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L'art de l'Égypte antique est caractérisé par une idée d'ordre : des lignes claires et simples, associées à des formes simples et des aplats de couleur. Les artisans utilisaient des lignes perpendiculaires, verticales et horizontales, pour former un quadrillage et donner des proportions correctes à leurs travaux. L'art reflétait l'importance sociale, religieuse et politique. La hauteur des personnages dépendait par exemple de leur rôle dans la société : les plus importants étaient les plus grands

ce qui suscitera néanmoins de nombreux débats. Dans l’avant-propos de la comédie humaine, Balzac décrit bien ce mouvement puisqu’il dit à juste titre : « la société française allait être l’historien, je ne devais être que le secrétaire » ; si nous jugeons ce que dit Balzac, doit-on en conclure que le seul but de la littérature et du romancier est de décrire, à toute époque, la société ou bien peut-il se permettre quelques libertés ? D’abord, nous étudierons quelques œuvres qui décrivent la société

Pierre et Jean, quatrième roman de Guy de Maupassant (1850-1893), a été publié en trois fois dans la Nouvelle Revue, entre le 1er décembre 1887 et le 1er janvier 1888, avant de paraître en volume chez Ollendorf, qui venait d’éditer Le Horla. Trop souvent occulté par le célèbre texte théorique intitulé « Le Roman » qui le précède sans en constituer à proprement parler la Préface, ce bref récit – longue nouvelle ou « petit roman », comme le qualifiait lui-même l’auteur – constitue cependant

ALEXANDRE DISSERTATION : Il est normal de s’interroger sur le sens des œuvres d’art et notamment des œuvres littéraires : a quoi servent-elles ? Sont-elles utiles dans nos existences parce qu’elles nous instruisent et qu’elles nous distraient, ou au contraire sont-elles inutiles dans la mesure ou elles n’ont aucune utilité pratique ? Dans l’histoire, on nous a souvent justifié les œuvres en valorisant l’aspect esthétique qui éveillent chez nous le sens du beau, comme par exemple La Joconde

Une œuvre d’art nous invite-t-elle à nous évader du monde ou à mieux le regarder? Les produits de la sculpture, de l'architecture, de la peinture, du théâtre, les œuvres musicales, la chorégraphie de danse ou même l'œuvre de cinéma, … sont des œuvres d'art car sont considérées comme art toutes les activités humaines qui conduisent à la production du beau. Contrairement à la nature qui suit des lois mécaniques déterminées, l'art suppose un agent libre. Marx fait alors la distinction

Plan détaillé Veuillez remplir les espaces prévus à cet effet. Introduction |Sujet amené | | |Contexte sociohistorique |Social, culturel |     ­ Pour de l’argent, les coupables n`ont pas été condamnés. | | |ou politique |­ La justice du territoire génois était arbitraire depuis le XIIIe siècle

contraire cohabiter en une même époque. Nous délimiterons cependant trois période pour le XIXe siècle. La première, occupant toute la première moitié du siècle, voit la prédominance du romantisme. La deuxième occupe les vingt années suivantes de 1848 à 1868 : il s'agit du réalisme. Cette tendance ouvrira la voie au naturalisme, esthétique qui occupera la fin du siècle (jusqu'en 1887). 1. Ses origines sociohistoriques : une période de profonds changements. N'oublions pas que les changements culturels

Le NATURALISME(1860-1890) (mouvement) Le naturalisme est un mouvement littéraire (vers 1860-1890) qui prolonge le realisme et qui s’attache à peindre la réalité en s’appuyant sur un travail minutieux de documentation et en s’inspirant notamment de la méthode expérimentale du physiologiste Claude Bernard.Le chef de file du naturalisme est Émile Zola.Procédés narratifs récurrents :la description, la focalisation externe, le discours indirect libre, etc.Notions proches : réalisme, positivisme :doctrine

Commentaire littéraire le gueux Une nouvelle réaliste est un genre littéraire très court, qui nous entraine directement dans l’histoire grâce à plusieurs procédés littéraires. Selon Maupassant, le réaliste, s’il est un artiste, cherchera, non pas à nous montrer la photographie banale de la vie, mais à nous en donner la vision plus complète, plus saisissante, plus probante que la réalité même. Nous pouvons définir le mouvement littéraire comme un ensemble d’auteur qui écrivent dans

la tâche du romancier, quand il crée des personnages, ne consiste-t-elle qu'à imiter le réel ? La liberté propre au roman, genre protéiforme et en perpétuelle évolution s'il en est, peut-elle supporter de se cantonner à cette imitation? Le geste créateur du romancier se réduit-il à une simple reproduction, quasiment photographique, du réel ? Nous observerons tout d'abord comment le romancier s'inspire effectivement de la réalité qui l'entoure. Nous montrerons ensuite que le roman offre tout de même