Le Temps Subjectif

18/09/07 Igd&M.j (Hiez) Leçon 1  : La notion de droit– Approche étymologique et sociologique – Distinction entre droit objectif et subjectif – Position interdisciplinaire du droit Introduction étymologique. Qu’est ce que le droit ? L’origine étymologique du droit se rapporte à la droite géométrique ou encore la règle désignant une conduite prescrite. On intègre également la notion de norme qui se rapporte à la règle : (l’équerre, dans ce contexte on utilise l’équerre pour voir

INTRODUCTION AU DROIT Le droit est la traduction d’un projet politique Le droit civil est à l’origine du droit il tend à organiser les relations des hommes entre eux. Droit objectif et droits subjectifs : Le droit constitue un phénomène social, il tend à organiser les relations économiques ou non, des personnes qui composent la société. Le droit comporte deux définitions : - ensemble de règles destinées à organiser la vie en société et qui ont vocation à s’appliquer à toutes les personnes

« Peut-on juger de la valeur d’une culture ? » Le patriotisme, ethnocentrisme est le fait q’un groupe social évalue les autres par rapport à lui-même, évalue les cultures étrangères par rapport à sa propore culture, ce qui donne un jugement subjectif et partisan de sa culture, non un jugement objectif et neutre. Au départ, l’homme considérait que l’autre, ne parlant pas la même langue, ne vivant pas selon les même conditions et traditions n’avait aucune culture, à leurs yeux l’autre était un

retiré de l’application d’une règle de droit est la dimension subjective du droit. Il correspond aux prérogatives individuelles qui naissent de l’application d’une règle de droit au profit d’une personne en particulier et qu’on appelle les droits subjectifs. Prenons un exemple pour illustrer l’importance de cette amphibologie : l’article 1382 du code civil dispose « que tout fait quelconque de l’ordre qui a causé un dommage à autrui oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer ». Il

bon et le juste) jus est ars boni et aequi. Pourtant toutes les rgles de droit ne sont pas forcement justes Dans Antigone de Sophocle, la justice rclamerait lenterrement de son frre, pourtant refus par Cron. Le sentiment de justice est profondment subjectif. On peut ainsi demander justice et donc rclamer son droit On oppose donc deux intrts distincts. La personne charge de rendre la justice se devra alors de trancher (Do lallgorie de la justice reprsentant un glaive, une balance et une femme aux yeux

– Droit objectif – Droit subjectifs Il ne faut pas considérer le droit mais les droits. Le droit objectif c'est l'ensemble des règles de conduite qui régissent la vie en société (code de la route, code civil, code pénal) : LAW. Le droit subjectif c'est l'ensemble des prérogatives que le droit va reconnaître à un individu et dont il va pouvoir se prévaloir (les droits des locataires, droits de vote, les différentes libertés) : RIGHTS. Ces droits objectifs et subjectifs ne s'opposent pas. Il n'y

individuel, retiré de l’application d’une règle de droit, et la dimension subjective du Droit correspond aux prérogatives individuelles qui naissent de l’application d’une règle de Droit au profit d’une personne en particulier et qu’on appelle les droits subjectifs. Exemple : L’article 1382 du Code Civil dispose que « tout fait quelconque de l’homme qui a causé un dommage à autrui oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer ». Il s’agit dans ce texte de l’expression objective du Droit, c’est-à-dire

large, on peut définir la croyance comme suit : c’est un état mental qui porte à donner son assentiment à une certaine représentation, ou à porter un jugement dont la vérité objective n’est pas garantie et qui n’est pas accompagné d’un sentiment subjectif de certitude. En ce sens, elle est synonyme d’opinion. Croire quelque chose, c’est donc, semble-t-il, assentir à quelque chose, sans pourtant en être certain. La croyance, dans son acception générale, s’oppose donc au savoir en tant qu’elle est

et les droits subjectifs. Le droit objectif est l’ensemble des règles générales qui régissent la vie en société. Elles s’appliquent à tous et sont sanctionnées par la puissance publique (Etat et administrations de l’Etat). Ex : droit civil qui régit les rapports entre particuliers. Les droits subjectifs sont des prérogatives particulières dont une personne peut se prévaloir (personne=physique ou morale [entreprises, sociétés…]). On dit alors que le droit objectif devient subjectif car il s’applique

droits fondamentaux marque aussi la conception du Pouvoir public de la République fédérale. Les droits fondamentaux constituent et marquent essentiellement, à titre de principes objectifs et de droits subjectifs, le pouvoir public de la République fédérale en tant que démocratie sociale établie en même temps comme Etat de droit (Rechtsstaat) et qui est centrée sur la personnalité et sa dignité s’épanouissant librement dans la communauté sociale. […] Les droits fondamentaux établissent essentiellement