Le Systéme Productif

(Immeuble FRAKE 2è étage) Tel. : (225) 22 40 49 80 Fax: (225) 22 40 49 90 22 BP 1354 ABIDJAN 22 (Côte d’Ivoire) Email: aisfdci@ aisfdci. net Web : www.aisfdci. net Compte contribuable 0171287H AISFDCI Association Interp rofessionnelle des Systèm es Financiers Décentralisés de C ôte d’Ivoire 2 SOMMAIRE CONTEXTE ET JUSTIFICATION 3 I – VIABILITE FINANCIERE DES IMF 7 a) Rentabilité financière 8 b) Rendement sur actif 8 c) Ratio d’autosuffisance opérationnelle 9 d) Marge bénéficiaire

santé de la population. Ou comment gérer la santé de la population mais quelle politique sanitaire (ou politique de santé) et financière mettre en place pour répondre au besoin de soin de la population dans une optique ou pas de régulation(1) du système de santé. Cette politique sanitaire en question résulterait de l’environnement socio-économico-politique des pays. C'est-à-dire quelle tiendrais compte de la pyramide des âges, des problèmes démographique, de la situation sanitaire, de la situation

accords entre partenaires sociaux pendant les trente glorieuses s'étaient traduits par la mise en place d'une indexation des salaires sur le taux d'inflation. En conséquence, toute hausse des prix entraînait une hausse des salaires dans le secteur productif, ce qui se traduisait par une nouvelle augmentation des prix de vente, d'où nouvelle hausse des prix... une inflation liée à une insuffisance de l'offre : en phase de ralentissement économique, les entreprises diminuent leurs investissements

groupe et de leur influence sur la productivité remonte aux expériences Hawthorne menées par E.Mayo à la Western Electric. A partir d’une étude sur une longue période, ce chercheur a mis en évidence plusieurs facteurs conditionnant le comportement productif des ouvrières. L’acceptation d’un mode de commandement fondé sur le dialogue, de nature informelle et non hiérarchique renforce les comportements professionnels positifs, au même titre que les sentiments de sécurité de l’emploi et de reconnaissance

fonctionnement théorique du marché du travail En adoptant l’analyse néoclassique du marché du travail, on est amené à considérer l’offre de travail (celle de la population L’OFFRE ET LA DEMANDE DE TRAVAIL active) et la demande (celle du système Salaire horaire (S) productif : entreprises, administrations) comme étant fonction du prix du travail. Offre Lorsque celui-ci s’accroît, c’est-à-dire quand le salaire horaire augmente, les actifs potentiels sont incités à renoncer à l’oisiveté. Une hausse

permet d’accroitre le savoir-faire source de croissance. ( exemple : un ouvrier qualifiée ayant le savoir faire sera plus productif : plus de gains de productivité) L’éducation apparaît comme une finalité économique. * Le capital humain est facteur de croissance : théorie endogène. L’économiste Lucas considère que l’accumulation de capital humain sous la forme de système de formation initiale et continue performants est de nature à faire augmenter l’efficacité collective d’une économie.

développement on considère qu'il existe deux paradigme : le classique et le keynésien. Nous allons dire que le paradigme signifie modèle (modèle des modèle). Il s'agit d'un modèle de base. 1. Le paradigme classique Système féodale conduit à une révolution amenant à un système capitaliste. Nous avons une dynamique économique s'égaliser avec la dynamique sociale et tous cela donne un contexte de révolution. Deux facteurs le capital et le travail. Le travail est vu comme douloureux il à une valeur

Thème 2 La typologie des entreprises I- Le découpage du système productif : Les trois critères qui permettent de classer les entreprises sont : la taille, la forme juridique et l’activité. A- La taille : ➢ L’effectif : - La micro entreprise de 1 à 10 personnes ; - La petite entreprise de 10 à 50 salariés ; - La moyenne entreprise de 50 à 300 salariés ; - La grande entreprise au delà de 300. ➢ Le chiffre d’affaires. ➢ La valeur ajoutée : c’est la richesse crée par l’entreprise

production est accompagné d’une tendance inflationniste et d’une augmentation de la masse salariale ce qui entraîne une progression de la demande et l’expansion se généralise. Montée des investissements, des profits, de la spéculation jusqu’à ce que le système ne puisse plus absorber la production, les anticipations deviennent alors pessimistes et la bourse s’effondre : c’est la crise qui se propage par réactions en chaîne. b) Crises et cycles économiques *Les cycles Juglar : (des affaires

font remarquer extrême hétérogénéité des conditions de production d'un bout à l'autre de la planète : les niveaux de salaires, les systèmes de protection sociale et les contraintes écologiques pesant sur les entreprises sont incomparables entre les pays les plus développés, les pays émergents et les pays en développement. La concurrence entre les appareils productifs est donc faussée que la division internationale du travail se transforme en un outil de désindustrialisation des pays développés et