Le Triomphe de l'amour

eut alors la chance de pouvoir jouer devant Louis XIV et sa cour, et obtint de partager avec les Comédiens-Italiens la salle du petit Bourbon. Après y avoir représenté plusieurs tragédies, ainsi que ses deux comédies, Molière remporta un véritable triomphe en 1659 avec les Précieuses ridicules. En 1660, contraints de quitter la salle du petit Bourbon, les comédiens s’installèrent définitivement au Palais-Royal. Apres cela, Il se consacra au comique : L’École des maris et surtout la comédie-ballet

Dissertation sur Les Fausses Confidences de Marivaux Sujet : En démarquant le titre d’une autre comédie de Marivaux, ne pourrait on pas rebaptiser ainsi Les Fausses Confidences : « Le jeu de l’amour et du mensonge » ? La lutte entre la vérité et l’image de soi, l’être et le paraître, les différents types sociaux et moraux sont des thèmes très récurrents dans les écrits de Marivaux. Journaliste et critique, il fait de cette problématique sociale la thématique principale de son journal, Spectateur

spéculaire (Le pouvoir des Fables, VIII, 4 ; Le Lion, le Singe et les deux Anes, XI, 5) figurent au niveau le plus général cette duplication recherchée par LF pour susciter des effets comiques et introduire avec le réel la distance de l'humour. 2° Le triomphe LF affectionne en particulier, dans ces fables doubles, le procédé qui consiste à amplifier un proverbe ou une image traditionnelle, dont il réactive le sens. La partie médiane de la fable Le Lion, le Singe et les deux Anes (XI, 5) développe ainsi

L.A III, 12 de « Dorante, plaintivement (…) » à « stratagème » Eléments d’intro - Présentation générale de la pièce : genre, date, contenu - Situation du passage : l’extrait s’inscrit dans l’acte de dénouement. ( Les attentes st d’une part le retour à un état de stabilité pr les personnages- la résolution du noeud ; d’autre part, l’enseignement à tirer de la pièce puisque la comédie possède une vertu morale : « castigat ridendo mores ») Le rythme s’accélère en fin de journée. Dés le début

pessimisme de Maupassant. Inspiré des thèses de Schopenhauer, il n’hésite pas à mettre en scène des destins pathétiques. Beaucoup sont surtout marqués par les thèmes de la mort, du suicide, de la dépression, de la désagrégation de la famille, de l’amour malheureux chez des êtres épris d’idéal, ou encore de la paranoïa et plus généralement de la folie qui offrent une passerelle vers le registre fantastique qu’il affectionne. Il voit partout chez les hommes tromperie, égoïsme, étroitesse d’esprit,

intérieur des personnages, en quoi leur discours contredit leur identité respective. Nous démontrerons que la dysharmonie d’Alceste et Célimène entre eux et avec eux même est la cause hypothétique de l’échec de leur union, et que leur conception de l’amour joue un rôle majeur dans cette défaite. Nous verrons également que l’ambigüité de la relation entre parole et identité, ainsi que l’issue de la confrontation amoureuse nous donne à nous interroger quant au genre de la pièce. Nous développerons

rôle d’empereur. Le dénouement est ici un coup de théâtre, Bérénice laisse de côté son intérêt personnel pour la raison d’état. La leçon de morale est que la raison triomphe sur la passion destructrice. Cette pièce est adressée à Louis XlV, Racine lui demande de laisser ses maîtresses pour des raisons d’état. L’intérêt collectif triomphe sur l’intérêt personnel. L’avare et Le Malade imaginaire de Molière illustrent bien les comédies de caractère où les vices sont punis. Dans ces deux pièces, ceux de

C'est une pensée sauvage qu'a arrosée plus d'une fois l'écume de l'océan. (.) Et puis, mon ange, j'ai tracé ton nom sur le sable : DIDI. (Diminutif de Léopoldine). La vague de la haute mer l'effacera cette nuit, mais ce que rien n'effacera, c'est l'amour que ton père a pour toi (.) ". Ce sont les termes d'une lettre que Victor Hugo adressa à sa fille âgée de 13 ans, le 3 septembre 1837. En écho à cette lettre, c'est un poème identique que Victor Hugo écrit ici, au retour de l'île de Serk, et qu'il

quel point il a été heureux et sensible aux charmes de Mme de Tourvel. Le libertin qui a pris au piège est lui-même pris au piège de l'amour. La lettre pourtant cynique et libertine est en même temps révélatrice d'une joie que Valmont n'avait pas prévue et qu'il avoue sans s'en rendre compte. PARTIE 1 : L'AMOUR, UN CHAMP DE BATAILLE Valmont assimile l'amour à un art de la conquête et du combat. Mme de Tourvel est présentée ici comme une forteresse qu'il va réussir à conquérir à la suite de

Tout d’abord, pour Don Juan l’amour est refus de la fidélité. En effet, il fait part de sa vision de l’amour à Sganarelle en démontrant ses impressions de la constance dans une relation. Il dit : «  Non, non : la constance n’est bonne que pour des ridicules ; toutes les belles ont droit de nous charmer [...] » (I, 2, l. 6-7). Il commence sa phrase avec une répétition. En insistant, il compare les hommes à des personnes complètement ridicules, car il ne profite pas de cette liberté. De plus, il mentionne