Le Systémisme

ce n'est donc pas du tout un expert, c'est bien un consultant avec comme horizon la multiréférentialité, et notamment l'utilisation possible des divers modèles de pensées existant sans qu'il reste accroché à l'un d'entre eux, fusse le prestigieux systémisme lequel, même dit "complexe", plus que tout autre aujourd'hui, a propension à se faire passer pour le seul modèle possible. Un consultant formé au pari de la complexité, ayant à sa disposition, par exemple, les modèles de pensée : le déterminisme

''pédagogie de l'action'' inventive et libératrice. Entre ces deux hypothèses, le changement ne se produit pas nécessairement de la prise de conscience des causes du problème hypothétique mais il se repose sur l'action qui en découle. Donc le systémisme se base sur des descriptions et cible des buts plutôt que s'intéresser à des explications. Il faut surtout pas négliger par ailleurs l'attention portée à l'écologie humaine. C'est l'un des principes de base de la thérapie systémique et

organisation. Le canadien Henri Mintzberg est apparu depuis les années 70 et 80 comme le théoricien de référence dans le domaine de l’analyse des organisations. Le paradigme systémique a bouleversé l’approche classique d’un l’objet d’étude. En effet, le systémisme, pour décrire le fonctionnement d’un système, privilégie l’analyse globale des échanges entre ses parties à l’analyse de chacune d’entre-elles. L’apport majeur de Mintzberg est d’avoir élaboré une typologie permettant de catégoriser les diverses

compétant. Bibliographie et webographie http://www.systemique.be http://www.cvconseils.com/ http://uriic.uqat.ca/cours/Module1/ http://module-de-communication.blogspot.com http://fredericdemarquet.com Approches systémiques de la communication: systémisme, mimétisme,cognition

réseau atteindrait ainsi son point d’acmé. Car le moment où elle parvient à la conceptualisation que lui donnent les saint-simoniens est aussi celui où elle dégénère en idéologie, et même en théologie : avant que la cybernétique (N. Wiener), le systémisme (Bertalanffy, Parsons) ou la mythologie « New Age » de certains « internautes » ne s’en mêlent, il s’agit déjà, au fond, pour ces penseurs, de rétablir une hypothétique transparence entre les hommes en instituant une nouvelle communion sociale.

complexe. En effet, si la démarche de Cardon fait preuve d’une certaine originalité par son regard sur des données très concrètes relatives à l’organisation d’un service, il est possible de rapprocher les concepts qu’il développe, des limites du systémisme, décrites par Vial. (2001) « Le point commun à toute la systémie, est de considérer le système comme une totalité. (…) Mais c’est oublier que le système n’est au plus qu’un des éléments de la complexité. C’est faire du système un plein, construit

interne) Friedberg, Crozier, Erhardt : étude sur la productivité de l'entreprise qui nécessite une démarche  empirique approfondie : reconstruction de logique hiérarchique, des comportements. Conception à mi­chemin entre l'interactionnisme et le systémisme dit « systémique et stratégique ».  Système d'actions reliant des acteurs interdépendants entre eux, dont les actions sont coordonnées par un  mécanisme  de  régulation.  Stratégique  parce  qu'il   s'agit  d'une démarche  rationnelle  d'action au 

organisation. Le canadien Henri Mintzberg est apparu depuis les années 70 et 80 comme le théoricien de référence dans le domaine de l’analyse des organisations. Le paradigme systémique a bouleversé l’approche classique d’un l’objet d’étude. En effet, le systémisme, pour décrire le fonctionnement d’un système, privilégie l’analyse globale des échanges entre ses parties à l’analyse de chacune d’entre-elles. L’apport majeur de Mintzberg est d’avoir élaboré une typologie permettant de catégoriser les diverses

à coote",té" I'ordre établi et les privilèges qu,i- s'y rattachent. Àvec le concours de la décolonisationo ce droit s'oriente désormais . La mission du juriste est une 34. Le culte de la stabilité et de la modération a amené les tenants du systémisme à privilégier un seul aspect du droit international, celui de la paix et de la girerreoàlo"r qne la vie internationale est beaucoup plus riche ôn rapports ét en situations d'une complexité extrême qu'il faut aussi traduilË en termes juridiques

données qualitatives et humaines ; on n’a pas rejeté le positivisme, mais on critique certaines de ses thèses radicales (optant pour la valorisation de la théorie socilogique au détriment la théorie sociale), les méthodes sociologiques comme le systémisme, le fonctionnalisme et le structuralisme ont encore droit de cité. On tolère l’existence de plusieurs approches même contradictoires. Mais ceci, en sachant que la science politique savante est différente des réflexions politiques non savantes. Il