Le Souffle au cœur

LE CŒUR – Doucement bercé sur sa mule fringante, maitre Blazius s’avance… En même temps METTEUR EN SCENE – a lui-même – Je ne vais pas m’énerver, je ne vais pas m’énerver LE CŒUR – Dans les bluets fleuris, vêtu de neuf, l’écritoire au côté. Comme un poupon sur l’oreiller, il se ballotte sur son ventre rebondi, et les yeux fermés, il… Interruption du metteur en scène METTEUR EN SCENE – S’en est trop ! Je ne te demande pas de réciter l’incroyable texte de Musset, mais de le jouer. LE CŒUR – Et

découvrir de nouvelles choses; voilà tous les éléments pouvant contribuer à rendre un homme en parfaite harmonie avec lui-même. Grand écrivain, dramaturge russe du XIXe, Tchekhov affirme qu’au contraire, plus la culture d’un homme est importante, plus son cœur en souffre. Pourquoi ? Nombreux sont les hommes fort intelligents qui passent toute leur vie dans le bonheur et la réussite la plus totale. En quoi sont-il différents de ceux tel Tchekhov, qui était un homme d’une culture immense et qui a, tout au

"On n'entendais plus, on ne voyait plus. La Lison, renversée sur les reins, le ventre ouvert, perdait sa vapeur, par les robinets arrachés, les tuyaux crevés, en des souffles qui grondaient, pareils a des râles furieux de géante. Une haleine blanche en sortait, inépuisable, roulant d'épais tourbillons au ras du sol, pendant que du foyer, les braises tombées, rouges comme le sang même des entrailles, ajoutaient leurs fumées noires. La cheminée, dans la violence du choc, était entrée en Terre; à l'endroit

pénètre par la fenêtre. Déjà ils ont dit ce que fut le travail, la prière et la terre promise pour eux dans le négoce. Et pour franchir jusqu’à l’oubli, ils se laissent investir par les images passées de la fumée, qui couvre d’une joie froide leur cœur. Le plus vieux est tourné vers le dernier rayon du jour, du bout des doigts touchant la pointe de sa moustache. Et c’est à cette heure que peut se dérouler lentement la parole, se délier calmement la langue pour rappeler, et c’est ainsi, qu’autrefois

cours du parcours de l’initié, l’Espérance continua de scintiller, me permettant d’envisager un avenir moins sombre. Entré en pleine lumière dans le Temple Rouge, j’errais dans un désert où, comme en un souffle, je reçus la Parole perdue, Igne Natura Renovatur Integra. Quel pouvait être ce souffle ? La manifestation du divin ? Pour mon cas, je n'y ai vu que l'expression de ce qui gisait en moi et désirait une nouvelle fois s'exprimer, cette petite voix , mais si forte car entretenue par l'espérance

sur la Liturgie et notamment les développements de Pie XII. Ce dernier avait fait comprendre qu'il fallait bien continuer à voir, dans la Liturgie, l'action extérieure (les cérémonies) mais qu'il fallait surtout soigner l'action intérieure (dans le cœur des fidèles). Le Concile a voulu, comme le désiraient tous ceux qui avaient participé au "mouvement liturgique" en vue du renouveau spirituel, une plus grande participation des fidèles. Pour cela, il était important de définir ce qu'était la Liturgie

............................................................................................ Strophe pour se souvenir............................................................................................................ Robert DESNOS -Ce coeur qui haissait la guerre.............................................................................................. Joachim DU BELLAY -Au roi.......................................................................................................

CHANGER DE REGARDS: NOUS CONNAÎTRE NOUS­MÊME EST UN DÉFI ET UNE INVITATION À CHANGER DE REGARD, À  EFFECTUER UNE ROTATION DANS LA CONSCIENCE QUI PEUT ÊTRE AUSSI VASTE QUE LE  MONDE MAIS EN MÊME TEMPS AUSSI PROCHE QUE CE MOMENT, CE SOUFFLE, DANS CE CORPS,  DANS CET ESPRIT ET CE COEUR QUE VOUS ET MOI, QUE NOUS TOUS, APPORTONS À CE QUE  J'APPELLE LE PAYSAGE DE L'INSATNT PRÉSENT. BASES D'EXERCICES ­ CONSIGNES DE DÉPLACEMENT POSITION ASSISE ASSIS EN TAILLEUR AU BOUT D'UN STEP. LE DOS EST DROIT, LES ÉPAULES BASSES

brûlait dans mon coeur. Elle me guidait plus sûrement Que la lumière du midi Au but où m'attendait Celui que j'aimais Là où nul autre ne le voyait. O nuit qui m'avait guidée ! O nuit plus aimable que l'aurore ! O nuit qui avez uni L'Aimé avec sa Bien-Aimée Qui a été transformée en Lui ! Sur mon sein orné de fleurs Que je gardais tout entier pour lui seul, Il resta endormi Et moi je le caressais, D'un éventail de cèdre je le rafraîchissais. Quand le souffle provenant du

règne ; Solm La4 La Pour tous les siècles, amen. 2- L’Esprit saint et l’épouse fidèle Disent : « viens !» C’est leur cœur qui appelle. Viens, ô Jésus, toi l’Epoux bien-aimé ; Tous les élus ne cessent de chanter : 3- Tous les peuples et toutes les nations, D’un seul cœur avec les milliers d’anges, Entonneront en l’honneur de son Nom Ce chant de gloire, avec force et louange : ASSIS AU BORD DU CHEMIN Do