Le Théâtre Immoral

quant à l’intrigue du récit. Il est le tournant de l’histoire puisque avec lui la vérité éclate, les certitudes changent. De plus, ce dialogue voire cette dispute apparaît comme extrêmement véritable. Il pourrait m^me se comparer à une pièce de théâtre et ainsi le souci de naturalisme de Maupassant est une nouvelle fois évoqué. En réalité, Pierre ,qui reste calme tout au long de ce passage, réussit à dévoiler à son frère l’adultère de sa mère et lui reproche d’être responsable de ce malheur en ayant

d’Alger, Belcourt. Journaliste, écrivain (La Chute, La Peste, L’Etranger…), passionné de théâtre, il marque la vie culturelle française de 1936 à 1960. Il recevra le Prix Nobel de Littérature. Comme tous les Français d'Algérie, il est traumatisé par la guerre d'Algérie dont il ne verra pas le dénouement tragique. Le 4 Janvier 1960, il trouve la mort dans un accident de voiture. Les Justes est une pièce de théâtre basée sur des évènements vrais : en 1905, le groupe terroriste des révolutionnaires sociaux

présente ce personnage comme la métaphore de la jeunesse : belle, innocente et manipulable. Alors que le héros est assommé de flatteries par l’artiste qui peint son portrait, Basil, il fait connaissance avec Lord Henry, caricature d’un homme totalement immoral et qui ne le cache pas, puritain, persuadé de l’existence de la perfection. Conscient de l’art oral dont est doté Lord Henry, Basil lui demande de ne pas s’intéresser à Dorian. Cependant, cette interdiction ne fait qu’accroître le désir du Lord de

renvoyé, disgrassié, chassé », la répétition « on m’exile » et l’anaphore de « 20 ans » qui montrent sa fureur. Cependant, l’incipit présente aussi les nouveauté du genre. Tout d’abord la didascalie initiale est longue, c’est nouveau dans le théatre. Sa longueur met en avant de nombreux détails plus ou moins important et frappe par sa précision. On découvre l’espace avec le palais royal qui est un lieu de tragédie classique, on imagine un lieu clos et luxueux, la richesse est mise en avant. On

« retraite ». – le retour au théâtre : Œdipe (1659). Efforts de renouvellement avec deux « comédies héroïques » : Tite et Bérénice (1670) et Pulchérie (1672). Échec d’Agésilas (1666). Trois succès : Sertorius (1662), Sophonisbe (1663), Othon (1664). Concurrence de plus en plus vive de Racine : demi-échec d’Attila en 1667, l’année d’Andromaque. Retraite définitive après Suréna (1674). Mort Le 1er octobre 1684 à Paris. 1. Corneille ou une vie vouée au théâtre Armoiries de Pierre Corneille

Tartuffe MOLIERE : Jean-Baptiste Poquelin - né à Paris en 1622 - mort en 1673 (à Paris aussi) - se consacre au théâtre à 21 ans - Dramaturge, comédien - écrit des comédies, des comédies-ballets - Principales œuvres : L’école des femmes (1662), Dom Juan (1665), Le médecin malgré lui (1666), Le Bourgeois gentilhomme (1670), Le malade imaginaire (1673). LA PIÈCE : Comédie - 5 actes, entre 5 et 8 scènes chacun - aussi appelée “Tartuffe ou l’imposteur” - 1664 Personnages : *

le complément de la déposition que j’ai faite hier soir au poste de police de Pankrati. Amnesty International a demandé une copie du visage de mon tortionnaire. Je vous fais ici cadeau de quelques mots [grecs] qu’a prononcés sa bouche sauvage et immorale de fasciste. « Qu’est-ce que c’est que ça, ici ? » - Un masque chirurgical - T'en as besoin pour quoi? (Ironiquement) - Pour mieux respirer quand des substances chimiques tombent sur la Place Syntagma. - Qui c'est qui jette des substances chimiques

autre que le raisonnement logique. En somme, la pensée individualiste de Don Juan dans cette comédie de même que sa conception mathématique du monde qui va à l’encontre des valeurs religieuses font de lui un libre penseur. De surcroît, les mœurs immorales de Don Juan complètent bien l’archétype du libertin. Cela se voit bien à travers les unions libres de celui-ci et à travers les nombreuses conquêtes amoureuses qu’il a eues. Toujours dans la conversation que Sganarelle a tenue avec Gusman au début

Microsoft Word - HiroshimaSaison 2010.2011 © Mario Del Curto HIROSHIMA mon amour De Marguerite Duras Théâtre de la Butte Les 13 et 14 avril I Théâtre Merc 13 avril I 19h45 . jeu 14 avril I 20h45 Ouverture de billetterie 12 février Tarif B © Mario Del Curto HIROSHIMA mon amour De Marguerite Duras Texte de Marguerite Duras. Mise en scène et scénographie Christine Letailleur. Assistanat à la mise en scène Pier Lamandé. Lumière Stéphane Colin. Son

MOLIERE Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, né à Paris, baptisé le 15 janvier 1622[2] et mort à Paris le 17 février 1673, est un dramaturge et acteur de théâtre français. Considéré comme l'âme de la Comédie-Française, il en est toujours l'auteur le plus joué. Fils de Jean Poquelin, riche marchand-tapissier établi rue Saint-Honoré à Paris, et nommé tapissier du roi. Sa mère, Marie Cressé, meurt en 1632 alors qu'il n'a que dix ans, son père se remarie avec Catherine Fleurette. De 1633 à 1639