Le Rire Vulgaire

par l’utilisation du comique.Le terme d’obscénité n’a pas toujours eu la même signification à travers les époques. En effet, au Moyen Âge, ce terme apparaît notamment dans les satires, il est alors utilisé afin de rire d’un personnage, par des procédés scéniques qui provoquaient le rire chez les spectateurs. Nous pouvons notamment penser à l’œuvre de Molière Tartuffe, extrêmement connu pour représenter les dangers de l’imposture et de l’aveuglement. Le héros éponyme est très souvent moqué et cela

Il ne dit pas que tout le monde devrait penser comme lui, et ne dit pas que son avis est le bon. 2) François Rabelais Sa vie et son œuvre sont une superbe illustration de l'enthousiasme de la Renaissance. Il fait des œuvres drôles, provoquant le rire. Il a été moine et il croyait en cet engagement, mais il se trouvait enfermer et il ne se coupera pas du monde dans son abbaye avec son appétit de la vie. Il est ensuite médecin, écrivain et son nom est resté pour son œuvre. Œuvres: Elles mettent

La vraisemblance (théâtre) : on ne joue que ce que l’on peut croire et on ne fait pas n’importe quoi sur scène. - La bienséance : elle consiste à respecter des normes de conduites. Ex : pas de scènes vulgaires et où il y a du sang, pas de duels, pas de morts. - S’appuyant sur les Anciens et les italiens, de nombreux auteurs ne cessent de fixer des règles pour approcher la perfection. Ce vouloir de rendre léger les choses, au théâtre particulièrement,

auteur dramatique, un auteur de pièces de théâtre. (Attention,« dramatique » ne veut pas dire « triste » mais « de théâtre »).  Une farce est une pièce de théâtre courte qui vise à faire rire un large public. Les procédéscomiques sont simples et grossiers : coups de bâtons, gestes déplacés et propos vulgaires.  La commedia dell’arte vient d’Italie ; elle est fondée sur l’improvisation et certainspersonnages, devenus célèbres (Arlequin, Polichinelle…), sont masqués, ridicules et comiques.Comme

Sylvia. Mario lui fait tout de suite remarquer que ce n’est pas un langage de serviteur et qu’il devrait plutôt la tutoyer. Au contraire, la manière dont s’exprime Arlequin, vulgaire et mal polie, trahit ses origines roturières. C’est un personnage traditionnel de la commedia dell’arte, ses traits sont destinés à provoquer le rire du publique. Il paraît ridicule et il n’est pas du tout crédible dans son rôle de maître. Il essaie de profiter des avantages que lui confère son nouveau rôle : il parle avec

«  Comment un moine de Seuilly sauva le clos de l'abbaye du sac des ennemis » Plan : I. Satire de la religion II. Critique de la guerre III. Parodie du roman de chevalerie → Comment François Rabelais su faire fusionner le rire, l’indignation et la dénonciation ? Dans ce chapitre, il s'agit d'une querelle entre les sujets de Pichrocole et ceux de grandgousier. Les fouaciers refusent de vendre leur marchandise aux bergers et l’un d’entre eux nommé Marquet donne un coup

par le passé. Nous nous demanderons alors en quoi l’extrait est révélateur d’un système de relations sociales propre à cette époque ? Nous tenterons d’y répondre en dégageant trois portraits : M. Dimanche, un bienfaiteur méprisé ; Sganarelle, une vulgaire copie et enfin D.J, l’image d’un Seigneur. I. M. Dimanche, un bienfaiteur méprisé.    Si l’on ne se tient qu’aux morceaux de répliques que M. Dimanche semble s’efforcer de prononcer, on en déduirait que ce personnage, introduit à ce stade de l’intrigue

Le registre Comique Il explore les situations, les comportements, les paroles qui provoquent le rire en modifiant l’ordre attendu des choses (crée un décalage). Procédés : jeu sur les mots, quiproquo, répétition, glissement vers l’absurde … Quelques sous-registres du comique : - Le burlesque consiste à traiter un sujet noble et héroïque dans un style vulgaire avec un registre de langue familier, des caricatures et de comparaisons peu flatteuses. - L’ironie est une

L'homme qui enfin finit par rire C'est ainsi qu'était sa genèse et formation depuis son enfance; ses amis ne l'avaient guère vu sourire. Il était tout à fait sérieux, complètement bougon inclus lorsqu'il s'assit devant le photographe pour prendre une photo, il a refermé ses lèvres, il a boudé et il a pris une mine austère au point de mettre en gêne par sa mine le photographe qui lui a demandé de sourire même provisoirement durant la prise de la photo. Cependant il a refusé de sourire pour

sens intrinsèque - v. en particulier la série braillard, chiard, moutard, pendard, etc... Ce sont des bêtes, aux deux sens du terme. Pagnol parlait ainsi de " la bêtise au front de taureau ". Ils sont petits, au sens de mesquins, dérisoires, et vulgaires (v. la première apparition de Bouvard, en part.) B. ne les surnommait-il pas ses " deux cloportes " ? Mais, et c’est typique de l’ambiguïté flaubertienne, F. valorise en même temps l’animalité, avec la folie et l’enfance, comme source d’innocence