Le Roseau Pensant

Analyse du poème : «Mon bras pressait ta taille frêle… », de V. Hugo Mon bras pressait ta taille frêle... Mon bras pressait ta taille frêle Et souple comme le roseau ; Ton sein palpitait comme l'aile D'un jeune oiseau. Longtemps muets, nous contemplâmes Le ciel où s'éteignait le jour. Que se passait-il dans nos âmes ? Amour ! Amour ! Comme un ange qui se dévoile, Tu me regardais, dans ma nuit, Avec ton beau regard d'étoile, Qui m'éblouit. BIOGRAPHIE AMOUREUSE DE V. HUGO

 DISSERTATION : L'HOMME EST T-IL UN ETRE A PART DANS LA NATURE? « L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature; mais c'est un roseau pensant » écrivait Pascal dans ses Pensées (1660) montrant ainsi, à la fois la faiblesse de l’homme et sa particularité. L’homme dont on parle ici est le maillon d’une chaine des vies humaines, des sociétés, des civilisation qui forme l’humanité, l'espèce. Une espèce qui depuis des millénaires tente de conquérir une place au sein

Vidal Manon Commentaire composé le chêne et le roseau Jean de la fontaine est un grand poète du XVIIème siècle, principalement connu pour ses fables qui mettent en scène, par l’usage de la personnification, animaux et nature mais également humains ou encore divinités. Qu’elle soit explicite ou implicite, toutes ces fables comportent une morale et on un but de dénonciation, de critique notamment de la société de l’époque dans laquelle jean de la fontaine évoluait. Mais aujourd’hui, nous

passe en lui et en dehors de lui. Elle suppose l’usage du « je » par lequel l’homme se découvre à lui-même et agit volontairement sur le monde. Elle est aussi le lieu d’un jugement moral. Pascal « l’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature : mais c’est un roseau pensant ». Autres êtres de la nature : inconscience des mécanismes et des instincts. Grâce à la conscience, l’homme peut espérer : Agir de manière libre Se construire une histoire L’homme pense et sait qu’il pense  cogito

conjuguant cettefois-ci physique et métaphysique. L’homme pourrait être qualifié d’exception, c’est en tout cas ce que Pascal affirme dans ses Pensées au fragment 347 (classification Brunschvicg) : « L’homme n’estqu’un roseau, le plus faible de la nature ; mais c’est un roseau pensant ». Quand bien même il serait d’une constitution chétive et vulnérable, il dispose de cet attribut extraordinaire à la nature :Il dispose d’une conscience réflexive. Cet attribut lui offre mains avantages sur son environnement

Pascal récuse pour sa part l’idée de conscience « substance » (« une chose » pensante) et lui préfère la métaphore du roseau qui évoque non seulement la grandeur de l’homme mais aussi sa fragilité : « La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable. Pensée fait la grandeur de l’homme […] L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature. Mais c’est un roseau pensant » La conscience serait donc la capacité de se séparer de soi-même pour

l’animal. Cette raison est d’ailleurs équitablement répartie chez les hommes : «Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée ». C’est peut être pour renforcer ce point de vue que Blaise PASCAL dans Pensées estime que : « l’homme est un roseau pensant ». Mais ce qui fait la spécificité de l’être humain réside aussi dans le fait qu’il est un être culturel. La culture nous révèle que l’homme a sa manière de manger, de s’habiller, d’enterrer les morts. Aussi trouve t-il des solutions spécifiques

Disproportion de l'homme. En quoi l'écriture pascalienne est-elle particulièrement efficace ? PASCAL, Pensées, Fragment 143-145-146-231-232 autour du Roseau pensant. En quoi ces fragments sont-ils représentatifs d'un des paradoxes pascaliens « grandeur et misère de l'homme » ? PASCAL, Pensées, Fragment 143-145-146-231-232 autour du Roseau pensant. Quelle vision de l'homme nous offre pascal dans ces fragments et comment s'y prend-il ? PASCAL, Pensées, Fragment 139 extrait de Divertissement. Qu'est-ce

seul l'homme Cartésien estt une « res cogitans »: Je pense donc je suis, seul il est doté d'une conscience. La conscience peut faire figure de faiblesse mais aussi de force comme le suggère Pascal « L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant » (Pensées, 1669). En d'autres termes, avoir conscience, par exemple, de la mort, pour l'homme cela constitue une faiblesse car il perd de son innocence mais cela fait aussi sa grandeur car c'est une invitation à plénifier

« L’homme est un roseau le plus faible de la nature mais c’est un roseau pensant » Blaise Pascal. Par cette phrase Pascal nous montre que malgré la « petitesse » de l’homme dans l’univers sa pensée fait toute la grandeur de l’homme. La pensées est donc un des atouts principales de l’homme car cela en fait un être conscient de lui-même pourtant parfois ne devenons nous pas inconscient a nous-même. Que devenons nous si nous sommes inconscient a nous-même ? Pour répondre a cette question nous allons