Legitimite Du Roi Divin

nouvelle organisation territoriale et politique en France. I) Hugues Capet, et la dynastie Capétienne. En 987, le dernier roi carolingien Louis V meurt sans descendance, n’ayant pas d’héritier direct, c’est le Robertien Hugues Capet qui est élu. La même année, celui-ci associe au pouvoir son fils, il le fait sacrer roi de son vivant. C’est ainsi que le roi Hugues Capet fonde la principale dynastie des rois de France, celle des Capétiens, qui s’installe sans interruption jusqu’en 1328.

Cependant, le roi est une figure récurrente dans les fragments au programme. Le roi serait-il un homme d'exception ou bien n'est-il qu'un être comme les autres, aussi misérable, sinon plus ? Nous verrons qu'aucun roi précis n'est étudié mais que la royauté sert d'exemple ou de métaphore à plusieurs analyses : d'abord à une critique politique et sociale des fausses grandeurs, ensuite à une observation morale de la condition humaine fuyant dans le divertissement. Enfin, tout homme est un " roi dépossédé

machiavelo-hobbesien » dans une perspective réaliste (celle de la commodité du souverain), qu’elle est la seule qui ne s’embarrasse pas d’un revêtement rationnel pour légitimer l’autorité. En d’autres termes, la coutume ne se soucie pas de la légitimité. Avec la coutume, le roi est nu. La puissance de cette hypothèse réside précisément dans le dévoilement de cette nudité. Le fondement est « mystique », dans la mesure où le fondement ne tient sa valeur que de lui-même. La loi n’a de valeur que parce qu’elle

comme la créatrice de l'humanité, comme une puissance divine, que le poète va opposer, dans la 2e partie du sonnet, à celle, usurpée, de Dieu (transition). La remise en cause de Dieu: Importance de cette dénonciation: celle de la guerre constituait les deux subordonnées, et celle de Dieu la proposition principale de la phrase. Une dénonciation par l'ironie, par un ton satirique: . mise en doute de l'existence, ou de la légitimité de Dieu: « il est un Dieu »: expr. impersonnelle . dénonciation

qui est toujours la notre. Les barbares ont une conception du pouvoir totalement différente, on fonctionne avec un système de monarchies, des monarchies extrêmement réduites. Tous les barbares sont organisés selon un système de tribu dirigé par un roi, un chef. Il n'a pas beaucoup de grandes décisions à prendre, la plupart de ses décisions sont d'ordre militaire. Rien avoir non plus avec l'idée que le pouvoir souverain s'exerce de façon uniforme sur tout l'Empire. Chaque tribu barbare organise ses

XVIII : I. Contestation de l'absolutisme On est dans un système où il y a à la tête du système un seul Homme, de droit divin. Il n'y a pas de contre pouvoir, le roi contrôle toutes choses, du début à la fin, il a toujours le dernier mots. Le roi agit pour la justice, c'est son premier devoir, cette justice est rendu pour le droit commun, il ne peut pas alors se tromper. Le roi doit néanmoins gouverner par conseil avec le parlement, les Etats Généraux. La contestation de ce système existe depuis

monarchie n'est pas limitée. Le roi tient sa légitimité de Dieu, c'est une légitimité de droit divin, souveraineté de droit divin (aucune liberté indv, aucun droit fondamentaux). En plus de cela, il n'y a pas de constitution au sens du texte que l'on connait aujourd'hui, tout au plus il existe des lois, appelées lois fondamentales qui détaillent les règles de fonctionnement de la royauté. Sous l'ancien régime, il n'y a pas non plus de séparation de pouvoir. C'est le roi qui concentre tous les pouvoirs

si les chapelles reposoirs remplacent le "Saint des saints".  Le pylône d'entrée est toujours flanqué d'un colosse royal (il y en avait deux à l'origine).  Passé ce pylône, on arrive à une cour entourée sur trois de ses côtés d'un péristyle où le roi Ramsès III est représenté en Osiris (statues osiriaques). On aperçoit le plan incliné qui mène à une petite salle hypostyle à huit colonnes. Cette salle débouche sur les trois chapelles reposoirs de barques. | ENTREE DU TEMPLE DE RAMSES III | COUR

 Histoire du droit et des institutions Introduction 6 Partie I. L’institution du roi au moyen age 7 Titre I. L’édification institutionnelle 9 Chapitre I. Les lois fondamentales 10 Section I. La loi de succession 10 §1. Un gage de stabilité 10 A. Le principe d’hérédité 10 1. Le sang royal 11 2. La primogéniture 11 B) Le principe de représentation 11 1. Le principe de droit privé 12 2. Le principe de publicité 12 §2. Un gage de force 13 A) le principe de masculinité 13

Histoire du droit et des institutions Introduction 6 Partie I. L’institution du roi au moyen age 7 Titre I. L’édification institutionnelle 8 Chapitre I. Les lois fondamentales 8 Section I. La loi de succession 9 §1. Un gage de stabilité 9 A. Le principe d’hérédité 9 1) Le sang royal 9 2) La primogéniture 10 B) Le principe de représentation 10 1) Le principe de droit privé 10 2) Le principe de publicité 10 §2. Un gage de force