Le Sublime

échappé de sa cage et désorienté, ne sachant où aller. ''Comme les exilés'', il se trouve dans un monde qui ne lui convient pas. ''ridicule et sublime'', c'est ici un oxymore. ''ridicule'', car le cygne se trouve au milieu de la ville, il n'est pas à sa place, ne va pas avec ce décor, et ''sublime'' car le cygne est un animal impérial et noble, il est sublime par sa blancheur. Comme tous les exilés, le cygne cherche quelque chose de perdu, lui cherche l'eau du lac ''et rongé d'un désir sans trêve 

croisée du Romantisme, dont il admire Victor Hugo et le peintre Delacroix, le Parnasse dont il admire Gautier, et le symbolisme. Il va lui-même marquer les générations futures, par son travail des images, son goût pour l’alliance du morbide et du sublime, et sa mélancolie. Les Fleurs du mal , publié en 1857 est son recueil le plus célèbre et la partie « Spleen et Idéal » révèle la déchirure du poète emprisonné dans le « spleen » mais tendu vers l’absolu et la Beauté. Le poème

passions qui va poussé le prêtre à réagir. Sa réaction relève de la compassion « il avait les yeux pleins de larmes « (l60,61) ; après catharsis meursault va connaitre un état d’apaisement. En effet le dépassement de sois même va mené à l’accès au sublime « la merveilleuse de cet été endormis entre moi comme une marée » (l69, 70). Cette épuration des passions est révélatrice d’une adaptation de soi. c) La nécessité d’adaptation de soi La première partie est marqué par la terreur de meursault exprimé

embarrassantes, c'était qu'elles impliquaient bien plus que de simples quiproquos. Nous allons montrer que le mélange des origines sociales des personnages de Victor Hugo dans ses drames révèle une nouvelle esthétique : la création d'un art total, mêlant le sublime au grotesque pour s'adresser à tous. Nous verrons dans un premier temps montrer que c'est par le mélange des personnages et de leurs origines sociales qu'on peut mélanger les genres et par le mélange des genres nous pouvons nous adresser à tous

volonté d'explorer toutes les possibilités de l'art afin d'exprimer ses états d'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique. Ses valeurs esthétiques et morales, ses idées et thématiques nouvelles ne tardèrent pas à influencer d'autres domaines, en particulier la peinture et la musique

le jardin idyllique. * De 1750 à 1780, c’est l’époque du jardin paysage sobre et « naturel » ou « serpentine’ style » de Capability Brown. * Après 1760 sous l’influence de Burke, le jardin anglais évolue vers plus de sensualité : c’est le jardin sublime. * À la fin du XVIIIe siècle, le jardin « à l’anglaise » doit comporter des accidents de terrain (vallons, collines, pentes…) et jouer sur un contraste entre éléments peignés (c’est-à-dire réguliers) et sauvages. C’est le jardin anglais pittoresque

scène. Ce tremblement de la voix, ces mots suspendus, ces sons étouffés ou traînés, ce frémissement des membres, ce vacillement des genoux, ces évanouissements, ces fureurs, pure imitation, leçon recordée1 d'avance, grimace pathétique, singerie sublime dont l'acteur garde le souvenir longtemps après l'avoir étudiée, dont il avait la conscience présente au moment où il l'exécutait, qui lui laisse, heureusement pour le poète, pour le spectateur et pour lui, toute la liberté de son esprit, et qui ne

Perdican reprend le point de vue pessimiste de Camille, cependant l’adversatif « mais » va renverser l’image péjorative car il va montrer que l’union de ces deux êtres avec l’amour va sublimer leurs défauts. b. Une défiance de la religion Nous retrouvons des antithèses entre « sainte et sublime » Les religieuses privilégient l'amour divin et critiquent l'amour profane; pour Perdican, au contraire l'amour entre 2 êtres est un sentiment qui « embellit le monde ». III. Une déclaration

Comme lui, la muse moderne verra les choses d’un coup d’œil plus haut et plus large. Elle sentira que tout dans la création n’est pas humainement beau, que le laid y existe à côté du beau, le difforme près du gracieux, le grotesque au revers du sublime, le mal avec le bien, l’ombre avec la lumière. Elle se demandera si la raison étroite et relative de l’artiste doit avoir gain de cause sur la raison infinie, absolue, du créateur ; si c’est à l’homme à rectifier Dieu ; si une nature mutilée en sera

principalement utilisé dans la poésie (ce qui est le cas de notre texte ici) et la tragédie, et qui use d'un vocabulaire spécifique, de constructions archaïques ou sophistiquées: c'est le registre sublime (ou encore noble et relevé). Il apparaît donc que Nicolas Boileau ait usé du registre soutenu ou du sublime dans son texte. En effet on peut également faire appel à certains passages dans l'extrait qui nous le confirme, et répondent aux critères de la définition, à savoir l'utilisation d'un vocabulaire