Le Texte Le Style La Beauté Théâtre

définitif et d'absolu que les lois du beau. Trop haut, c'est l'impossible ; trop bas ce sont les feuilles mortes. La vie n'est pas là ; regardez directement devant vous, à hauteur d'hommes, et vous la verrez. Après avoir à ses débuts abordé le théâtre, pour lequel il ne se jugeait ni assez recommandé ni assez mûr, il s'était jeté dans le journalisme. La peinture est à fleur de toile, la vie n'est qu'à fleur de peau. DOMINIQUE – Eugène Fromentin (1863). Ce roman est une sorte de récit-gigogne

tirer du récit et de la moralité. La Fontaine, qui assure le succès du genre au XVIIème siècle, explique dans ses préfaces que son but est toujours de plaire et d’instruire (on commence par situer le texte en donnant quelques indications sur l’auteur, à condition qu’elles aient un rapport avec le texte, ou sur le mouvement littéraire auquel il se rattache : la lecture du paratexte est donc bien utile. Je commence ici par un rappel qui valorise mes connaissances sur l’objet d’étude et l’histoire littéraire)

pour moderniser la pièce surtout au niveau des vêtements. Les costumes permettront de donner à un personnage une singuliarité. Dans la deuxième réplique de Jean, le taux d'arrogeance augmente. Jean a toujours le nécessaire pour se faire une beauté, pour se réembélir, pour se valeuriser. Ces vêtements sont vraiment magnifiques, je me réjois vraiment de jouer dans cette pièce. Bérenger porte des vêtements sales, froissés, ne porte pas de cravate … Cela permet à l'autre personnage de lui

subtiles tels qu'on les examinerait dans les salons) C'est sans doute l'une des œuvres romanesques les + célèbres du classicisme. Le texte suggéré à notre analyse constitue l'incipit du roman dans lequel il s'agit de présenter le perso de Mlle de Chartres qui deviendra l’héroïne éponyme. Elle fait ici sa 1ère apparition à la cour de France et la subjugue par sa beauté. Sa mère, Mme de Chartres, propose une éducation originale pour l'époque puisqu’elle suggère d'aborder avec les jeunes filles les ?

de coordinations qui insistent sur la logique des arguments, et enfin l’allusion à des arguments d’autorité, comme des statistiques, des chiffres scientifiques, des valeurs morales ou encore des lois connues de tous, comme Voltaire le fait dans son texte Candide pour les lois du Talion et Salique. L’encyclopédie utilise encore une autre méthode visible dans l’article de Diderot sur l’ « Autorité politique » ; l’analogie, technique qui consiste à comparer deux situations pour montrer la meilleure. Dans

refuse de délivrer un message politique ou de mettre en avant le moi,associé à la doctrine “l'art pour l'art”. Il a privilégié l'expérimentation formelle et a souvent trouvé refuge dans le monde ancien (particulierement l'antiquité). “la beauté rien que la beauté” Gautier Les grandes figures du Parnasse: •Gautier, Théophile (1811-1872) : Émaux et Camées. •Leconte de Lisle, Charles (1818-1894) : Poèmes antiques, Poèmes barbares. •Banville, Théodore (1823-1891) : Les Stalactites, Les Princesses

référence de Marguerite Duras au jeu d’acteur et du décor, la position des acteurs nous indiquent qu’il s’agit du théâtre. Il est écrit en 1986 et publié la même année. L’écrivaine est déjà très connue non seulement à travers ses romans mais aussi en tant que cinéaste et réalisatrice. Il s’agit d’un grand amour perdu et extraordinaire un triangle d’amoureux gens (un homosexuel (le texte ne le dit pas clairement) une femme et le jeune étranger). Ce roman présente plusieurs particularités notamment

terre natale en 1939 pour rejoindre Paris afin de continuer son métier de journaliste car il souhaite s’engager par rapport aux évènements qu’il pressent. Camus a été empêché de continuer ses études à Alger pour des raisons de santé. Il aimait le théâtre ainsi que le football. En 1943 il collabore à la rédaction de tracts clandestin et est obligé de se reposer et comme il a participé à des textes critiquant les nazis, il va à Chambon-sur-Lignon vers Lyon. Il n’a pas pu participer à la résistance armée

du Cid, le succès fut tel qu'il fallut ajouter des chaises sur la scène. Depuis plus de trois siècles, il fait salle comble. Le théâtre de Corneille est fait de tendresse, d'inattendu, de folie. On commence tout juste à le comprendre aujourd'hui. Pierre Corneille (1606-1684) est un auteur dramatique par excellence. Il précède Racine et Molière. Il a créé le théatre classique. Après avoir nettoyé ses premières armes avec plusieurs comédies, il livre le Cid au public en 1637. Le chef-d’œuvre provoque

les réécritures « Tout texte n’est jamais que l’empreinte d’un autre » Jean-Luc Hennig Depuis les origines de la littérature, les auteurs ont fait le constat que l’écriture est une réécriture. Que l’on lise L’Écclésiaste ou les Caractères de La Bruyère, la nouveauté semble illusoire, tout a déjà été écrit et l’homme ne fait que reprendre et réagencer les textes. On parle bien à ce titre de textes fondateurs (récits mythologiques et bibliques) pour évoquer ces pionniers des formes et des genres