l.11). Le portrait de Monsieur Sorbin est celui d'un lourdaud de comédie.Dans la fin de sa réplique, Madame Sorbin passe à la modalité déclarative et reprend le dessus

critique B. Le comédie a aussi un rôle moralisateur II. Le divertissement ne passe pas que par le rie A. toutes sorte de divertissement existe INTRODUCTION : le comique rime avec le rire. Cependant le comique et le divertissement ne sont pas que des moyens pour faire rire les spectateurs. CONCLUSION : …………………………………………………………………………………………………………………………………..Cela n'implique pas pour autant de ne pas réfléchir et de ne pas découvrir un sens plus profond des répliques. N'est-il pas

VOYAGE AU BOUT DE LA NUIT I/ Parodie de « bilan » de roman initiatique : A- Roman de déformation B- Robinson modèle II/ Voix qui dynamite les idéologies : A- Un réquisitoire ironique contre les idées B- Voix explosée mais vraie III/ Une vision pessimiste transcendée par l’humour A- La noirceur B- La dérision C-mort ultime but glorieux Intro : La nouveauté de Céline tient dans son écriture : un langage chargé d’émotions immédiates, vivant qui a redonné au

mort »>donne des indications sur l’espace/jeux « madame s’en va revenir »+utilisation du futur de certitude=elle est très sûr d’elle ce qui renforce la ruseL4 : « vous verrez la douleur.. »=ironique+double sens (spectateur/argan)L7 : « ne la laissez.. »=même chose car ironie qui échappe à argan mais qui fait rire le spectateurs+« désespoir » « en mourir »=Toinette joue sur l’exagération-évolution dans les répliques d’argan « comment ? » « je le veux bien » «laissez moi faire »= curieux>intéressé>confiant>entreprenant=néanmoins

génération ? Y a-t-il une fatalité de la génération à laquelle on n'échapperait pas ? L'appartenance à une génération est-elle un confort ou un carcan ? Se sent-on appartenir à sa génération, ou bien préfère-t-on se marginaliser, sur un mode ludique, ironique ou sérieux ? Qu'est-ce qui relève de l'individuel et du collectif dans l'identité d'une personne ? L'identité individuelle se construit-elle par rapport à sa génération, la génération de ses parents, une civilisation chargée d'une histoire longue