Le Roseau Pensant

de l'ébranler". Il montre que la conscience de soi est le premier savoir indubitable sur lequel il élaborera toutes ses connaissances au niveau de fiabilité de celle ci. Comme le dit Blaise Pascal "L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant"C'est a dire que la pensée et la conscience sont nos atouts qui nous permettent de survivre. "C'est donc misérable que de se connaitre misérable, mais c'est grand que de connaitre qu'on est misérable". La grandeur de l'Homme

s’est révélé à l’homme par des signes. XVI. Transition de la connaissance de l’homme à Dieu : l’homme n’a aucune commune mesure avec les infinis de la création, encore moins avec l’infini divin. « L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant. » (fragment 231, p.171). XVII. La nature est corrompue – Fausseté des autres religions : une vraie religion doit tenir compte des contradictions de l’homme, de sa misère et de sa grandeur. Seul le christianisme est vrai

cs nous permettent de prd cs. -DESCARTES: «Avoir conscience c’est agir, sentir, penser et savoir qu’on agit, qu’on sent, qu’on pense.» L’homme peut s’extraire du monde pour penser. -PASCAL «L’home n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature mais c’est un roseau pensant.» Suit à la conscience psycho, la conscience morale, le sujet juge de la valeur morale de ses propres intentions. Selon ROUSSEAU la cs morale est «principe inné de justice et de vertu» Le cogito de Descartes , je

bien ou le mal - la conscience psychologique qui se distingue en deux catégories : - conscience immédiate - la conscience réfléchie où l’on se perçoit comme percevant. La conscience comme connaissance est-elle le propre de l’Homme ? a. Le roseau pensant Texte de Pascal « La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable. C’est donc être misérable que de se connaître misérable ; mais c’est être grand que de connaître qu’on est misérable

que le cogito («  je pense ») émerge. Pour Descartes, la preuve que l’homme pense permet d’affirmer qu’il existe « ego sum, ego existo  ». C’est la certitude de la pensée qui détermine l’existence humaine, l’homme se définissant comme une chose pensante («  res cogitans »). Descartes définit alors une chose qui pense comme étant «  une chose qui pense est une chose qui doute, qui conçoit, qui affirme et qui nie, qui veut et qui ne veut pas, qui imagine aussi et qui sent ». Par exemple, lorsque

prépare une apologie du christianisme qui reste inachevée : son ouvrage le plus célèbre les pensées où il cherche une méthode propre à convaincre les libertins. L'homme est faible mais il aspire à l'infini ("l'homme est un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant"). Il est un précurseur de l'existentialisme contemporain. Il ne croit pas aux grands principes qui régissent tout. Il ne cherche pas à démontrer l'existence de Dieu (contrairement à son contemporain Descartes), car on

et qui trouble le repos de ceux qui s'y abandonnent; et les passions sont toujours vivantes dans ceux qui y veulent renoncer " (412-413) Pensée : " Pensée fait la grandeur de l'homme. [...] L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature; mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser: une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais, quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il

Suis-je ce que j'ai conscience d'être ? Introduction : "L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant...Quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus grand que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui; l'univers n'en sait rien ", déclarait Pascal dans une célèbre Pensée. Ce faisant il soulignait le privilège qu'a tout homme d'être conscient de ce qu'il est. Un tel privilège est-il pour autant acquis

par la raison. L’homme n’est pas sous le joug de la nature mécanique car il s’affranchit de l’instinct. L’intention de la nature a doté l’homme de qualités (penser à Pascal, Pensées, fragment 347 : “L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature; mais c’est un roseau pensant. Il ne faut pas que l’univers entier s’arme pour l’écraser : une vapeur, une goutte d’eau suffit pour le tuer.”) qui lui permettent de se nourrir par exemple. Cette dotation de qualité est mesurée et permet à l’homme une

s’interroger sur le sens, la valeur et les fondements de nos affirmations. Elle est définie par Platon comme un dialogue de la raison avec elle-même. Elle confère aussi à l’homme sa dignité, pour Pascal « l’homme est un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant ». Le terme penser est aussi lié à soi-même, un pronom utilisé pour parler d’une seule et même personne en excluant les autres ; il se définit par l’opposition aux autres. Du latin, ego, il renvoie à la réalité qui constitue