Le Roi Et La Res Publica

respectent ou s'affranchissent du droit romain ? (question sur les institutions) Plan : I- L’héritage Antique II- Institutions et droit au moyen âge ( la réception du droit antique, l'éclipse du modèle antique, la reconstruction de la res publica.) Livre 1 : L'héritage Antique IV millénaire  avant J.C : début de l'écriture. V ème siècle après J.C : 476 chute de l'empire romain d'occident . Plusieurs civilisations : Les civilisations du croissant Fertile :

tete une monarchie ( concentre le pouvoir législatif, exécutif, judiciaire) démocratie absolue Le roi étrusques est vraiment triadique ( tirant) les latins font un cou d’état pcq le roi exagère trop ils prennent pouvoir de Rome À partir de la, on les apple les romains PASSE D’UN MONARQUE À UNE CITÉ-ÉTAT ( POLIS) gouverné comme une cité-état ( Athene) car c’est la plus démocratique de toute. Res Publica—- République ( sénat) La république ne gouverne réellement que sur la cité de Rome et les environs

pouvoir politique n’existe que dans et par la personne du roi. A la mort de ce dernier, il n’y a plus de pouvoir central, ni de pouvoir politique à proprement parler. Entre la mort et l’avènement du nouveau roi, une véritable vacance politique se produit, un vide extraordinairement dangereux, et pour éviter cette vacance, la fameuse tradition s’est établie du « le roi est mort, vive le roi ». C’est-à-dire que, sitôt rendu le dernier soupir du roi, le Grand Chancelier ouvre la fenêtre et proclame cette

considérer que de 52 jusqu'au 3eme siècle, qu'il n'y aura ni guerre ni invasion. Cette période va être désignée de PAX ROMANA. L'héritage romain va être importante en matière administrative et politique. Rome va faire découvrir à la Gaulle la notion de RES PUBLICA, c'est-à-dire de chose publique. Cette désignation correspond à ce qu'on appelle aujourd'hui l'état. Ce concept d'état peut être associé à une puissance de commandement et d'organisation qui doit être distincte de la personne physique. Il y a une

(conquérant, militaire, guerrière pour conquérir des terres, contrairement au royaume qui protège les frontières de ses terres). Mais en Mésopotamie, gouvernementale = empire théocratique, régime impérialiste et le pouvoir est donné par Dieu, chaque roi était délégué par un Dieu et détenais son pouvoir de Dieu (65 000 Dieu = civilisation polythéiste). Cela donne un gouvernement théocratique. Les empereurs avait une mission dans un gouvernement théocratique (mission = maintenir l’ordre, écrire du droit

Ur-Nammu et le code d’Hammourabi Ur-nammu le plus ancien des travaux (vers 2100 av JC). Roi mésopotamien, roi conquérant et qui s’est voulu législateur, il a eu ce désir de mettre par écrit la coutume du peuple mésopotamien : 57 articles qui sous leurs formes reprendraient la coutume, retrouver en 1962-1965 on a retrouvé des articles et on a pu traduire que 40 articles. Le code d’Hammurabi : Hammurabi, roi de Babylone, vers 1792 avant JC vers 1750 av JC. Le code aurait été rendu publique vers

en Europe : * L’héritage du droit romain * L’héritage de la pensée chrétienne * L’héritage de la conception germanique §1 : La conception romaine du pouvoir : un pouvoir impersonnel Les Romains ont dégagé la notion d’Etat : la res publica (chose publique = la chose qui appartient à l’ensemble des citoyens) qui est une notion abstraite. Ce concept désignait l’organisation politique (commune à tous les citoyens) mais distincte de la personne des gouvernants. A. La dissociation

déviations des régimes droits » (Politiques, III, 6). Le critère du bon régime politique est donc la visée rationnelle de l’intérêt général. Il y a alors trois types de régimes que l’on peut paradoxalement qualifier de « républicains », soucieux de la res publica – de la « chose publique » (le terme est certes d’origine latine, mais c’est l’idée qui nous intéresse : notre héritage est autant grec que romain). A l’inverse, trois autres régimes en sont lesperversions parce qu’ils sont tournés vers l’intérêt

d’oublie de celle cette division. Durant la même période car le fond sacré du droit public romain est incompatible avec le christianisme, ses valeurs, ses cultes et sacerdoce (Dignité et fonction du ministre d'un culte) et surtout ce sont les affaires du Roi (considéré comme sacré = représentation de Dieu sur terre). Ensuite cette distinction est inopérante dans la société médiéval dut a l’absence de société étatiques. En effet, on ne distingue plus le priver du public. Vers l’avènement de la féodalité

Cité va être établit des organes politiques plus complexes. En effet dans la constitution de la Cité l’esprit juridique des romains et allé plus loin, il va dépasser la réalité concrète de la Cité. Cet esprit va promouvoir une nation abstraite de Res Publica : La chose du peuple une organisation juridique du peuple qui s’oppose à l’ordre arbitraire d’un royaume et c’est dans ce sens que l’on doit saisir la notion de Civitas Libertasqui c’est a dire la notion de liberté romaine : l’ordre dans la soumission