Le Systéme Productif

flux d’investissement sont un moyen pour les entreprises étrangères de produire dans un pays particulier. 1er intérêt: cela peut être pour contourner la réglementation de tel ou tél pays. Cela contribue à l’intégration croissante des processus productif. Ils participent aussi au échanges de capitaux à long terme. En effet, les I ayant une durée de rentabilité assez longue généralement. -Échange de facteur de production permet à un pays d’accéder à ce qu’il lui fait défaut. Une société a besoin

septembre 2014 : Une mission nous est confiée. Nous avons trois mois pour réaliser 200 photographies sur “Le monde productif contemporain”. C'est l'occasion unique pour nous, en tant qu'étudiants, de donner notre opinion.  4 septembre 2014 : Avant toute chose, nous devons dégager un fil conducteur. Quel message voulons-nous exprimer à travers ces photos ? Comment appréhendons-nous le monde productif contemporain ? Celui dans lequel nous vivons, mais aussi celui dans lequel nous allons prochainement travailler

motivations principales des salariés, le principe : « Plus je travaille, plus je m’investis, plus je suis productif : plus je gagne d’argent », reste important pour tout salarié. La mise en place de motivations financières demande un système d’évaluation fiable et équitable afin de détecter et de récompenser l’implication, la performance et les résultats des employés les plus impliqués ou productifs. Faute d’avoir des critères évaluables, les primes seront perçues par le reste du personnel comme du favoritisme

- Loi des rendements décroissants - Modèle de Solow - PCS - PIB en valeur - PIB en volume - Pôle de compétitivité - Population active - Productivité moyenne, marginale du travail et du capital - Progrès technique - Schumpeter .J - Secteur - Système productif - Taux d’activité 93 PLAN I. LES THEORIES DE LA CROISSANCE A. Les précurseurs B. Schumpeter et le rôle de l’entrepreneur C. Les modèles de croissance post-keynésiens (Harrod, Domar) D. Le modèle de croissance néoclassique (Solow, 1956)

SUR LES VALEURS 6- LE CONFLIT INTERNE III. LES CAUSES DE CONFLITS IV. LES CONSEQUENCES DE CONFLITS 1- SOLUTONS a- RESOUDRE LE PROBLEME b- FORCE POUR GERER LE CONFLIT 2- ASPECTS DU CONFLIT a- ASPECTS DESTRUCTIFS DU CONFLIT b- ASPECTS PRODUCTIFS DU CONFLIT CONCLUSION INTRODUCTION Une organisation qui dure est celle qui sait traverser les crises et affronter les agressions dont elle est l’objet. Longtemps, les conflits organisationnels ont été niés par certains, considérés comme

intérêt de favoriser la mise en place d’une cohérence entre les objectifs de l’entreprise et ceux de ses salariés. Pour atteindre cet objectif, il convient de mettre en place des outils pour motiver ses salariés. Comme par exemple l’utilisation d’un système de rémunération lié à la performance, la gestion des carrières des salariés et la mise en œuvre de procédé visant à impliquer le personnel dans le projet de l’entreprise. A. Fixer des objectifs Les objectifs fixés aux salariés sont en lien

et la plus pauvre, s’il est sobre et laborieux, peut jouir, en choses propres aux besoins et aux aisances de la vie d’une part bien plus grande que celle qu’aucun sauvage pourrait jamais se procurer. Les causes qui perfectionnent ainsi le pouvoir productif du travail et l’ordre suivant lequel ses produits se distribuent naturellement entre les diverses classes de personnes dont se compose la société, feront la matière du premier livre de ces Recherches. Quel que soit, dans une nation, l’état actuel

Revenir au libre-échange remettrait en question ces vertus. Enfin, la mondialisation contemporaine repose sur une décomposition des processus productifs et sur des échanges intrabranches. Les produits sont aujourd’hui made in World comme le rappelle régulièrement l’OMC. Des politiques protectionnistes viendraient déstabiliser le système productif devenu mondial. Lorsque Donald Trump décide de taxer l’acier importé aux États-Unis, c’est finalement le consommateur américain qui va subir la

–        Comment s’organisent les systèmes territoriaux qui forment le cadre du processus de mondialisation ? I.        Un processus géohistorique pluriséculaire de mise en réseau du monde Texte 1 p.14 : « Qu’est-ce que la mondialisation » (O. Dollfus)- « Fin de la préhistoire du monde » (Jacques Lévy[1]), la mondialisation se caractérise dans l’espace mondial par une mise en relation et en interdépendance des différentes composantes du monde, qui s’articulent en système. Ce processus de « mise en

absolu) et à renoncer aux autres productions (meilleure allocation des ressources). - Ce système entraîne un processus de spécialisation nommée la division internationale du travail (D.I.T). Les avantages : l'ensemble des pays participant à l'échange dans le cadre d’une concurrence internationale retirent de cette D.I.T. un gain économique global ( produits moins chers plus de PA, systeme productif plus performant) Les limites de la théorie : le raisonnement peut aboutir à un impossibilité