Le Smic

Maintenant nous allons voir la définition et l’évolution du SMIC aux cours de ses dernières années. 1.2 Le SMIC Le salaire minimum de croissance (SMIC) est un seuil ou une moyenne selon laquelle chaque personne doit au minimum recevoir tous les mois afin de pouvoir assurer les besoins primaire de l’être humain. Parmi ce montant, une partie ira à l’état pour permettre de les utiliser ensuite pour développer l’économie du pays. Le SMIC est une augmentation tous les ans, aujourd’hui, il est affiché

niveau IV De 16 à 20 ans révolus De 21 à 25 ans révolus De 26 ans et plus Titre ou diplôme professionnel égal ou supérieur au bac ou diplôme de l’enseignement supérieur 55% du SMIC 65% du SMIC 70% du SMIC 80% du SMIC Rémunération égale à 85% du salaire minimum conventionnel de branche sans pouvoir être inférieur à 100% du SMIC Aides financières pour l’employeur Dépenses de formation des bénéficiaires du contrat : Financées par l’OPCA sur la base des forfaits horaires fixés par accord conventionnel

rémunération lié aux performances (système de primes) 2) Le salaire minimum 1950 ( SMIG : Salaire minimum interprofessionnel garanti 1970 ( SMIC : Salaire minimum interprofessionnel de croissance •Le SMIG augmentait en fonction de la hausse des prix (inflation) Du coup le SMIG était le salaire qui augmentait le moins vite •Le SMIC est plus favorable car il est indexé sur l’inflation MAIS AUSSI en fonction du salaire moyen ouvrier. LIBERAUX Certains économistes prônent la suppression

motivé, rigoureuse, polyvalente, rapide et souriante. -Les diplôme et formations ; il faut au moins avoir le bac, il n’y a pas besoin de formation ou si besoin la formation se fait en magasin avec le responsable ou l’adjoint. -le salaire moyens et le SMIC+ prime -les avantages sont la carte club gratuite, C.E,la mutuelle Les inconvénients sont que l’on est debout toute la journée, on travaille le samedi et les conflits entre les clients et le personnel parfois assez violent. "4. le métier que

A. Smic et minimum garanti au 1e janvier 2015 : (urssaf.fr) Au 1e janvier 2015, le taux horaire du Smic passe de 9,53 euros à 9,61 euros, soit 1 457,55 euros bruts mensuels sur la base de la durée légale de 35 heures hebdomadaires. Le salaire minimum de croissance (SMIC) est le salaire horaire en dessous duquel il est interdit de rémunérer un salarié et ce, quelle que soit la forme de sa rémunération (au temps, au rendement, à la tâche, à la pièce, à la commission ou au pourboire). Le SMIC s’applique

durant toute la durée de son CDD. Il doit veiller à l’emploi du temps du salarié et d’assurer la liaison avec l’organisme de formation. Quelle est la rémunération ? - Jeunes de moins de 21 ans : 55 % du SMIC, - Jeunes de 21 à 25 ans : 70 % du SMIC, - Demandeur d’emploi de 26 ans et plus : 100 % du SMIC et au moins 85 % du minimum conventionnel. Auprès de qui s’adresser ou se renseigner ? Mairie de votre domicile, ANPE, GRETA, Les Centres de Formation Professionnelles, Les Centres de Formation d’Apprentis

de la gestion d'un service public, associations loi 1901). La conclusion d'un tel contrat ouvre droit, pour l'employeur, à différentes aides : exonération de cotisations sociales patronales à hauteur du Smic, aide à la rémunération fixée en pourcentage du Smic (pouvant aller jusqu'à 95 % du Smic). Remarque Le contrat d'accompagnement dans l'emploi, ainsi que le contrat d'avenir, succèdent aux contrats emploi-solidarité et aux contrats d'emplois consolidés depuis le 1er mai 2005. A compter du

1) Les revenus du personnel salarié du secteur privé. A) Le personnel payé au SMIC: - En France, le SMIC (salaire minimum interprofessionnel de croissance) est de 1445,38 euros soit 172480 XPF pour 151,67 heures de travail. Il détermine le salaire minimum légal. - En Nouvelle-Calédonie, le SMG (salaire minimum garanti) est de 151985 XPF pour 169 heures de travail. Il est pertinent de relever que le salarié payé au SMIC travaille plus et gagne moins en Nouvelle-Calédonie qu’en métropole. B) Profession

budgétaires, elles touchent d’abord les très bas salaires puis sont étendues par la suite. Par exemple la loi de 1993 exonérait de cotisations pour les allocations familiales les salaires allant jusqu’à 1.1 SMIC et réduisaient de moitié ces mêmes cotisations pour les salaires compris entre 1.1 et 1.2 SMIC. Les économistes étaient favorables à ce genre de mesure parce qu’en plus de baisser le coût du travail, elles réduisaient l’inadéquation entre l’offre de qualification et la demande de qualification

sociales sur un salaire normal : négociation avec l’employeur d’un salaire brut. Ensuite l’employeur paye en plus des cotisations patronales (40% environ). Sur le salaire brut, on paye ensuite 20% de cotisations. A 1 SMIC, l’allègement de cotisation est de 26 points. A 1,6 SMIC il est nul. Entre les 2 il diminue linéairement. Ces allègements ont commencé en 93 et ont ensuite beaucoup changé. Amplifiés avec l’allègement Jupé et à l’occasion du passage à 35 heures. Puis en 2000-2001 (augmentation)